Blondinet était déçu. Il avait bien espéré me faire sauter l'arrière du crane . Le chauve se marrait . Il tenait sa rapière presque négligemment.
Une belle arme décrochée de quelque panoplie à usage décoratif.
J'ai bu , j'ai un peu rincé ma sueur. Ça zonzonnait de partout .Libellules bourdons ,guêpes ,abeilles ,mouche plus un joli nuages de moustiques que j'intéressait beaucoup .Les insectes ont proliférés. Pas qu'un peu.
Il faut supposer que le meurtre, quand tu faisais dans le détail, c’était pas convenable, et que ça devenait correct dès que tu travaillais en gros. Jo disait que dans ces cas-là, on baptisait ça patriotisme, ou nationalisme, alors, bien sûr, les pires saloperies étaient couvertes par un drapeau.
Dans un décor de désastre après une épidémie qui a ravagé la planète , les survivants survivent comme ils peuvent : en solitaire ou en groupes , comme des hommes ou comme des sauvages sans pitié.
Gérald est un solitaire , il va sauver Annie des griffes d'un groupes de loup sans pitié , il le sera lui aussi et continuera sa route avec elle avant de rencontrer Thomas.Ils feront la route à trois puis à deux lorsque Annie qui voulait aller sur Paris , disparaitra ..
Les écueils seront nombreux , les rats , les bactéries et ces drôles de billes qui recouvrent les cadavres , sans oublier des bandes de fanatiques religieux ou pas , mais sans pitié...
Une autoroute sauvage , même très sauvage ....