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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je l'ai déjà dit à demi-mot dans l'une ou l'autre chronique, je souffre de phobie sociale … mais je refuse de la laisser m'empêcher de vivre, de la laisser gagner en me cloitrant chez moi. Aussi, il m'arrive parfois de m'armer de courage pour me rendre à l'une ou l'autre manifestation littéraire, tout en sachant que je serai terrassée par une crise de migraine bien carabinée pendant toute la semaine qui suivra, tout en sachant que je ne profiterai pas réellement de l'événement sur le moment, vu que je serai sans cesse en train de lutter pour garder la tête hors de l'eau et ne pas m'effondrer … Si aux Imaginales, vous croisez une jeune fille à lunettes complétement hagarde, au bord des larmes, accrochée désespérément à son sac de livres, en train de bredouiller lamentablement quelques absurdités à un auteur, vous m'aurez très certainement trouvée. A ce stade, vous vous demandez probablement pourquoi je m'inflige ce genre de situation terriblement anxiogène alors que rien ne m'y oblige … Déjà, comme je le disais, parce que je refuse catégoriquement de laisser la maladie gagner. Et puis, pour les quelques souvenirs qui parviennent à émerger du brouillard : quelques conversations avec tel ou tel auteur, voire même avec un autre lecteur croisé au détour d'une file d'attente. Des souvenirs qui ressurgissent lorsque je relis les dédicaces : je me souviens ainsi que c'est au salon du livre de Colmar, en 2016, que Cindy van Wilder (vraiment adorable) a finalement réussi à me convaincre de lui prendre Memorex, alors que j'étais venue pour la suite des Outrepasseurs. Six ans plus tard, je l'ai enfin sorti de ma PAL (mieux vaut tard que jamais, nan ?) … et j'aurai sans doute dû m'en tenir à mon plan initial.

Cela va bientôt faire un an que Réha a le sentiment de vivre au coeur des enfers. Un an que sa mère est morte dans ses bras. Un an que son frère jumeau n'est plus que l'ombre de lui-même. Un an que le monde entier a les yeux rivés sur elle, la miraculée de l'attentat de la fondation Breathe, l'héritière de la multinationale pharmaceutique Memorex. Une année entière passée à refouler le plus profondément possible en elle-même toute la colère qui s'est accumulée au fil des mois. Colère contre le mystérieux terroriste qui a brisé en mille morceaux tous les rêves de sa mère. Colère contre celui qui est supposé être son frère jumeau et qui ne lui prête plus la moindre attention. Colère contre sa tante qui les a tous trahis en dévoilant à la presse des mensonges ignobles sur leur famille. Colère contre tous ces journalistes qui campent devant le campus, contre ses camarades de classe qui vivent en toute innocence, contre le monde entier. Tandis que se rapproche, inexorablement, ce premier funeste anniversaire, tandis qu'Aïki et elle s'apprêtent à quitter leur prestigieuse école pour rejoindre l'île privatisée de leur père, pour se recueillir sur la tombe de leur mère, Réha ne souhaite plus qu'une seule chose : que tout redevienne comme avant. Ou, à défaut, de tout oublier, de tout laisser derrière elle pour tout recommencer à zéro. Si seulement c'était possible … Réha est très loin d'imaginer que derrière son souhait de jeune fille brisée se cache une terrible réalité, qui ne demande qu'une petite étincelle pour surgir au grand jour et tout ravager sur son passage.

Impossible de le nier : quand Cindy van Wilder m'a vanté et donc vendu son livre, j'étais intimement convaincue que ce roman (publié dans une de mes collections préférées d'une de mes maisons d'édition préférées) avait absolument tout pour devenir un fabuleux coup de coeur. C'était presque une évidence : avec un résumé pareil, tous les ingrédients semblaient réunis pour former un thriller techno-psychologique palpitant au possible, exactement comme je les aime ! Comment pourrait-il en être autrement, me disais-je alors : non seulement il y a des jumeaux (ceux qui me connaissent savent que je suis fascinée par la gémellité, par ce lien mystérieux et mécompris qui semble parfois unir de façon quasi-magique les jumeaux), mais il est visiblement question d'expérimentations sur la mémoire et de secrets familiaux qui s'apprêtent à éclater avec fracas (tout le monde sait les dégâts que cela peut entrainer … et les bonnes histoires qui en découlent) ? C'est donc avec un enthousiasme débordant et une confiance aveugle que je me suis plongée dans ce récit, d'ores et déjà persuadée que j'allais me régaler du début à la fin. Malheureusement, ça n'a pas pris aussi bien que je l'espérais : ce n'est pas une mauvaise lecture, mais c'est très loin d'être la merveilleuse lecture que j'imaginais. Pour faire simple, je dirais qu'il y avait un très bon potentiel, de très bonnes idées, mais qui n'ont pas été exploitées à leur juste mesure : le fond était prometteur, mais la forme n'a pas suivi ces promesses. Il en ressort un déséquilibre qui a irrémédiablement fait chuter ce roman du piédestal où je m'apprêtais à le mettre …

De bonnes idées, disais-je. Nous faisons la connaissance de Réha, qui a perdu sa mère un an auparavant dans un attentat qui n'a toujours pas été revendiqué ni élucidé : à l'heure actuelle, personne ne sait qui a posé cette bombe, et encore moins pourquoi. Pourquoi donc s'en prendre à une fondation d'art contemporain ? L'incertitude ronge Réha aussi profondément que la rancune : elle a le sentiment que, tant qu'elle ne saura pas qui a causé la mort de sa mère, elle ne parviendra pas à faire son deuil. Tant qu'elle ne saura pas à qui elle doit en vouloir, elle ne pourra s'empêcher de haïr le monde entier. Tant qu'elle ne saura pas pourquoi sa mère est morte, sa vie n'aura plus aucun sens. Mais ce qui ronge Réha plus profondément encore, c'est la distance qui la sépare chaque jour un peu plus de celui qui a toujours été l'être le plus important de sa vie : Aïki, son frère jumeau. D'inséparables, ils sont devenus de parfaits étrangers l'un pour l'autre. Pourquoi s'obstine-t-il à l'ignorer, comme si elle n'était personne à ses yeux ? Elle donnerait absolument n'importe quoi pour retrouver son alter ego, la seconde moitié d'elle-même … Pour ne pas avoir à affronter seule l'épreuve qui les attend sur l'île familiale : le premier anniversaire de la mort de leur mère. le désarroi de Réha ne peut laisser indifférent, et cela d'autant plus qu'on a la vague mais profonde intuition que la pauvre enfant est très loin de tout savoir : il y a quelque chose de vraiment pas net derrière toute cette affaire, mais sa souffrance est trop grande pour qu'elle puisse y voir clair.

Mais le gros problème, justement, c'est que c'est trop flagrant. Ca crève tellement les yeux que quelque chose ne tourne pas rond qu'il n'y a absolument aucune surprise lorsque la « grande révélation » a lieu : on s'attendait tellement à quelque chose de ce genre qu'on ne ressent finalement rien de plus qu'une sorte de lassitude. « Oui, et alors ? ». On a déjà vu cela bien souvent, rien de très original. Oui, l'être humain a toujours rêvé de transcender la nature humaine, de vaincre la mort, mais aussi de tout contrôler, y compris les souvenirs et les pensées, de refaçonner l'être humain à sa convenance, de se prendre pour un dieu. Oui, il y a des personnes sans scrupules qui ne reculent devant rien pour satisfaire leur quête effrénée de connaissance et de pouvoir, et qui se trouvent des centaines d'excuses pour légitimer leurs actes ignobles (que d'atrocités a-t-on commis au nom du « bien commun »). On sait, pas besoin de l'assener avec autant d'insistance. C'est d'ailleurs ce qui m'a le plus dérangée dans cette lecture : cette surenchère. A chaque chapitre, on en rajoute une couche, pire qu'un mauvais film hollywoodien : encore un coup de théâtre, encore une révélation « fracassante », sans oublier les situations clichées à mourir … Ca va bien cinq minutes, mais quatre-cent pages, c'est lassant. Sans oublier le va-et-vient entre passé et présent, qui joue beaucoup trop sur le « j'en dis assez pour bien faire comprendre au lecteur qu'il y a anguille sous roche mais assez peu pour conserver un pseudo-mystère » : c'est tellement artificiel, ça manque tellement de subtilité, que ça agace plus que ça n'attise la curiosité …

En bref, vous l'aurez bien compris, j'attendais bien plus de ce roman, qui me laisse vraiment sur ma faim. D'un côté, il y a trop de choses, et de l'autre, pas assez. D'un côté, on est dans une sorte de surenchère frénétique de péripéties toutes aussi clichées les unes que les autres, de pointage de doigts des indices pour éviter que la « grande révélation » ne tombe de nulle-part. de l'autre, on est dans une absence absolue d'émotion, de profondeur et de tension narrative : on ne ressent rien de la peine entremêlée de colère de Réha, rien même de sa peur, et encore moins de sa surprise probablement teintée de désarroi. Tout est à la fois trop long (car on fait trainer l'intrigue en longueur pour que la « grande révélation » termine le roman en apothéose) et trop rapidement expédié (comme il y a plusieurs révélations qui s'entremêlent, il faut faire vite, et tout jeter à la suite). On s'appesantit pendant des pages et des pages sur des éléments qui n'apportent en réalité absolument rien à l'intrigue (franchement, à quoi sert Kim, hormis donner le prétexte pour sortir des atermoiements amoureux absolument ridicules ?), et on ne fait que survoler les choses réellement importantes, celle qui méritaient d'attirer l'attention et la réflexion du lecteur (à quoi bon nous faire miroiter un questionnement sur ce qui fait l'humanité et l'identité d'un individu, si c'est pour faire disparaitre en un claquement de doigt celui qui porte cette interrogation ?). C'est vraiment dommage … et je suis d'autant plus frustrée que cela fait six ans que, à chaque fois que je le voyais dans ma pile à lire, je me disais que j'avais hâte de découvrir ce que je pensais être un futur coup de coeur !
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Enfin, je découvre Cindy van Wilder ! Ça faisait longtemps que je voulais la lire, j'aime beaucoup une de ses copines Agnès Marot (une auteure, qu'elle est bien pour la lire) et pis comme elles échangent souvent sur twitter et qu'Agnès lui fait plein de références dans ses bouquins, bin ça m'a donné envie de voir ce qui se passait de son côté ! Kara (l'autre tenantrice de ce blog) a tenté les Outrepasseurs mais n'a pas trop accroché. Moi je me suis penchée sur le cas Memorex mais je partage son sentiment (tristesse), je n'ai pas été convaincue par ma lecture.

Je pense que le roman a cependant de très bonnes qualités comme l'écriture de l'auteur : fluide et agréable. le livre se lit très facilement, on a envie de savoir la suite et on se retrouve à la dernière page en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire. Ensuite, il y a beaucoup d'action, le scénario est digne d'un film américain.

Et pour moi, c'est là que le bât blesse. L'histoire aurait pu se contenter du pitch de départ mais à chaque nouvelle péripétie j'avais l'impression qu'on en rajoutait dans la grandiloquence et à un moment je me suis dit « non mais stop, ça devient pire que Fast & Furious » -ceci est une hyperbole-. Il y a certains cliffhangers que j'ai vu venir à genre des kilomètres et d'autres qui m'ont laissé une impression de WTF.

L'histoire de Memorex se passe aux Etats-Unis, il y a des anglicismes partout, j'avais l'impression d'être dans un livre qu'on étudie au collège pour apprendre l'anglais. Bon ça peut avoir un côté éducatif intéressant, j'entends bien. Moi ça n'a fait que confirmer mon impression de lire un livre ou un scénar de film américain à gros budget. Et ça m'a déçue parce que je m'attendais à quelque chose de plus fin, subtil.

En parlant de subtilité, est-ce-que j'aborde le traitement réservé aux journalistes dans ce livre ? Non parce que ça va m'énerver sévère. Pas une fois le mot journaliste n'est pas raccordé à une insulte ou un sous-entendu malheureux. Sérieusement ?

Parlons maintenant des personnages. Réha (quel joli prénom !) est l'héroïne, elle m'a touchée (forcément) mais en même temps énervée. J'ai pas réussi à lui en vouloir cependant. Je trouve que c'est une héroïne très intéressante. Les autres personnages sont bien construits, je me suis particulièrement attachée à Holly. La relation entre les jumeaux est bien abordée (on a pas de télépathie = joie et félicité !). J'appréhende toujours un peu les jumeaux dans les livres (enfin surtout les clichés), étant moi-même monozygote.

En somme, un roman qui m'aura déçu, surtout par son côté américanisé auquel je ne m'attendais pas, j'aurais aimé plus de proximité et plus de finesse (ça lui aurait donné un écho et une profondeur différents). Après, je pense que ça reste un bon livre donc je conseille pour ceux qui aiment l'action et les thrillers sur fond de SF !

~Kin
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Si l'intrigue en elle-même se suit agréablement, plus j'arrivais à la fin, plus j'attendais qu'il se passe quelque chose de fou. Non pas qu'avant la fin il ne se passe rien, même si le début a été un peu long à démarrer, mais j'attendais une grosse surprise. Et donc si le roman comporte des retournements et des révélations intéressantes à quelques reprises, j'en ai deviné plusieurs, parmi les plus importants. du coup ça a eu un effet de soufflet qui retombait. Dans ce genre de titre, lorsque le gros de l'histoire ne nous surprend pas, je trouve qu'on perd beaucoup en terme de plaisir de lecture. C'est malheureusement ce qui s'est produit avec Memorex.


Malgré tout ça j'ai lu sans déplaisir aucun, j'ai aimé certains éléments de l'intrigue, l'auteure à de bonnes idées, mais je m'attendais à trouver une histoire plus prenante qu'elle ne l'est, et plus pressante aussi. Et il y a un petit manque du côté des personnages, mais ce que l'auteur offre est pas mal du tout en l'état.
Lien : http://bloggalleane.blogspot..
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Un thriller d'anticipation sur fond de manipulations scientifiques. L'intrigue se met véritablement en place après les 100 premières pages, et on apprend enfin ce qui est arrivé à Rhéa. C'est un peu long et son mal-être des 100 premières pages est pesant.
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J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. L'héroïne est assez antipathique, elle est tout le temps dans le jugement (je ne comprends pas cette haine qu'elle a pour une fille, parce qu'elle est... gentille avec celle ?). Malgré le fait qu'on sache qu'elle a traversé des épreuves, j'ai eu du mal à m'attacher à elle. Les personnages secondaires étaient bien plus sympathiques ou intéressants à mes yeux.
J'ai trouvé également qu'il y avait des longueurs et peu d'action. L'action arrive passé au moins la moitié du livre, et une fois là, il y a plusieurs rebondissements qu'au final j'avais déjà deviné pour certains. D'autant plus que les indices sont tellement flagrants, que je me suis demandée comment l'héroïne ne pouvaient pas deviner certaines choses.
Ce n'est pas une mauvaise histoire, on a envie d'avoir le fin mot, il y a une atmosphère pleine de suspense, et le sujet est intéressant, en revanche, l'héroïne m'a laissé plutôt indifférente, et je me suis un peu ennuyée. Pas une lecture pour moi.
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L'histoire se passe en 2022, même s'il y a quelques allers-retours dans le passé. Au départ je l'ai trouvé intriguante et bien écrite. de même j'ai trouvé touchante l'amitié entre Rhéa et Ilse. Toutes les deux viennent de familles riches et influentes qui les ont mises en pension à la Mansfield Academy et elles ont développé une belle complicité. Mais Rhéa est très abattue, même si elle essaie de faire bonne figure, depuis que sa vie a basculé...Au départ il y a beaucoup de non-dits et de mystère autour de ce qui s'est passé. Au final on apprend que Rhéa a perdu sa mère dans un attentat visant sa fondation, Breathe, engagée auprès des artistes. Depuis cet événement elle a également perdu toute la complicité qu'elle avait avec son frère jumeau, Aïki, qui fréquente la même école privée qu'elle. Elle le trouve changé, il a l'air de l'éviter et il s'est complètement coulé dans le moule de l'école alors que ça n'était pas du tout son caractère.
Même si le roman est bien écrit j'ai eu du mal à me passionner pour l'histoire, alors que pourtant le thème de la bioéthique m'intéresse. Déjà j'ai trouvé des longueurs assez rapidement sur le suspense entretenu autour des événements ayant touché Rhéa, toute cette attente m'a semblé inutile et artificielle. Surtout, je crois que j'ai eu du mal à m'attacher au personnage principal. Elle ne m'a pas touchée, juste agacée, parfois même quand ses réactions étaient justifiées. Elle semble forte mais elle est aussi très amère, cela peut se comprendre car elle été traumatisée, mais ce côté râleuse voire odieuse m'a parfois tapé sur les nerfs. Cela s'atténue une fois le pensionnat quitté, alors qu'elle a rejoint l'île privée de son père avec son frère et sa copine. Quand tout bascule sur l'île et que celle-ci est attaquée Rhéa devient plus sympathique à nos yeux et il y a davantage d'action et d'adrénaline. Malgré tout je n'ai pas été convaincue. J'ai trouvé les ficelles trop grosses et j'ai été déçue.
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Je crois que je me suis un peu trop habituée aux romans qui démarrent sur les chapeaux de roues et qui vous plongent dans l'intrigue en moins de 20 pages. S'il n'y avait pas eu autant de chroniques positives sur ce roman, je l'aurais surement abandonné car il faut attendre pratiquement la moitié du roman avant de voir l'action apparaitre. Heureusement la deuxième partie du roman finit par rattraper et nourrir mon impatience.
Je trouve bien dommage d'attendre aussi longtemps pour exploiter l'idée du roman qui est pourtant très intéressante : l'utilisation de l'évolution technologique et ses dérives pour sauvegarder, l'esprit/âme/cerveau d'un corps humain.
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Cindy van Wilder est maintenant connue grâce à sa trilogie des Outrepasseurs. Là, elle nous propose un récit d'anticipation. C'est une lecture qui pourra plaire à un public qui n'a pas beaucoup lu de livres de ce genre. le défaut majeur de cet ouvrage est d'avoir une première partie de mise en place de l'intrigue beaucoup trop longue. de plus le personnage principal est très agaçant. Enfin, du fait de la narration éclatée, le lecteur en sait très vite beaucoup plus que les personnages et ces derniers mettent un temps infini à réagir à l'histoire, ce qui est très éprouvant dans une lecture où l'on attend des personnages très réactifs.
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Un bon petit thriller plaisant mais pas bouleversant non plus. Réha se retrouve sur l'île qui appartient à son père, un milliardaire à la tête de la société "Mémorex".
Elle y retrouve son père, son oncle, son frère et sa petite amie et découvre certains secrets qui font vaciller tout son monde.

Le personnage de Réha est le point fort de ce roman, sa personnalité fédère l'ensemble.

Je regrette simplement qu'on comprenne assez facilement de quoi il retourne ce qui enlève un peu d'intérêt à suivre l'intrigue. Malgré tout, on passe un bon moment grâce à l'évolution de Réha et de ses relations avec les autres personnages.
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