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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
POULP FICTION :
90 pages lues en 9 soirées... triste bilan. À l'heure qu'il est, je devrais avoir terminé ce roman !
Non, ce n'est pas à moi, lecteur, de m'adapter, de faire tout le travail de compréhension d'un livre décousu. À part, une fois de temps en temps, quand c'est consenti.
J'ai pourtant lu entièrement le tome précédent, « Dans la toile du temps », en septembre 2018, et je ne pense pas avoir subi une dégénérescence cérébrale depuis ce temps-là.
Mes difficultés proviennent peut-être du fait que je lis plusieurs livres en même temps, et que lorsque je passe de l'un d'entre eux vers « Dans les profondeurs du temps », l'aiguille du compteur de vitesse de lecture baisse considérablement, par comparaison. C'est un livre froid, froid comme l'univers, un récit dont il ne se dégage pratiquement rien. C'est ce qui m'a marqué jusque là.
Et puis, il y a ces 43 pieuvres élevées par l'un des astronautes, dans le vaisseau spatial, sans que quiconque, ou quelque instrument de mesure ne s'en rendent compte...

À partir du chapitre « Le chemin de Damas », j'ai senti que Adrian Tchaikovsky commençait à déconner au niveau de la clarté de l'écriture. Ce n'est peut-être juste pas le bon moment pour moi et ce livre... ?
J'y reviendrai peut-être plus tard, mais j'ai tellement mieux à faire pour l'instant.

Je remercie cependant Babelio pour ce cadeau (que je regrette de ne pas avoir aimé) dans le cadre d'une Masse Critique Mauvais Genres.
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Je m'attendais à une suite linéaire du 1er tome. J'avais hâte de connaître le devenir de la civilisation arachnéenne et des rescapés du Gilgamesh.
Il y a bien une suite mais quelle déconvenue...

Ce qui m'a plu :
# le concept ingénieux de communication propre aux poulpes (les couleurs, faut pas être daltonien)

Ce qui m'a déplu : tout le reste !
# L'auteur reprend exactement les mêmes thèmes que son 1er tome, on frise le copier/coller :
* du Gilgamesh, on passe au vaisseau l'Égéen.
* de la terraformation de la planète "Monde de Kern", on passe aux planètes Nod et Damas.
* Grâce au nanovirus de Caliti-Rus, on voit émerger une civilisation arachnéenne, ici il s'agit d'une civilisation céphalopode (des poulpes).
* On passe de l'équipage du Gilgamesh totalement paumé et aux abois à un autre tout aussi perdu. Et là aussi, les personnages humains peinent franchement à séduire.
* Et si on retrouve des personnages du 1er tome avec un équipage arachno-humain parti en exploration, la sauce ne prend plus.
* Un 3eme acteur fait son entrée : un parasite qui rêve de voir le monde. On n'y croit pas 2 secondes.

# C'est l'ouvrage de trop, clairement. Les défauts du 1er tome sont ici exacerbés puisqu'on perd tout l'intérêt des idées novatrices du tome précédent. C'est difficile à suivre, parfois on ne pige rien à rien, surtout quand l'auteur se lance dans des digressions "hard-science" inutiles et qui font mal au crâne, ou dans des pseudo-réflexions philosophiques d'une langueur et d'un ennui mortel. Ajoutons à cela un récit non linéaire parfois pénible, des situations dont on ne saisit franchement pas l'intérêt (le trip de Meshmer et Fabian, que c'est lourd), des dialogues d'une platitude parfois déroutante, et des personnages peu attirants (Disra Senkovi est tout simplement ennuyeux au possible).

Bref, long, lourd, ennuyeux, on ne retrouve pas la géniale inspiration du 1er tome. Sans réussir ni à rebondir, ni à innover, l'auteur nous livre un 2eme tome bien peu inspiré et qui est, à mon sens, un véritable gâchis. Dommage.
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Je reviens d'un long, d'un très long voyage dans le roman d'Adrian Tchaikovski. Des pages qui ont compté double, voire triple, tellement je me suis ennuyée . Ou plus précisément, tellement j'avais envie que ce roman fasse effet sur moi... mais sans jamais y parvenir.
Voyons l'intrigue.
A des millénaires de distance, un drame se joue au même endroit de l'espace.
Une équipe de terraformation a commencé à aménager une planète située à 30 années-lumière de la Terre. Les nouvelles du pays arrivent , forcément, avec beaucoup de retard. Puis n'arrivent plus. Juste au moment où un virus extraterrestre décime l'équipe, c'est ballot. du coup, ne reste de la mission qu'un savant fou qui dresse des poulpes, et qui leur lègue la planète dont plus personne n'a rien à faire.
Des tas de tas de tas d'années plus tard (genre 25.000 ans, au moins) , une autre mission arrive dans le même coin. Composée d'humains et d'araignées bizarres (les Portidés). Et découvre pêle-mêle une civilisation de poulpes complètement givrés, le virus qui a pris corps, les archives de la mission n°1, etc.
Bref, les poulpes veulent dégommer les humains, les araignées ne sont pas d'accord, le virus se réveille et ressuscite les gens de la première mission, l'ordinateur central s'en mêle, et c'est le bazar intergalactique.
En gros, rien de nouveau sous le soleil, sauf qu'il faut 600 pages pour en venir à bout, et franchement, un épisode de "Star Trek" aurait suffi.
Vous savez quoi ? Je vous laisse le tome 2 .
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