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3,79

sur 2217 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Début prometteur.
Suite lassante, impigeable.
Abandon de lecture.
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Je lis peu de policiers, mais la référence à Agatha Christie m'a laissé penser que celui-ci pourrait me plaire. Et je me suis trompée.

Les premiers chapitres étaient assez déstabilisants, avec le héros amnésique qui n'a aucune idée de qui il est, ni de ce qui se passe exactement dans la grande demeure où il séjourne. Ajoutez à cela l'absence de repères spatio-temporels (une grande demeure isolée de tout au milieu des bois, une époque où le téléphone existe, mais où il est plus habituel de conduire une voiture à cheval qu'une automobile...), une atmosphère pesante (la demeure est délabrée, plusieurs agressions ont lieu, un des enfants de la famille a été assassiné sur la propriété des années plus tôt,...) et aucun personnage n'attire vraiment la sympathie...
On nage donc en pleine confusion, mais la curiosité est piquée et on a envie de comprendre ce qui se passe.

Et puis est arrivé le deuxième jour du récit, puis le troisième, C'est là que j'ai définitivement décroché, l'intrigue apparaissant comme un véritable labyrinthe au tracé changeant qui a fini par me donner l'impression que l'auteur n'était pas tout seul dans sa tête, ce qui est assez ironique vu l'intrigue .

N'ayant aucun plaisir à lire ce roman, j'ai jeté l'éponge au bout de 150 pages...
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Je ne me souviens pas de qui je suis. J'ai du sang qui coule de ma manche. Et quel est cet étrange objet qui m'a été remis ? Une boussole ? Qui sont tous ces gens ? Ils ont l'air de bien me connaître, mais, moi, leurs visages ne me disent rien… Serait-ce à cause d'un coup que j'aurais reçu sur la tête ? Je sens une bosse à l'arrière du crâne…
Où suis-je ? Blackheast House ? Chez les Hardcastle ? Invité à un bal masqué ? Cela ne me dit rien. Et d'où sort ce prénom « Anna » qui n'évoque rien pour toutes les personnes qui se trouvent là et dont je crois me souvenir ? Et cet homme en habit de médecin de peste du Moyen Âge ? Qui est-il ? Que me veut-il ? My God ! Qu'est-ce que je fous là ?

Critique :

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans cette histoire avant de comprendre qu'un individu allait se réveiller « sept » fois au même moment, le même jour, dans le même manoir, en ne se souvenant de pratiquement rien… Et dans la peau de sept personnages très différents, mais tous connus des personnes présentes à Blackheast House ! Tous les sept ne sont d'ailleurs pas des personnes très reluisantes.
Sa rencontre avec le médecin de peste nous montre qu'il est en quelque sorte prisonnier de ce manoir où un meurtre a eu lieu des années auparavant puisque le jeune fils de Lord Hardcastle y a été assassiné dans la propriété. Mais notre héros aux identités changeantes, s'il veut pouvoir sortir de là doit impérativement découvrir qui va assassiner Evelyn Hardcastle.
L'histoire met du temps à se mettre en place, et sans les recommandations d'Eric, je l'aurais vite oublié dans une boîte à livres…
Comme le héros du récit qui ne se souvient plus de grand-chose, c'est exactement le sentiment que j'ai éprouvé à la lecture de ce livre dont l'idée est vraiment très originale, mais cela n'en a pas fait pour autant un ouvrage que j'ai eu du plaisir à lire. A force de retourner et retourner encore les indices, l'auteur, Stuart Turton, m'a fait tourner en rond sans qu'aucun indice ne permette de soupçonner le meurtrier d'Evelyn… Et les autres assassins… Oh, oui, il y en a d'autres. le recours au fantastique ne m'amuse pratiquement jamais et il en fait un large usage. Bon, j'arrête de pleurer sur mon sort et je me réjouis qu'un copain me l'ait piqué ! (Chouette un peu de place dans ma bibliothèque !) le pauvre ! Il ne pourra même pas m'accabler puisque je lui ai dit tout le mal que j'en pensais…
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J'ai tellement entendu parler de ce roman, si vous saviez. "Un mélange de Downton Abbey, de Cluedo et d'Agatha Christie", qu'on m'a dit. J'aime le Cluedo, j'ai bien aimé Downton Abbey et il est inutile de rappeler mon amour pour Agatha Christie. Alors, je me suis lancée. le résumé était prometteur. Que pouvait-il arriver de pire?


Pour commencer, il faut arrêter avec les comparaisons. Clairement, c'est de la publicité mensongère. Ce n'est pas parce que l'intrigue se passe dans un manoir so british avec des domestiques que cela rappelle Downton Abbey. Ce n'est pas parce qu'il y a une enquête avec une galerie de suspects que cela ressemble à une partie géante de Cluedo. Et nom de nom de nom, on est très loin d'un Agatha Christie.

Mais ce qui m'a le plus choquée, c'est le méga spoil de la quatrième de couverture. Alors, c'est vrai, résumer les Sept morts d'Evelyn Hardcastle de telle sorte que le lecteur se dise "tiens, je me laisserais bien tenté ", est une gageure. Mais quand même... la quatrième de couverture ôte complètement le mystère de l'histoire.
Je ne sais plus exactement à partir de quand cela arrive mais je crois qu'on a dépassé la centaine de pages où peu s'en faut.

Quand quoi arrive me demanderez-vous? Les sept morts ? le nom de la victime? Que nenni... le nom du personnage principal!!!!
Quand le livre commence, celui-ci se trouve dans une forêt, complètement paumé. Il ne sait plus qui il est ni ce qu'il fait là. Un hurlement féminin, un prénom qui surgit de ses lèvres, un coup de feu, un inconnu qui lui glisse une boussole dans la poche et voilà, l'intrigue commence.
Ce n'est que plus tard, bien plus tard, alors que l'enquête a déjà bien commencé et que nous sommes en train de nous demander qui est qui et pourquoi et comment que l'identité du personnage principal est dévoilée.

Or, cette identité est un élément clé de l'intrigue. Et le fait de l'apprendre avant de commencer ma lecture me l'a complètement gâchée dans la mesure où le premier quart du roman n'a rien à voir avec son résumé.

Concernant l'histoire en elle-même, j'ai apprécié l'originalité. C'est certain, mélanger le fantastique avec une intrigue policière, il fallait oser. Une fois que l'on comprend le principe et la règle du jeu, on se laisse emporter par l'intrigue... encore faut-il les comprendre. C'est le défaut majeur de ce roman : l'auteur complique tout d'entrée de jeu. Je préfère cacher ce qui va suivre pour éviter le spoiler.

Si vous n'êtes pas familier avec la complexité des voyages temporels, passez votre chemin.
Si je m'en suis sortie, c'est uniquement parce que je me suis enfilée neuf saisons de Doctor Who.


En résumé : intrigue intéressante et originale qui ne tient pas ses promesses. Trop de complexité gâche le plaisir de la lecture. Au final, on est plus préoccupé par comprendre les relations entre les personnages que par l'identité du meurtrier.

Mélanger les genres littéraires est un art. Il faut bien faire attention à l'équilibre des saveurs. Ici, le fantastique prend trop le pas sur le policier.
Dommage.
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Rendez-vous manqué avec le livre de Stuart Turton.
Malgré mon envie de découvrir ce roman construit de manière ingénieuse selon les critiques, j'ai très rapidement décroché.
Ce qui m'a d'emblée déplu, c'est l'écriture très British et à mon sens très datée du roman. J'ai eu l'impression de retrouver l'Agatha Christie des Miss Marple ou l'une de ses concurrentes de l'époque comme MargeryAllingham.
On peut aimer Jane Austen, Downtown Abbey, Agatha Christie et le Cluedo sans pour autant être sensible au mélange des genres.
De fait, perturbée par le style du roman, je n'ai pas réussi à me passionner pour cette enquête, certes originale.
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Bon, je ne tournerai pas autour du pot: j'ai été très déçue.
Et ça m'ennuie d'autant plus que le principe de ce roman , à la base, me semblait intéressant.
Jugez plutôt: une partie de Cluedo géante dans un manoir fantomatique, pour savoir qui a assassiné l'héritière de la famille Hardcastle ! Mais un Cluedo où l'enquêteur se réveille chaque matin dans la peau d'un personnage différent, et dont il ne pourra sortir que s'il résout le mystère.
C'était alléchant.
Eh bien c'est loupé.
J'ai trouvé le récit très confus, pénible à suivre; le style caricatural ; les personnages sans épaisseur. Et ça dure - excusez du peu - 600 pages.
Bref, je ne sais pas si l'auteur a commis d'autres ouvrages, mais ce sera sans moi.
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Un livre qui nous promet un mélange de Downtown Abbey et d'un jour sans fin, une belle couverture, et puis après les deux premiers chapitres, j'ai réalisé que la promesse ne serait pas tenue. C'est long, il y a beaucoup trop de personnages, les intrigues frisent le ridicule. Ça n'a ni queue ni tête. Plusieurs fois j'ai été tentée de l'arrêter tellement je trouvais histoire insipide. Je n'ai vraiment pas aimé
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J'ai été très attirée par les critiques dithyrambiques de ce premier roman et durant le confinement je l'avais gardé pour la fin (j'ai toujours une pile de livres qui m'attend et je choisi en fonction de mon humeur).
Quelle déception ; moi aussi, je m'attendais à une histoire ressemblant à "Un jour sans fin". Finalement, cela s'est résumé à "Une lecture sans fin". Je termine toujours un roman entamé, mais j'ai été vraiment plusieurs fois sur le point d'abandonner.
Les personnages sont arrogants, l'histoire se délite au fur et à mesure, si bien que l'on s'y perd. C'est un vrai labyrinthe dans lequel aucune sortie n'est possible.
Et la fin se termine... en queue de poisson. J'ai eu l'impression que l'auteur lui-même s'est perdu dans les méandres de son histoire. Où, autre possibilité, je fais preuve d'humilité : je n'ai rien compris, ce qui est fort possible....
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Grosse déception !! c'est même le 1er livre que j'abandonne.
La quatrième de couverture est très alléchante mais pour moi elle ne tient pas ses promesses.
De plus le style de l'écriture est trop brouillon (à mon goût).
Je suis allée jusqu'à la page 100 et j'ai abandonné.
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L'histoire est atypique et pourtant la 4ème de couverture donne envie .

Si certains romans nécessite un paquet de mouchoirs je peux vous assurer que celui-ci demande un stock de dolipranes.
Personnellement je ne suis toujours pas certaine d'avoir tout compris .
Qui est Anna, Annabelle . Qui est mort , pas mort ?
Bref 600 pages quand même 😆


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