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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Jack Vance nous entraîne plus loin encore dans son immense univers, approfondissant sa mythologie, alimentant ses mondes d'une imagination débordante, exotique, originale; et l'on retrouve son héros(anti héros!?) Gersen à la poursuite de sa vengeance qu'il dévore méticuleusement, astucieusement, détail après détail, de manière inaltérable et inébranlable. Sa vengeance doit s'accomplir coûte que coûte, quelqu'en soient les efforts, les risques et les conséquences. On retrouve un Gersen à la limite de l'obsession, mais c'est une obstination profonde qui le travaille et qui lui permet d'avancer, de faire ce qu'il est capable de faire. On retrouve un Gersen très calculateur, intelligent, lucide, observateur, et physiquement très apte à se défendre. L'on en apprend plus sur ces princes démons qui sont perçu comme des divinités plus que comme des êtres mortels, mais qui sont présentés somme toute comme des êtres humains, inaccessibles, inexistants, impalpables, dont la réalité même reste à prouver. Vance joue beaucoup sur les faux semblants, les fausses pistes, la multiplicité des apparences et des personnalités et en joue avec son héros de manière surprenante.
La lecteur de ce roman est facile, rapide et je ne peux que ressentir de la frustration face au potentiel énorme d'une telle oeuvre qui se solde par une résolution finale téléphonée, rapide, décevante, qui montre certes toute l'étendue des possibilités du héros mais qui nous laisse sur notre faim en espérant du mieux pour la suite.
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Kerth Gersen, après avoir éliminé Malagate, continue à rechercher les princes démons qui ont massacré son village et réduit en esclavage les survivants. Lors d'une mission pour la CCPi (Compagnie de coordination de police internationale), il retrouve la trace de Kokor Hekkus

La Machine à tuer est le deuxième volet de la Geste des Princes Démons.

Comme dans le premier volet les princes démons sont très bien insérés dans l'Oecumène et il faut toujours attendre les dernières pages pour savoir derrière quel personnage le prince démon se cachait.
Chaque chapitre est introduit par un extrait de texte permettant d'expliquer des éléments de l'Oecumène sans plomber le récit d'explications nombreuses.
Ce roman est d'une lecture facile et rapide pour peu qu'on accepte de voyager dans l'espace.
J'apprécie la richesse de l'invention : Interéchanges a un rôle dans le kidnapping spatial. Cette société fournit sa caution aux transactions, elle paie le kidnappeur et garde le kidnappé jusqu'à ce que celui-ci puisse s'acquitter de sa rançon.
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