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3,08

sur 787 notes
Je vais être honnête dès le départ: je ne l'ai pas fini, je n'ai pas pu ...

L'aspect intéressant du livre car oui il y en a un un, c'est sans aucun doute de lancer un débat sur le thème "peut-on rire de tout?". En effet vaste question, le peut-on ... Je n'ai pas la réponse, mais la seule chose dont je suis sûre, c'est que chacun aura sa vision des choses et ses propres éléments de réponse en fonction de son vécu, de ses affects, et de sa sensibilité.

Je n'ai pas réussi à accrocher à ce roman à la thématique pourtant prometteuse. Je n'ai pas trouvé l'aspect humoristique annoncé, je n'ai pas trouvé la plume acerbe promise, non vraiment je n'ai rien retrouvé de cela. Limite je l'ai trouvé "vexant". Carrément oui. Au fil des pages, j'ai eu l'impression d'une présentation d'Hitler débilitante ... Présenter ce personnage comme un être débarquant dans notre ère tel un être idiot, grotesque ... m'a dérangée. N'oublions pas que malheureusement, vu où il est arrivé cet homme devait disposer d'une certaine forme d'intelligence. Et là présenté à la limite du "Mister Bean visite l'Allemagne", je l'ai ressenti comme un manque de respect envers ses victimes, comme un manque de respect envers cette histoire qui est parfois à la limite de se répéter.

Mais voilà, avec cette critique que je viens de faire, j'en reviens à mon questionnement de départ, peut-on rire de tout ? Mon ressenti est fortement influencé par mes affects, ma sensibilité et ma vision des choses, et il m'appartient. Mais au final, ne suis-je pas moi-même quelque peu fermée sur cette question que soulève le livre? Mon ressenti est-il du au fait que je n'ai pas été capable de prendre du recul par rapport au personnage abordé?
Au jour d'aujourd'hui, j'ai encore dans un coin de ma mémoire ce vieux monsieur rencontré au Fort de Breendonk, celui qui voyant une classe arriver "s'est invité" pour nous raconter ce qu'il s'est passé dans ces lieux. Je le revois pleurer en évoquant certains noms, je revois ces gerbes, ces mots de soutien et d'excuses, je revois ces poteaux alignés, ... Je revois mon grand-père évoquant quelques souvenirs et taisant ceux qui étaient trop durs pour lui. Je revois ces récits forts parlant de la Rafle du Vel d'Hiv et autres atrocités de la seconde guerre, je revois ... la liste est longue. Assez longue que pour avoir orienté ma lecture de ce roman et sans doute m'avoir fait passer à coté d'un aspect du bouquin que je n'ai pu saisir parce que ce que je suis et mes ressentis ont pris le dessus.
Lien : http://desmotssurdespages.ov..
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Il est revenu. Se réveillant après 70 ans de léthargie, Adolf Hitler découvre la nouvelle Allemagne, le nouveau monde, les nouvelles technologies. Pris pour un bouffon déguisé au début, les médias (TV, Youtube, internet) lui permettent d'avoir un nouveau rôle avec ses anciennes idées, dont certaines sont curieusement basées sur des problématiques d'une cruelle actualité. Et il fait un tabac! Bien sûr, il ne faut pas prendre ce roman au sérieux, il faut savoir en rire, et surtout se poser la question du poids des médias, du discrédit de la politique actuelle et de celui de l'Europe, qui permettent à n'importe quel populiste de tenir un discours racoleur. ça vous rappelle quelqu'un d chez nous. de l'audace, il en fallait pour ressusciter Adolf Hitler. Timur Vermes en a, et rien que pour cela, c'est un grand roman. A lire!
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Lors de la dernière opération Masse critique, ce roman m'a de suite attirée. Par sa couverture d'abord, qui est, reconnaissons-le, très réussie ; par sa quatrième ensuite, qui annonce une satire désopilante. Une question m'a alors traversé l'esprit : peut-on rire avec Hitler ? Certes, Chaplin l'avait fait avec « le dictateur » mais en ces temps troublés où les idées d'extrême droite refont surface, c'était un incroyable pari.

Il m'a fallu plusieurs dizaine de pages pour entrer dans le livre. Je sortais d'un récit de guerre et passer d'un récit historique à une satire sur le même sujet ne fut pas chose aisée. Mais l'auteur est bien documenté sur le passé et sur le présent. J'ai pris un certain plaisir coupable à cette lecture qui m'a laissé un goût amer.

L'histoire se passe en 2011. Mystérieusement ressuscité, Hitler revient à Berlin et raconte à la 1e personne cette incroyable aventure. Bizarrement, si tout le monde est frappé par la ressemblance, personne n'est choqué par son uniforme SS ni par son discours. On le prend pour un acteur, un sosie particulièrement bien imprégné de son personnage. Un producteur lui propose même quelques minutes d'antenne dans son émission et ce sera un véritable succès. Acclamé, Hitler envisagera alors d'aller plus loin en écrivant un livre et pourquoi pas, en se lançant en politique.

La confrontation d'Hitler à la société du XXIe siècle ne peut que faire sourire comme son premier contact avec la presse : un folder MédiaMarkt qu'il pense codé car il n'en comprend pas la moitié des mots. Mais au-delà du comique de situation, cette critique moqueuse pose quelques (bonnes) questions et met dans la bouche d'Hitler des interrogations et des constats qui sont appelés à nous faire réfléchir.

Mais si le monde des médias en prend ici pour son grade, je suis plutôt circonspecte sur le pouvoir de réflexion de ce roman. Vrai phénomène en Allemagne, j'attends de voir si le succès sera le même en France et en Belgique, cet Hitler charismatique ayant de quoi inquiéter.

Au final, un roman que j'ai trouvé à la fois amusant (au 3e degré) et dérangeant par la banalisation du personnage. C'est aussi un produit marketing remarquable de la couverture au prix (19,33 euros).
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Un matin d'août 2011, dans un terrain vague, Adlof Hitler se réveille. Comment est-il arrivé là ? Comment est-il encore en vie ? Où était-il depuis 1945 ? On ne le sait pas et ce n'est pas ce qui importe puisque tout le monde le prend pour un artiste qui incarne l'ancien Führer. Mais il s'agit bien d'Adolf Hitler qui a toute sa mémoire et bien l'intention de reprendre son projet pour faire de l'Allemagne un grand pays. « Vous avez l'air d'être Adolf Hitler. / Justement, dis-je. » (p. 20) Toujours aussi mégalomane, il accepte l'offre d'une chaîne de télévision et prend la tête d'un show télévisé qui soulève à la fois l'enthousiasme et la crainte. « Faites attention, un jour quelqu'un vous prendra au sérieux. » (p. 146) Adolf Hitler prépare une autre guerre et il fait des émules. Avec la puissance de l'appareil médiatique et grâce à sa propre capacité à fasciner et enflammer les foules, l'ancien dirigeant nazi a toutes les chances de remettre en marche son grand projet meurtrier. Oui, tout peut recommencer si on laisse faire, si on rit au lieu de combattre. « J'étais seul pour sauver le peuple. Seul pour sauver la terre, seul pour sauver l'humanité. » (p. 39)

Évidemment, l'intrusion d'un personnage historique dans une autre époque que la sienne fait naître des quiproquos et leur lot de réponses à côté. C'est drôle, mais point trop n'en faut dans le comique de répétition. À la longue, l'émerveillement béat du Führer devant les progrès technologiques est un peu lassant. L'idée de départ est bonne, mais le roman aurait gagné à faire 50 pages de moins. Cela dit, les propos sont généralement hilarants et grinçants. Hitler s'étonne de voir des Turcs partout et se demande quelle maladie mentale conduit des êtres humains à ramasser les déjections de leur chien dans la rue. Il est beaucoup question d'affaiblissement du peuple et des moeurs et de tout ce qu'il faudrait faire pour y remédier. Ça vous rappelle ce qui se passe en Tchétchénie ou ailleurs ? C'est normal. Et c'est atrocement triste.
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La couverture très minimaliste avec les fameuses funestement célèbres mèche et moustache démontre le souci du détail pour ce livre au prix judicieux de 19,33 € (1933, année où il devient chancelier du Reich), ironie ou machine commerciale ?

La 4ème de couverture parle d'une satire aussi hilarante que grinçante. Hilarante, non, car je n'ai pas ri, souri jaune quelque fois. Grinçante, ça oui et oh combien !

Hitler (je peine vraiment à écrire ce nom !) se réveille par un beau matin de 2011 au milieu d'un vague terrain de jeu, vêtu de son costume militaire un peu défraîchi. Personne ne le reconnait. Certains lui trouvent même une ressemblance avec un comique et le prennent pour un acteur. Tout le monde est subjugué par ses « talents d'imitateur ». Une superproduction de télévision, pour faire de l'audimat, l'engage sans plus se renseigner sur lui, avalant tout ce qu'il dit. Il a son propre talk-show et afin de boucler la boucle, on lui propose d'écrire un livre. Cerise sur le gâteau, plusieurs partis politiques le veulent absolument dans leurs rangs.

Tout au long de son livre Timur Vermes s'est inspiré de la façon d'écrire du dictateur pour cette parodie, ce qui donne un style très lourd, ampoulé, verbeux.

Un livre édifiant. En cette période d'élections européennes où les partis populistes ont fait un carton (France, Italie, Danemark…), je n'ai pu m'empêcher de faire des parallèles, de noter certaines similitudes de vocabulaire, d'idées. Les mêmes causes amenant, souvent, les mêmes effets, ce livre m'a fait froid dans le dos.

Timur Vermes fait la satire du milieu télévisuel où le contenant et l'audience ont plus d'importance que le contenu… Mais de là à cette adhésion des producteurs de l'émission ! J'avoue avoir été secouée. Je me demande si cela ne m'a pas plus choquée.

La farce est poussée très loin. Dans sa « tanière du loup » reconstituée en studio, il a, sur le plateau, un assistant vêtu du costume SS « Un grand type superblond, genre SS ». Mais comme l'indique la productrice « de toute façon tout ça est symbolique », ben voyons ! Il se sert de leurs instincts les plus bas pour gravir les marches de la renommée. Cette bande télévisuelle va même au devant de ses désirs. Madame Bellini et ses collaborateurs disent penser second voire troisième degré, « Mon Fureur » agit au premier degré. Madame Bellini pense avoir une émission humoristique, « Mon Fureur » développe son argumentation.

Oui ce livre porte à réflexion. Ce scénario peut, hélas, se reproduire. Par ailleurs, peut-on rire de tout ? Desproges a une réponse qui me plait beaucoup : « on peut rire de tout mais pas avec tout le monde http://felina.pagesperso-orange.fr/doc/extr_dr/desproges.htm.

Je remercie Babelio et Masse Critique ainsi que les Editions Belfond pour ce livre à lire et à méditer.

Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Il ne sert à rien de se forcer à lire un livre dont on n'admet pas, un tant soit peu, le postulat fictionnel initial. Après deux semaines d'une lecture laborieuse, je viens de le comprendre. Gène d'un bout à l'autre, gène à tenir entre mes mains cette couverture (certes habile) où il s'impose sournoisement par sa présence graphique, malaise à lire "je" quand "je", c'est lui et qu' à aucun moment, on est soulagé par un changement de narrateur. Quant aux situations soi-disant humoristiques, elles ne m'ont pas fait sourire, pire, je les ai trouvées inconvenantes. Pourquoi dans ce cas avoir persisté dans ma lecture ? Certes, le livre m'a été prêté mais j'attendais aussi une réflexion pertinente sur la capacité à manipuler l'opinion à travers les médias. Ennui total. Réveillé après un sommeil de plus de 60 ans, il se promène dans les rues avec son uniforme et fait le salut nazi à tour de bras sans que cela ne choque vraiment. Dans ces conditions, pas besoin d'être tellement habile pour s'imposer puisqu'une surprenante bienveillance à moins que ce ne soit l'amnésie, semble le protéger. Invité dans une émission de variétés, il n'a pourtant pas une ligne comique bien évidente et sort tellement peu de son rôle que n'importe qui devrait se rendre compte qu'il est pour le moins fusionnel avec le personnage mais apparemment, sa société de production n'est presque pas inquiétée. Vite, il tourne en ridicule le Bild Zeitung qui l'égratigne dans ces pages. Quant aux possibilités de recours en justice, elles semblent rapidement écartées. C'est donc avec une facilité déconcertante qu'il s'impose comme vedette voire futur homme politique et qu'on lui offre bientôt un pont d'or pour écrire un livre, sous son nom qui plus est.
Je n'ai pas compris l'intention de l'auteur : que veut-il prouver de cette manière ? Pour moi, il n' y a rien de crédible et on en reste à une farce déplacée. Même pas envie de le noter surtout pas en fait quand je réalise la forme que prendrait cette notation.
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Que se passe t'il quand Hitler se réveille 60 ans après sa mort supposée dans un terrain vague (et ce sans une ride !!) ?
Tout d'abord il constate ce qu'est devenue l'Allemagne et ses changements avec sa modernité.

Une critique une peu acerbe de la société Allemande (mais pas que.. en définitive!!!) , avec ses atouts et ses faiblesses.
L'auteur montre l'utilisation néfaste des médias face a un orateur exeptionnel. de plus la population (ou tout au moins une partie) est réceptive et ingurgite toutes la propagande qu'Hitler fait passer dans son émission TV.
toute l'histoire est montée sur un quiproquo.

Je reste mitigée sur ce livre. l'histoire et les idées sont bonnes . Mais je trouve quand même que l'auteur dénigre un peu trop la population... au point de la montrer comme un mouton qui suit son berger... et pourtant le passé a montré qu'il fallait être vigilant !!!
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Cette lecture m'a mis mal à l'aise. Déjà, faire revenir Hitler, brrr cela donne le frisson, mais pas le bon. L'attitude de la population vis à vis de cet individu m'a gênée. Il arrive trop rapidement à avoir une tribune publique, sous couvert d'humour. D'ailleurs l'humour paraît prétexte à tout dire. On accepte l'uniforme nazi, le salut nazi, la croix gammée, les idées extrémistes, l'antisémitisme... Tout cela un peu trop facilement à mon goût. J'ai de l'humour, je pense, mais pas certaine de vouloir rire avec un événement aussi terrible de l'histoire de l'humanité. Pas que je reproche l'écriture de ce roman, du tout. C'est l'attitude de la population que je trouve passive, trop.
L'autre chose qui m'a gênée, c'est le moment où je l'ai lu : quelques jours après la tuerie dans les locaux de Charlie Hebdo. Je ne compare pas l'humour des caricaturistes de Charlie et celui que l'on prête à Hitler dans le livre, mais l'écho entre ma lecture et l'actualité se faisait malgré moi. le "peut-on rire de tout?" me venait constamment à l'esprit. Et c'est ce questionnement qui me mettait mal à l'aise. Parce que pour moi il y a une marge énorme entre ce que font les caricaturistes et ce que fait Hitler dans ce livre, et pourtant l'auteur n'a jamais imaginé une réaction aussi violente que celle qui a eu lieu dans la réalité...
Bref c'était une lecture spéciale. Je n'ai pas lâché le livre avant la fin, je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé, mais elle m'a dérangée.
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En 2011, alors que tout le monde le croyait mort depuis plus de soixante-cinq ans, Hitler se réveille dans un terrain vague en Allemagne ! Ceci est tellement incroyable qu'il est pris pour un mythomane, malgré sa ressemblance parfaite avec l'ex-dictateur et son discours à l'unisson des idées développées dans 'Mein Kampf'.

L'auteur s'aventure sur un terrain glissant avec ce roman, d'autant plus que cet Hitler fictif y expose sans détours son idéologie. le décalage entre le sérieux qu'il affiche et la farce que tous les autres voient en lui crée un effet comique permanent. Ainsi, quand certains lui conseillent de ne pas plaisanter à propos des juifs, le personnage d'Hitler répond que pour lui « les juifs ne sont pas un sujet de plaisanterie ». On comprend facilement pourquoi cet homme devient rapidement sujet à controverse dans cette Allemagne contemporaine.

Le ton du livre est surtout celui de la moquerie : à l'égard d'Hitler (y compris de son talent militaire supposé), de la presse (Bild Zeitung et sa manière de faire de 'l'information'), de l'hypocrisie du NPD, le nouveau parti d'extrême droite. Certains lecteurs trouveront que la légèreté du propos est déplacée. Je comprends cette perception, même si je ne la partage pas.
Cet ouvrage ne vise pas à banaliser l'idéologie nazie ni à en faire l'apologie (à la différence d'un ex-humoriste français). A travers son personnage et les réactions qu'il suscite, ce roman amène le lecteur à s'interroger sur les limites au droit d'expression. Peut-on rire de tout ? le fait que l'auteur prétende faire rire au sujet d'Hitler et de son action n'implique d'ailleurs pas nécessairement que sa réponse soit positive.

J'ai apprécié ce livre original, même si le dernier tiers m'a semblé répétitif.
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Que dire de cette lecture ? J'ai fini ce roman depuis plus d'une semaine maintenant mais je n'arrive toujours pas à décrire les sentiments qui ressortent de cette lecture tellement je suis perplexe...

Je pense qu'en fait, je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire car pour moi, "rigoler" avec Hitler, ça passe moyennement. J'ai bien sûr compris que l'auteur faisait une critique de notre société actuelle, il parle du gouvernement et du peuple allemand mais cela s'applique à tous les gouvernements du monde. Je n'ai pas vraiment apprécié le fait que le Führer devienne une star de la télé dans une émission humoristique. Alors oui, à l'heure actuelle, la télévision est le média le plus présent dans les foyers du monde donc forcément, quand quelqu'un y passe, il a beaucoup plus de chance d'être connu et donc d'avoir de l'influence ! Et c'est cela qui m'a gêné, le fait qu'Hitler gagne une immense popularité grâce à l'humour qu'il véhicule malgré lui....
De plus, je ne sais pas si cela est du à la traduction mais je trouve le style de l'auteur lourd et ennuyeux...J'ai soupiré je ne sais combien de fois en me demandant quand était la fin du chapitre...et pour la fin du livre, je vous laisse imaginer ! Donc je ne suis pas rentrée dans l'histoire, je l'ai peut-être trop pris au premier degrés et cela ma sans doute gâché la lecture. Je pensais être assez détachée pour lire ce genre de livre sans prise de tête mais finalement, mon esprit n'est peut-être pas si ouvert que ça....

Je ne le déconseillerais pas pour autant car je trouve que l'auteur a su assez bien nous montrer un Hitler soucieux de son peuple (peut-être trop encore une fois), friand de nouvelles technologies (et là, on peut dire qu'il a eu de quoi se régaler vu les avancées technologiques depuis la seconde guerre mondiale) et un brin comique, même s'il ne l'est pas consciemment....Cela le rend au final très humain et c'est bien cela qui m'a le moins emballé dans ce livre....

Challenge ABC 2014/2015 2/26
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