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3,62

sur 1164 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Certainement loin des meilleurs Astérix d'antan, mais ce grand fossé et les nombreuses références politico-économiques qu'il paraît véhiculer parviennent malgré tout à procurer une petite détente.

L'idée en soi n'est pas mauvaise mais l'humour vole un peu bas, voire n'arrive guère à décoller. Les fans de la série ont néanmoins les personnages essentiels au rendez-vous. Alors...
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Vous vous demandez sûrement pourquoi je suis passé du tome n°10 au n°25. Je vous rassure moi aussi. Allez-y, foutez-vous de ma tronche vous avez le droit et en véritable mâle Alpha forgé par l'héritage de Léonidas lui-même que je suis, j'encaisserai sans broncher. Mais je vous dois des explications car je me suis bien fait rire et je me devais de vous partager l'anecdote car après tout, plus on est de fous, plus on rit.

Tout commence avec une lugubre soirée d'Halloween... Nan j'déconne, j'ai tout simplement pris la BD juste après celle d'Astérix Légionnaire dans la bibliothèque car, en parfait maniaque de ma collection que je suis, tout est toujours (enfin presque) parfaitement rangé dans l'ordre chronologique. Oui, vous avez deviné, il y a donc eu un beug dans la matrice. Ou alors, mon cher Watson, Madame a mal remis en place derrière moi car oui, je le confesse, je laisse parfois un peu souvent trainer mes BD/comics du moment un peu partout. On me souffle dans l'oreillette que Neo valide cette option.

Mais le plus fou dans cette histoire, ce n'est pas la drastique perte de génie de cette 25ème aventure du Popeye armoricain moustachu, non, non, non, c'est bien ma naïve réaction une fois parvenu à la fin de la lecture : « Tiens, c'est bizarre, l'histoire est quand même sacrément moins bien que d'habitude ». Sur ces entrefesses, je reviens à la première page voyez-vous, et là, stupeur, je lis : « Texte et dessins d'Albert Uderzo ».

Il m'a fallu 13 secondes exactement pour comprendre que j'avais fait un saut spatio-temporel dans l'univers d'Astérix et que j'étais arrivé au stade où le Grand Goscinny était parti de sa belle mort, paix à son âme. D'ailleurs, en ce 1er novembre, paix à celle de tous vos êtres chers partis trop tôt. Reprenons. Pour ma défense, je lisais aux alentours de 23h après avoir perdu la moitié de mes neurones (donc deux après un rapide calcul) sur diverses analyses de la fin de It Follows (ouais j'aime le traditionnel film d'Halloween).

Nous voilà donc au fameux Grand Fossé qui, je ne vais pas vous mentir malgré mes demi racines bretonnes et une riquiqui touche de chauvinisme au fond de moi, n'était pas tip top. C'était même un peu beaucoup moyen. Blagues à plat, scénario en manque d'inspiration, pas besoin de vous faire un dessin : on ne remplace pas un génie d'un claquement de doigts. Restent des graphismes sympatoches et la nostalgie, mais ce n'est pas suffisant pour vraiment prendre son pied.

Comme la conclusion est un peu morose et contraire à mes principes, laissez-moi finir sur une touche personnelle. C'est l'histoire d'un pingouin qui respire par les fesses. Un jour il s'assoit et il meurt. Voilà, là c'est mieux.
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Le grand fossé marque le début des Asterix écrits et dessinés par le seul Uderzo .
Meme s'il existe encore des moments et des dialogues qui prêtent à sourire, on ressent évidemment la perte de la qualité des dialogues...
Cependant, l'histoire est loin d'être inintéressante ! le postulat de départ , un village séparé par un fossé, est bien trouvé...mais....
Quelques bons moments, même si commence aussi la série des méchants caricaturés à l'extrême, comme ici le sournois Acidenitrix, ce que que j'ai eu de la peine à apprecier...
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Encouragé par ses lecteurs, Uderzo décide en 1979 de poursuivre seul les aventures d'Astérix et crée au passage sa propre maison d'édition. Il fallait en finir avec les conflits qui l'opposaient alors à Dargaud, et gérer au mieux l'héritage. le Grand Fossé, 25ème album de la série, sort en 1980 aux éditions Albert René. le succès est considérable. L'album s'inspire du Mur de Berlin, encore bien réel à cette époque.

Avec le Grand Fossé, Uderzo se lance pour la première fois dans la conception d'un album sans son ami Goscinny, disparu l'année précédente. Tout en poursuivant la réalisation des dessins, Uderzo doit donc imaginer le scénario et les dialogues, créer de nouveaux personnages et les mettre en scène. Il s'agit pour lui de ne pas enterrer trop vite Astérix et de faire taire quelques mauvaises langues de son entourage. le pari est-il gagné ?

Certes, Albert Uderzo participait déjà par petites touches et retouches à l'élaboration des scénarios, au moment notamment de ses discussions avec René Goscinny. N'oublions pas que c'est lui qui a été à l'origine de la création d'Obélix (au départ un faire-valoir dans Astérix le Gaulois) et d'Idéfix (au départ un simple figurant devant une boucherie dans le Tour de Gaule). Cependant, seul Goscinny jusqu'à présent imaginait la vue d'ensemble, les lignes directrices, et insufflait le souffle épique aux albums.

Le pitch de l'album tient en quelques lignes. Dans un village qui n'est pas celui que nous connaissons bien, deux clans s'opposent, géographiquement séparés par un grand fossé. Les deux chefs de clans, Tournedix et Ségrégationnix, veulent régner sur l'intégralité du village. Acidenitrix, le conseiller sans scrupule de Ségrégationnix, envisage de faire appel aux Romains et de réduire le camp adverse en esclavage. En cas de victoire, Acidenitrix obtiendra de Ségrégationnix la main de sa fille Fanzine. Prévenu par Fanzine, Comix, le fils de Tournedix, alerte son père et est envoyé par ce dernier chercher de l'aide auprès d'Abraracourcix. Astérix, Obélix et Panoramix vont répondre à l'appel et tenter de pacifier le village.

Pour certains, Astérix est mort avec Goscinny. Il ne faut rien exagérer, le petit gaulois moustachu poursuit encore de nos jours ses aventures sur papier, et a même investi d'autres domaines (films d'animation, films avec acteurs…). Cependant, on peut légitimement regretter un « âge d'or » de la série pendant lequel elle pouvait bénéficier à plein du génie de ses deux créateurs. Dans cet album, on perçoit assez rapidement le changement de style.

Uderzo fait du Uderzo, il revient à ses vielles antiennes, datant de son début de carrière. Avec Comix, il renoue avec ses vieux fantasmes et imagine un bellâtre, musclé et insupportable, comme tous ses précédents héros bodybuildés créés avant la période d'Astérix : Arys Buck, le prince Rollin, Belloy et Oumpah-Pah… Uderzo adore dessiner les gros-bras à petite tête, et c'est comme ça qu'il voyait Obélix initialement. Goscinny lui avait fait comprendre que le physique rondouillard du « gros » avait un potentiel comique bien plus élevé, hypothèse largement démontrée par la suite avec la création et l'évolution d'Obélix tel que nous le connaissons.

Revenant à ses aspirations initiales, Uderzo s'était déjà lâché avec Tragicomix, signe avant-coureur de l'arrivée de Comix, mais qui n'apparaissait que sur quelques cases dans l'album Astérix Légionnaire. Comix, copie conforme de Tragicomix (la moustache en plus), prend plus d'espace et nous fait ici une belle démonstration de muscles et de poses académiques (page 46). Tous ces personnages semblent pratiquer à fond le culturisme pour ressembler à Schwarzenegger. Patience ! Uderzo a maintenant le champ libre et Arnold lui-même ne va pas tarder à apparaître dans un prochain album.

Uderzo fait du Uderzo, quand il tente d'égaler sans y parvenir le niveau des jeux de mots de son maître et ami René Goscinny : « Avec ta tête de hareng saur, tu es toujours de bon conseil Acidenitrix ! Oui, je vais les haranguer » (allitération un peu forcée, page 7).

Uderzo fait du Uderzo quand il abuse des effets produits par les diverses potions magiques créées par Panoramix : les Romains se mettent à gonfler de façon ridicule comme des ballons de baudruche (page 37) ou rapetissent pour atteindre une taille minuscule, faisant apparaître leurs ennemis comme des géants (page 39), on est loin des petits tours de passe-passe observés dans la forêt des Carnutes lors du concours du meilleur druide dans Astérix et les Goths.

Uderzo fait du Uderzo quand il recycle des gags déjà vus : le couple glamour Comix-Fanzine est la réplique du couple Tragicomix-Falbala qui apparaît dans Astérix Légionnaire, Falbala et Fanzine se ressemblent comme deux jumelles, Comix pourrait être le nom abrégé de Tragicomix ; une odeur de poisson caractéristique (pages 19, 23, 34) a déjà été utilisée dans le Combat des chefs (pages 22), y compris pour leurrer un oiseau en plein vol (respectivement page 43 et page 27) ; les légionnaires du camp romain qui se font « porter pâles » et qui font la queue devant l'infirmerie (page 31), rappellent un gag précédent vu dans le Tour de Gaule d'Astérix (page 5) ; Obélix rougissant en recevant un bisou et qui tombe amoureux (page 47), correspond à une situation déjà vue dans Astérix Légionnaire (page 48), etc.

Enfin, Uderzo fait du Uderzo quand il découpe son scénario en petites séquences bien distinctes et vite conclues, sans parvenir à les intégrer dans un ensemble plus vaste tenant en haleine jusqu'à la fin de l'album. La narration isole ainsi plusieurs séquences : 1) la mise en situation jusqu'à l'arrivée d'Astérix et ses compagnons dans le village ; 2) Ségrégationnix et ses partisans, trompés par Acidenitrix, sont fait prisonniers, puis ils sont libérés ; 3) Acidenitrix pousse les Romains à raser le village complet, les Gaulois parviennent à mettre en fuite les Romains ; 4) Acidenitrix enlève Fanzine contre rançon, les Gaulois parviennent à la libérer ; 5) Les deux chefs rivaux se battent en combat singulier et terminent ex-æquo, Astérix propose une solution qui va satisfaire tout le monde. Ce découpage en épisodes vite conclus donne bizarrement l'impression que l'album ne décolle jamais, et que l'auteur ne sait pas où il va.

Ces quelques défauts ne doivent cependant pas masquer les points forts de l'album qui existent et sont à mettre au crédit d'Uderzo.

Uderzo fait appel à plusieurs thématiques complémentaires et convergentes, afin d'étoffer le contexte de son récit. C'est une bonne idée que n'aurait pas reniée Goscinny. Ainsi, le clivage « quartier gauche-quartier droit » matérialisé par le Grand Fossé se substitue au clivage « gauche-droite » classique en période électorale, tant les programmes des candidats sont interchangeables et vides de sens politique. de même, la rivalité qui oppose les Capulet et les Montaigu est ici habilement mise à contribution et transposée, les personnages de Roméo et Juliette étant visiblement les modèles de Comix, le fils de Tournedix, et de Fanzine, la fille de Ségrégationnix. Cette rivalité familiale apporte un élément de contexte supplémentaire, qui sera d'ailleurs à l'origine de la solution imaginée par Astérix en fin d'album.

Toutefois, ni Berlin ni Vérone ne se situent en Gaule, et Uderzo ne parvient pas à creuser véritablement ces deux filons qui lui servent de sources d'inspiration, il lui faut trouver autre chose.

Une autre bonne idée vient donc compléter ce dispositif narratif : la participation de l'infâme Acidenitrix aux événements. Successivement conseillé toxique, traitre, responsable d'enlèvement, Acidenitrix est un personnage repoussant, qui pour faire bonne mesure ressemble à un crapaud, possède deux petites dents pointues, des yeux globuleux, une peau intégralement verdâtre et par-dessus le marché sent le hareng saur. On est ainsi bien certain qu'il s'agit du méchant de l'histoire, pas de doute possible. Acidenitrix rejoint les Tullius Détritus et autres Prolix au Panthéon des méchants dans Astérix, il lui manque cependant un minimum de réussite dans ses manigances pour être réellement effrayant.

Malgré un faux départ pour Ségrégationnix, initialement conseillé par Acidenitrix, Tournedix et Ségrégationnix sont traités à l'identique, pour respecter scrupuleusement la neutralité et maintenir la cote de popularité et le capital sympathie de chacun. Ceci est particulièrement vérifié dans le combat final au corps à corps où ils s'écroulent de fatigue dans les bras l'un de l'autre à même distance du sol (page 45), et sont déclarés ex-æquo par Astérix (page 46).

Quelques bonnes idées peuvent encore être notées : Ségrégationnix parodiant le roi de France Louis XIV (auteur de la fameuse formule « L'état, c'est moi »), en transposant cette formule par « le village, c'est moi » et en prenant la célèbre pose du monarque en costume de sacre du tableau de Hyacinthe Rigaud (page 5) ; la maison de Théorix coupée en deux est à l'origine d'un gag récurrent et évolutif (pages 6, 14, 33 et 47) ; quelques jeux de mots réussis : « Ce vieux forban d'Asthmatix qui ne manquait pas d'air » (page 7) ; « J'ai horreur de tirer des chefs sans provisions !!! – Et moi, je ne peux pas encaisser les chefs aux porteurs !!! » (page 10) ; une belle reprise : « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage » (citation de Jean de la Fontaine, extraite de la fable le Lion et le Rat, page 15) ; et le symbolique « Pont de la Concorde » qui enjambe le fossé désormais rempli d'eau (page 47).

Le premier album réalisé par Uderzo seul était, on le devine, attendu au tournant.

Malgré les nombreux défauts de l'album, le succès a été massif et immédiat, preuve que les lecteurs de 1980 ont préféré la poursuite des aventures du petit Gaulois teigneux, même de façon maladroite, même si le chemin est encore hésitant, à l'arrêt définitif de la série (choix pris par les héritiers de Hergé concernant Tintin).

Aujourd'hui, Tintin est un héros figé dans un bocal, qui va s'effacer progressivement de la mémoire des lecteurs par manque de modernité et de connexion à l'actualité. Sauf décision de passer outre la volonté de son créateur et passage dans le domaine public, Tintin ne peut plus évoluer, contrairement à Astérix et à bien d'autres personnages de la bédé franco-belge, repris par des auteurs talentueux (Blake et Mortimer, Lucky Luke, Corto Maltese, Spirou, Gaston Lagaffe, pour ne citer que ceux-là).

Uderzo doit désormais passer la barre du premier album réalisé en solo pour convaincre et réussir son pari de reprise de la série. le prochain album, L'Odyssée d'Astérix va-t-il lui permettre de transformer cet essai ?
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Cet album ne fait pas partie de mes favoris : je l'ai trouvé moins drôle que les précédents et l'histoire est moins à mon goût.

Assez bizarrement, non seulement le Grand Fossé m'évoque Roméo et Juliette avec ses deux amoureux issus de familles ennemies, mais il me fait aussi pensé au roman de Tolkien, Les deux tours : Acidenitrix n'est pas sans me rappeler Grima, le conseillé de l'ombre qui lorgne sur l'héritière en plus de servir ses propres intérêts.

Une lecture plaisante, sans plus...
Lien : http://lecturesdestephanie.b..
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Gamine, j'aimais beaucoup cet album qui devait certainement titiller ma fibre romantique d'amour impossible. Relu cette semaine pour compléter mon U du challenge ABC, je dois admettre que ce n'est pas le meilleur.

L'humour est bien moins présent, et quand il est présent, il est bien moins subtil.

L'histoire reste plate, même si le postulat de départ était intéressant : le village divisé, le blabla ces chefs, les batailles rangées, le traître...
Reste une nostalgie enfantine et une grande affection pour les personnages créés par Goscinny et Uderzo.
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Une lecture détente sans plus.

Un village gaulois divisé, un fossé, deux chefs, un fils chez l'un, une fille chez l'autre, un traite qui pue, des romains bien sûr et l'intervention de nos amis bien connus pour régler à l'amiable cette situation shakespearienne ;-)

Il y a de l'humour, des références littéraires, des situations cocasses, des vérités historiques et nos gaulois préférés toujours à l'affût du meilleur mot, du meilleur coup :-)

Un peu moins bon que les autres tomes avec un dessin qui se veut plus réaliste mais qui perd du coup son côté amusant. Bon, ce n'est que mon avis bien sûr !
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Les souvenirs d'enfance sont parfois bien décevants !
Ce fût le cas pour cette relecture avec mon fan de BD.
Notre petite dernière et ce n'est pas la meilleure. Snif.

Astérix, Obélix, Idéfix et Panoramix vont aider un village séparé par un grand fossé et des chefs qui ne veulent rien lâcher. Parmi eux le traître Acidenitrix qui sent le hareng.
Une potion supplémentaire va rendre l'histoire un peu plus drôle, heureusement car sinon, c'est l'ennui qui aurait pris le dessus.

Il est évident que le village gaulois et ses habitants vont beaucoup nous manquer. Uderzo et Goscinny ont formé une très belle équipe qui a marqué et marquera encore de nombreuses générations.

Pas évident maintenant de trouver de quoi rassasier mon petit bonhomme.
Si vous avez des conseils, je suis preneuse.
Prenez soin de vous et que le ciel de nous tombe pas d'avantage sur la tête !

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Ségrégationnix et Tournedix : deux chefs, un village, un fossé séparant le quartier gauche et le quartier droit!
Fanzine et Comix, enfants respectifs de nos 2 chefs, s'aimant depuis l'enfance et ne supportant plus la situation.
Seule solution : demander l'aide de nos irréductibles gaulois!

Le lecteur l'aura vite compris, il va trouver de nombreuses références politiques et économiques dans cet album d'Uderzo.

Mais peut être parce que seul ce dernier en a réalisé l'intégralité, les dialogues sont moins percutants. Certes il y a des jeux de mots. L'humour est assez présent mais le tout est assez facile, et manque parfois de finesse (non je ne suis pas gros!!!).

Alors oui, un 3* mais pour le dessin et le sujet retenu plus que pour le traitement de ce dernier.
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Goscinny étant décédé, Uderzo reprend la barque seul, et ça tangue...

Si cela se laisse lire pour qui aime l'univers du Gaulois moustachu, c'est quand même nettement en dessous des standard dont nous avait habitué le duo.

On retrouvera comme d'habitude quelques jeux de mots qui permettent une double lecture pour le public adulte mais ça ne suffira pas a en faire une BD à la hauteur de la licence.
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