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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'avais vraiment quelques réticences lorsque la bibliothécaire me l'a mis dans les mains. J'avais lu, du même auteur, il y a fort longtemps, "Aubertin d'Avalon" que je n'avais guère apprécié. Mais comment résister au sourire d'une femme ? Hein ... donc je me suis laissé tenter. Pauvre de moi ...
Eh bien j'en arrive presque au même constat : il y a dans cette écriture une distance qui ne me permet pas d'être envouté. L'histoire part un peu dans tous les sens et je m'y suis parfois, un peu perdu. Il y a tout de même une amélioration par rapport au précédent, celui-ci je l'ai terminé ... mais sans grand enthousiasme.
Tout ce roman tourne autour de l'héroïne, Léna, et, avec les descriptions qui nous en sont faites, je n'arrive pas à croire que cette femme ait vécu fin dix-neuvième siècle, je la sens plus proche de notre époque. Les personnages secondaires sont sans épaisseur, sans consistance ainsi que les relations entre tous ces gens. Heureusement l'écriture est agréable et il y a tout de même de bons passages, qui permettent de redonner un peu de peps à la lecture.
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Il s'agit du premier ouvrage de cet écrivain que je lis. En effet, je souhaitais lire "le passeur de lumière" dont on m'avait dit le plus grand bien. En d'autres termes, cet auteur m'avait été chaudement recommandé, et un belge qui parle des révoltes sociales, cela me paraissait très attirant. Et bien, j'ai été fort déçue. Il y a d'abord des erreurs de fait. Exemple : Si l''hôtel Métropole, cité p.21 pour un récit se déroulant en 1886, a bien été construit en 1874, ce n'est qu'en 1890 qu'il a été transformé en hôtel, alors qu'auparavant il n'était que Brasserie appartenant à Wielemans-Ceuppens (Wikipedia, Hôtel Métropole). le manque de profondeur dans la documentation se marque aussi par ex. à propos du port de Montréal qui est décrit comme accessible toute l'année, alors que l'hiver - précoce dans cette région du globe- gèle le port et le rend inaccessible. Mais c'est dans les us et coutumes que les décalages sont à mon sens les plus prononcés. Ce qui devait frapper le voyageur venant de Belgique et arrivant à Montréal, c'est la difficulté de comprendre la langue des Canadiens français (qui n'est mentionnée que bien plus tard dans le livre, pour un seul individu). de plus, dans cette période, Montréal est plongée dans une épidémie dévastatrice de variole (smallpox) dont il n'est pas dit un mot. Et en outre, la succincte description se limite au port de Montreal et, étant donné la configuration de l'endroit, je vois mal une jeune femme y habiter. de même, l'héroïne Lena est décrite comme portant "décolleté" (p.21) et coiffure sexy, alors que la mode décrit chapeau, corset, faux cul et panier de robe; le décolleté étant signe de femme de petite vertu. Et je n'ai pas compris comment Lena, originaire de Berlin, parle français, comprend le wallon du Hainaut, et parle anglais. J'ai arrêté la lecture de l'ouvrage. Dommage, car j'aimais beaucoup la connaissance du souffleur de verre, j'aimais entendre parler de J. Destrée, de la vie de cirque bien décrite. Il y a un manque de rigueur qui malheureusement ne passe pas. Il y a un manque d'épaisseur dans la description où le lecteur reste centré sur "son nombril romantique". Je reste déçue de cette lecture, qui pour moi a raté l'objectif d'histoire de vie sur un fond social et international.
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