Un peu brouillonne cette autobiographie.
Plus que d'une yakuza faisant partie intégrante d'un clan (ce a quoi je m'attendais à la lecture de la 4ème de couverture), on suit la chute et la lutte d'une jeune fille puis femme aux prises avec son héritage.
On a plus là le récit d'une femme battue que des rouages de cette mafia terriblement masculine à l'époque de l'éclatement de la bulle économique au Japon. L'auteur finira par relever la tête et se battre -même si les cicatrices morales resteront fortes.
Une témoignage très intéressant sur la condition féminine un peu gâché par la forme. Dommage!
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