AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,67

sur 1056 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Cette lecture avait tout pour me plaire : une ferme dans les Cornouailles, une lande battue par les vents, la Seconde Guerre Mondiale…

Pourtant, dès le départ, impossible d'accrocher à quoi que ce soit : ni aux personnages, ni aux événements. C'était tel que mon esprit vagabondait au lieu d'être concentré sur la lecture.

D'habitude, les retours dans le passé et la probabilité d'un vieux secret sont des choses que j'apprécie en littérature, mais ici, rien n'a éveillé mes émotions.

Embêtant car je faisais une LC avec ma copinaute Bianca… N'y tenant plus, j'ai sauté des pages avant de zapper carrément toute une énorme partie du livre et je suis tombée, précisément, sur le secret qui commençait à pointer le bout de son nez au rayon "Révélations".

Même là je n'ai rien ressenti ! Rien, que dalle, nada, comme si mon coeur était de pierre. Une fois terminé, j'ai posé ce roman et en ai pris un autre qui était en cours de lecture.

Il finira oublié sur une étagère, ce qui est dommage car j'avais de grands espoirs. Trop, sans doute.
Commenter  J’apprécie          210
Cornouailles, une ferme isolée au sommet d'une falaise. Battus par les vents de la lande et les embruns, ses murs abritent depuis trois générations une famille et ses secrets.
Deux étés séparés par un drame inavouable. Peut-on tout réparer soixante-dix ans plus tard ?
Deux histoires en parallèle. Deux vies de femmes meurtries.
Que dire de ce roman ?
Là, tout de suite, rien.
C'est gnangnan. Pathétique. Ça tourne en rond. Même la description des paysages de Cornouailles est plate. Répétitive.
Un ennui sans fin ...
Commenter  J’apprécie          110
(...) je ressors mitigée de cette lecture.

Sans surprise, j'ai aimé me retrouver dans cette belle région que l'auteure décrit très bien, on sent presque l'odeur de la mer. La description de la vie à la ferme et des difficultés rencontrées par la famille m'ont aussi bien plu. Sarah Vaughan restitue plutôt bien l'ambiance de l'exploitation pendant la guerre et son style est agréable. ça se lit très bien et très facilement.

A côté de ça, les personnages m'ont semblé d'une passivité assez incroyable compte tenu des évènements. Nous suivons essentiellement Maggie et Lucy et je n'ai compris aucune des 2. Leurs réactions, leurs actes m'ont paru le plus souvent dénués de sens et je ne me suis pas du tout attachée à elles. J'aurais aimé voir la 1e se révolter contre son horrible mère et la seconde se prendre en mains. le personnage d'Alice, dont la présence plane constamment sur l'histoire, m'a été insupportable également. La jeunesse n'excuse pas tout et elle non plus n'est pas capable de réagir correctement. Qu'est-ce que ces femmes ont donc dans la tête?! Les personnages masculins qu'on suit le plus, Tom et, surtout, Will, m'ont davantage convaincue, mais malheureusement ils restent au second plan.

Le secret de famille dont il est question a été assez rapidement éventé en ce qui me concerne et la romance tragique était effectivement sans surprise, bien que l'auteure fasse des mystères et ajoute des péripéties pour embrouiller le lecteur.

Bref, une histoire bien écrite, située dans des lieux intéressants, mais qui, pour moi, pêche par ses personnages trop passifs.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
Commenter  J’apprécie          70
Une grosse déception pour ma part ! Une ferme , un décor , des personnages peu attachants , un secret de famille ... Il y avait des ingrédients mais rien ne s'est passé. Je me suis ennuyée dès le début. de plus , l'écriture n'est pas terrible, ce qui ne permet pas d'accrocher aux descriptions des Cornouailles. Je l'ai abandonné rapidement, je ne sais donc pas juger de l'intrigue familiale ...
Commenter  J’apprécie          40





Je crois qu'il va falloir que j'arrête de me fier aux quatrièmes de couverture alléchantes. A première vue, la Ferme du bout du monde a tout pour charmer : présence d'une nature forte, la Cornouaille, une intrigue familiale sur deux générations : quelle n'était pas mon impatience en rentrant de la bibliothèque avec le fameux bouquin entre les mains. Oui mais… Dès le début, je découvre un style très cliché, lequel ressemble davantage aux premières minutes des téléfilms planplan que regarderait ma grand-mère.
Lucy vient de découvrir son cocufiage et, comme si cela ne suffisait pas à son malheur, commet une faute lourde au travail. Pour continuer dans les ondes positives, la pauvrette se débat avec un deuil qui ne passe pas : celui de son père, disparu quelques années plus tôt. On le comprend bien vite, cet homme était son héros, la figure masculine absolue. Depuis, tout son petit monde s'est effondré, il ne reste que les photos et les souvenirs qu'elle nous ressort à toutes les sauces, et l'assaisonnement ne prend pas toujours. Au fond du trou, Lucy part donc se ressourcer dans la ferme familiale de sa grand-mère Maggie.
Parallèlement, Alice, une vieille dame atteinte d'un cancer en phase terminale, décide de retourner une dernière fois dans cette fameuse ferme où elle et son frère avaient trouvé refuge pendant le Blitz.
Ici, tout ressemble d'emblée à une situation initiale bien définie, bien trop définie pour sembler naturelle : l'intrigue débute et l'on en voit toutes les ficelles. En bref, les descriptions comme les dialogues sont bien trop proches du résumé. Les émotions sont livrées grossièrement avant même que le lecteur ne puisse les ressentir et les deviner. Quant à la nature, l'aspect sauvage de la Cornouaille, toutes les descriptions sont malheureusement ampoulées et manquent de profondeur, comme tout le reste d'ailleurs.
La plume ? Que dire, je ne sais pas si le style est mauvais de base ou si la traduction a été réalisée par un élève de quatrième. Je crois d'ailleurs que j'ai eu l'occasion de lire la pire phrase du monde : « la brûlure glaciale se répandit de son aine à son nombril, puis à sa poitrine » : je n'arrive toujours pas à comprendre comment la rythmique atroce et la sonorité affreuse de cette dernière ont pu passer au travers des multiples corrections et relectures.
En bref, un mauvais roman.

Commenter  J’apprécie          20


Lecteurs (2433) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3205 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}