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Pratiquant le pastel, je sais que peindre la pluie nécessite beaucoup de couleurs en réalité, et j'ai aimé ce titre tout en symboles. Sollicitée pour cette Masse Critique privilégiée, j'ai accepté
de recevoir ce livre tout en refusant d'en savoir plus ! Grand bien m'en a pris, car je n'aurais peut-être pas été tentée par l'aventure au regard de la 4e de couverture, qui en dit déjà trop à mon goût. J'aime tellement me laisser surprendre, et je remercie vivement Babelio et les éditions La Belle étoile de chez Marabout pour cette histoire bien plus profonde qu'il n'y paraît.
L'analyse des différents rapports qui lient tous les protagonistes m'a semblée fine et empreinte de réalisme, avec des messages en filigrane qui permettent de regarder l'intrigue sous différents angles de vue. Un appel à la tolérance, à ne pas juger sans savoir, comme le font trop souvent les gens sans chercher à comprendre l'origine de tel ou tel comportement atypique, différent. Il est dérangeant d'avoir en face de soi quelqu'un en qui on ne lit pas comme dans un livre, mais pourtant, il est toujours intéressant de chercher à déchiffrer ses non-dits.
Si l'adage dit « après la pluie, le beau temps », on pourrait lire ici « même pendant la pluie il y a des éclaircies ».
Un livre qui incite à réfléchir sur des sujets graves où l'enfance est très présente et bien vue.
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J'aime les arc-en-ciel, les couleurs sur les murs, les rayons de soleil qui percent les nuages. Peindre la pluie en couleurs, un magnifique titre déjà car on imagine un jaillissement de couleurs en fête et des trésors sur les plaies. Il y a toujours quelqu'un qui nous attend quelque part. J'y crois.

C'est peut-être grâce à ce livre après tout. Il est tellement vitaminé et ressourçant que je l'ai terminé groggy. Tendresse, émotions, sensibilité et humour, ce livre m'a fait beaucoup de bien.

La réalité est amère et solitaire pour Morgane, trente-cinq ans. Directrice de crèche, un brin acariâtre et maniaque elle préfère de loin les chiens aux enfants. Pourtant, le jour où Émilie sa soeur adorée décède avec son mari, c'est à Morgane que sont confiés les deux enfants d'Emilie, Eliott et Léa.
La plaie pour Morgane qui ne s'est jamais occupé d'enfants.

Partagé entre la voix de Morgane et d'Eliott, ce roman relate le parcours d'une femme en souffrance. Délaissée par sa mère, abandonnée une deuxième fois par sa soeur, elle broie plutôt du noir assise sur sa misérable vie. Évidemment, et vous le sentez venir à plein nez, avec un titre pareil, l'évolution ne peut être que favorable.

Oui et non. Sans tomber dans la mièvrerie et la guimauve, ce roman puise sa force au fil des pages. J'ai ressenti beaucoup d'empathie de la part de l'auteure à l'écriture de ce livre. Les personnages sont entiers et il n'y a pas un bombardement de phrases clichés. Eliott est touchant par ses fêlures et son imagination folle. Léa est un bonbon rose. Jean-Michel le croque-mort qui croque la vie et chante du Dalida à tue tête. La grand mère par contre est dérangeante et pitoyable dans ses rancoeurs dépassées.

Tout ce petit monde est en somme une belle palette de couleurs, pour une parenthèse enchantée et bienvenue dans la morosité actuelle. Avoir envie d'accompagner ces personnages dans leurs larmes ou leurs sourires est un gage de réussite selon moi. Parce que l'auteure a fait de l'empathie son créneau. Il y a beaucoup de souffrance autour de nous, passer le gris à la machine, ça fait un bien fou.
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Un roman qui fait du bien et qui redonne espoir.
Même si au début du roman je l'ai trouvé un peu léger pour un sujet lourd. Deux enfants orphelins suite à un accident et ou la garde de ceux-ci est laissée à une tante un peu amère.

Au final c'est une belle leçon de vie sur plusieurs points. le deuil des adultes, mais également celui des enfants. le jugement que l'on porte sur les autres. Il est vrai que l'Homme a tendance à juger l'autre sur l'apparence sans savoir ce qu'il se cache derrière. Également sur l'adoption, sur les relations mère fille et entre frères et soeurs.

Enfin bref, un roman plus riche qu'il n'y paraît au premier abord, et qui nous donne le frisson.

Un petit livre accessible à tous, écrit simplement, sans fioritures, mais tellement parlant.
Les personnages sont travaillés, réalistes et gagnent en couleur au fils des pages.
Je vais en recommander la lecture à mes enfants.

Un roman qui ne peut laisser personnes indifférents même si le début est un peu convenu.
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Un livre qui trainait dans ma PAL depuis des années, sa sortie en audio a été l'occasion de le lire, ou plutôt de l'écouter.

Un livre aux thèmes lourds, le deuil , l'abandon, les secrets dans une famille, et encore d'autres que je ne peux citer sans divulgâcher, même si on le devine assez vite, mais un ton qui sait rester léger, et ce n'est pas un reproche, au contraire, en cela aidé par l'alternance des chapitres entre Morgane et Eliott. Alternance renforcée à l"écoute par l'emploi de deux narrateurs, tous deux parfaits dans leur interprétation.

Eliott est un petit garçon de dix ans.Avec sa soeur Léa, 6 ans, ils attendent en ce jour de juillet leurs parents pour partir en vacances. Ceux-ci n'arriveront jamais, Et c'est Morgane, directrice de crèche, tante des enfants qui selon la dernière volonté de sa soeur, va recueillir les enfants, au grand dam de sa mère qui se juge beaucoup plus compétente pour s'occuper d'eux.

L'autrice nous raconte l'évolution des sentiments entre les différents personnages. Rien n'est facile au départ, et il faudra laisser du temps au temps pour que les choses finissent par se mettre en place. J'ai aimé avoir en parallèle avec la vision de Morgane, l'adulte, celle d'Eliott, qui voit les choses à hauteur d'enfant et préfèrerait bien sûr vivre à Marseille, avec des grands-parents "trop cool", qui n'imposent rien, qu'avec une tante pas vraiment drôle, qui ne sourit jamais. Et pourtant, petit à petit, il va grandir et comprendre plus de choses. Cette vision par un enfant, que j'ai trouvée très juste, est à mon avis la grande réussite de ce livre, que j'ai écouté avec beaucoup de plaisir, même si certaines évolutions sont assez prévisibles.

Et un titre et une couverture dont la poésie m'a charmée.

Merci à NetGalley et aux éditions Audible pour ce partage#Peindrelapluieencouleurs #NetGalleyFrance
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Eliott, 11 ans, et sa petite soeur Léa passent leur dernière journée au centre aéré avant de partir en vacances avec leurs parents. Ceux-ci n'arriveront jamais, victimes d'un accident de la route non loin du centre.
La maman, Émilie, a eu le temps de donner ses dernières volontés quant à la garde des enfants. Elle veut que Morgane, sa soeur, les élève.
Morgane est directrice de crèche à Paris mais elle n'aime pas les enfants. On sent évidemment une blessure immense chez Morgane. D'ailleurs, elle se dessine déjà dans les premières pages qui se passent 18 ans avant et s'éclairciront lentement tout au long du récit en nous laissant cheminer dans le mystère petit à petit.
Les deux enfants et Morgane mettront beaucoup de temps à s'apprivoiser avec un allié indiscutable ,Snoopy, le chien de Morgane mais aussi avec un personnage hostile à Morgane, sa mère qui veut reprendre les enfants.
Pas simple à mettre en place, tout cela, avec deux enfants en souffrance chacun à leur façon.
Les chapitres se partagent entre Morgane, narratrice des faits et de ses sentiments, Eliott qui raconte son expérience ou qui écrit à sa maman dans son petit carnet.
Un roman très vivant avec des scènes qui se passent à la crèche, au domicile, à l'école, chez les grands-parents, chez le vétérinaire, chez la psychologue.
J'ai beaucoup apprécié les personnages, l'écriture et la construction du roman.
Une belle découverte d'Aurélie Tramier.
Une couverture magnifique et un titre qui condense les faits à merveille.
Une livre attachant !

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Je suis très souvent attirée par les couvertures des ouvrages, ici, c'est par un titre que j'ai trouvé très poétique et qui m'a évoqué mille idées.

Comme c'est souvent le cas actuellement, Audiolib m'a offert la possibilité de sortir de ma bibliothèque un ouvrage qui y dormait depuis plusieurs années.

En reposant mes écouteurs, je ne peux vous conseiller qu'une chose : procurez-vous cet ouvrage qui est magnifique et qui aborde avec une grande sensibilité les thèmes du deuil et de la reconstruction.

J'ai vraiment adoré cette écoute. J'ai trouvé que les voix de nos deux lecteurs Sophie Frison et Quentin Minon se prêtaient particulièrement au très beau récit d'Aurélie Tramier.

Étant moins fan du genre feel good actuellement, j'ai eu un peu peur de me lasser de cette histoire. Pourtant, il n'en est rien. On s'attache rapidement à Léa, Elliott, Morgane et Snoopy. On apprend à les découvrir et à les aimer.
Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup apprécié ce roman d'une grande sensibilité qui ne tombe cependant pas dans le pathos. Comme l'évoque son titre, vous ressentirez de nombreuses émotions au gré des couleurs sous votre parapluie.

Je tiens à remercier les Éditions Audiolib et Netgalley France pour ce très bon moment d'écoute que je suis heureuse d'avoir pu faire.

Si vous vous lancez aussi dans le roman d'Aurélie Tramier, j'espère que vous prendrez autant de plaisir que j'en ai eu.
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Et bien tout d'abord un grand merci à Babélio, à Masse Critique, aux Éditions La belle étoile sans oublier Nicolas, merci pour ce magnifique cadeau que vous m'avez offert.
Oui, ce livre est un cadeau.
Ne vous fiez pas à la couverture, ce n'est pas un roman "fell-good", romans sans grande consistance qui fleurissent à présent hélas dans nos librairies, bons et moins bons....
C'est un livre délicat, précieux comme un rire d'enfant, qui raconte une fragilité, un drame, mais une résilience.
J'ai tout aimé.
Le style tout d'abord, l'incroyable challenge de créer un roman à deux voix (voies ?...), celle de Morgane, l'ombre d'elle-même au début du récit, et celle d' Eliott, un enfant de 10 ans. Pas facile mais pari réussi.
J'ai aimé l'histoire, les relations mère-fille, la thérapeute d'Eliott (la chouette avec ses grosses lunettes, qui m'a terriblement fait penser à la mienne, enfant...), la bienveillance des uns et des autres, la détresse de Morgane et son terrible secret, Léa qui est un amour de petite fille, Eliott, ses discours et ses lettres, et puis, oui, la résilience, mot souvent galvaudé, mais pas ici. Résilience, comme la possibilité de faire face courageusement, et de s'en sortir pour de vrai. Et pour longtemps.
J'ai pu lire que l'auteure travaillait sur la gestion mentale des enfants en bas âge ; cela ne m'étonne pas. Car il y a du Dolto et de l'Eliatcheff dans ce roman magique, qui rebondit sans cesse, pour notre plus grand plaisir. Oui de ces deux grandes dames de la psychanalyse infantile, même chez les nourrissons (et oui...), j'en ai retrouvé la saveur.
Alors oui, cela se termine bien, mais pas comme un conte de fées, non, plutôt comme la vie qui, enfin, gagnerait et ferait la place belle à l'amour, la joie, et l'amitié.
Amis lecteurs, ne faites pas l'économie de ce livre, véritable petit bijou de justesse et d'humanité, que j'ai refermé non sans émotion.
Merci Madame Tramier.
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Aurélie Tramier a écrit là une bien jolie histoire autour du deuil, de l'amour entre soeurs et de la résilience ; cette faculté de se reconstruire après avoir subi des traumatismes dans le passé. Car oui, c'est bien cela qui empêche Morgane, 35 ans, d'être heureuse : le rejet de la part de sa mère et un événement traumatique qui la conduite à aller se réfugier quelques années à l'autre bout du monde. Alors le quotidien de cette femme ressemble à une journée de pluie sans fin… jusqu'à ce que deux petites touches de couleur viennent iriser sa vie.

« J'ai confiance. Mon Emilie chérie. Quinze ans déjà. Si belle. Si parfaite. Pour toi, j'ai tout donné. Et je prie le ciel pour que tu ne le saches jamais. C'est ce que font les grandes soeurs, non, protéger les petits ? » Morgane a dix- sept ans quand elle prend la décision de partir loin de chez elle, mais aussi, loin de sa soeur adorée. Mais leur complicité perdurera malgré la distance et les années.

« Elle me pétrifiait. Il n'y en avait que pour Emilie, si belle, si parfaite. L'image, l'apparence, ce que les gens allaient penser, voilà ce qui comptait plus que tout. » La préférence d'un enfant de la fratrie aux dépens des autres par l'un des parents est toujours source de souffrance pour ceux- ci, et Morgane en est venue à éviter sa mère, qui clamait trop souvent bien haut sa préférence pour sa cadette et son dédain pour l'aînée. Au point que lorsqu'Emilie décède dans un accident de voiture avec son époux, la grand- mère va remuer ciel et terre pour pouvoir récupérer les enfants d'Emilie, que cette dernière a souhaité confier à Morgane.

« Je pose un baiser sur sa joue et me traîne jusqu'à mon lit, les boyaux retournés, la tête en morceaux, le coeur en friche. Orpheline. Marâtre. Indigne. Coupable. Vouée à l'opprobre. Galeuse. Mais débordant d'un amour violent pour cette petite fille qui dort juste à côté. Et qui n'est pas la mienne.
Je ne savais pas qu'on pouvait aimer comme ça. » Difficile pour Morgane, qui a toujours vécue seule depuis sa prise d'indépendance, de jouer le rôle de maman d'un garçon de dix ans, Eliott, et d'une fille de six ans, Léa. Désemparés par la disparition subite de leur parents, les difficultés d'adaptation vont dans les deux sens et les habitudes du quotidien vont être sérieusement chamboulées, avant de laisser place à un amour inconditionnel entre les enfants et leur tante.

Au final, un roman très touchant sur les relations familiales. On se dit qu'il suffit d'un drame pour que tout vole en éclat, même les secrets les plus enfouis et les rancoeurs les plus tenaces. L'alternance du récit entre le point de vue de Morgane et celui du petit Eliott, à travers des lettres qu'il rédige à sa mère, donne encore plus de profondeur au récit. Une histoire triste au final plein de tendresse.
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Je remercie #NetGalleyFrance et les éditions Audiolib pour m'avoir permis de découvrir la version audio lue par Sophie Frison, Quentin Minon.

Morgane, directrice de crèche, doit prendre en charge son neveu et sa nièce après le décès brutal de leurs parents. Outre la perte de sa soeur chérie, elle est confrontée au deuil des deux orphelins, à ses propres démons et à son inadaptation face aux enfants. La situation fait resurgir ses traumatismes, ses remords et exacerbe ses angoisses. Eliott quant à lui nous confie ses pensées de petit garçon endeuillé, si courageux et empathique envers sa petite soeur, Léa.
Tout le monde va devoir y mettre du sien pour retrouver ses repères et son équilibre car la vie continue puisqu'il le faut, pour Eliott et Léa...

Le style d'Aurélie Tramier est simple, percutant, agréable à lire. Elle réussit avec brio à nous faire entrer dans la tête d'une trentenaire paumée et d'un gamin perdu. Les chapitres, plutôt courts, alternent entre les voix de Morgane et d'Eliott, ce qui donne un excellent rythme à l'ouvrage. Les personnages sont très attachants, tout en nuance, authenticité et sincérité... et surtout très touchants. Les thèmes abordés sont profondément sensibles : deuil, traumatismes terrorisants, angoisses de la parentalité, abandon, secrets de famille... Et ces sujets sont traités avec intelligence, sans pathos (même si les larmes me sont montées aux yeux à plusieurs reprises...).
J'ai été très émue par l'histoire principale et les histoires secondaires, les protagonistes et la situation de cette nouvelle famille en cours de recomposition. Malgré l'immense tristesse engendrée par les terribles épreuves racontées, il se dégage beaucoup de bienveillance, de chaleur et d'amour de ce magnifique livre "coup de coeur".

[EDIT 25/11/23]
Grâce à #NetGalleyFrance et Audiolib, j'ai pu découvrir la version lue par Sophie Frison, Quentin Minon. Comme d'habitude, la qualité audio, les intermèdes musicaux, les effets sonores sont parfaits ! J'ai eu un peu de mal au début avec la voix de Quentin Minon, que j'ai trouvée un peu trop mature par rapport à l'âge d'Eliott (mais ce doit être difficile de trouver une voix masculine enfantine pour une lecture si adulte). Malgré cela, j'ai réussi à me replonger dans l'histoire et à transposer et identifier le personnage du jeune garçon. La voix féminine de Sophie Frison est absolument parfaite, tant dans l'intonation et la diction que dans l'intention. La qualité est décidément toujours aussi impeccable avec Audiolib : j'en suis encore une fois bluffée !

#Peindrelapluieencouleurs #NetGalleyFrance
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Au premier abord Morgane semble sévère, organisée, froide. Pas le genre de tante à qui on confierait ses enfants.
Et pourtant, ainsi en a décidé sa soeur juste avant de mourir.
Bon gré mal gré, Morgane doit accueillir ses neveux orphelins, deux enfants pleins de vie, de chagrin, de peur.
Les loger, les vêtir, organiser leur vie scolaire, leur vie tout court. Pas simple pour une femme qui n'a pas d'affinités particulières pour les enfants.
Et pourtant Morgane n'est pas si revêche, elle a même beaucoup d'humour.
Tous les trois vont apprendre à se connaître, à se découvrir, à s'aimer.
Ce n'est pas un livre triste, loin de là. J'ai beaucoup ri. J'ai été émue aussi.
Je me suis attachée à ces personnages. Chacun a ses failles, ses faiblesses mais aussi ses forces.
Chacun fait comme il peut pour surmonter ce deuil et reconstruire un noyau sécurisant.
Ce drame va aider Morgane à surmonter un traumatisme passé et à voir l'avenir autrement.
Il y a des larmes, il y a de la joie, il y a de l'amitié et peut-être plus encore.
Les personnages secondaires apportent un plus, sans oublier le chien de Morgane.

Un vrai coup de coeur.
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