On achève bien les chevaux, ce film lui revenait en mémoire, ce terrible huis-clos, ces couples qui dansaient jusqu’à l’épuisement dans une succession frénétique de journées et d’épreuves, sous l’œil goguenard et cynique du commentateur, devant le public ahuri par son propre voyeurisme, quel curieux ballet que ces gens qui se succédaient dans un immeuble, une folle improvisation des êtres, une chorégraphie d’animaux et de meubles, dont certains, lors du jeu de la vi... >Voir plus