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3,08

sur 787 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un livre exceptionnel : j'avais hâte de découvrir ce livre décalé.

"Et si un jour, Hitler ressuscitait quel vision aurait il de notre société ? Verrait il des différences ? Aurait il pu refaire le parcourt qu'il l'a porté au pouvoir ?"

Timur Vermes a écrit un livre très provocateur. Mais le problème, c'est que certaines analyses du "Fuhrer" tombent juste puisque le pays se rallie (encore une fois) à ses idées via le pouvoir des médias et autres supports écrits.

Nombres de quiproquo, de malentendu (parfois risible) et une analyse tendancieuse mais sans équivoque d'un homme habillé en Fuhrer, ressemblant au Fuhrer, qui demande qu'on le salue.

Tout le monde croit que cet homme qui se fait appeler Adolf Hitler est un comédien : Imprégné de son personnage, qui s'habille comme lui qui se grime comme lui.... Tous croient qu'il est là pour provoquer et jouer un rôle dans une émission de télé .
A aucun moment, les responsables de l'émission, le public ne pensent que ce type est Hitler. Timur Vermes décrit l'endormissement de notre société face au Fascisme et à la peur des autres.

Tout au long du roman, on se délecte de cette farce grossière et provocante. Même si il y a parfois des longueurs dans les auto analyse d'Hitler qui cherche à comprendre les outils et la société du XXI ème siècle.

Peut on rire de tout ce qui se dit dans le roman ? Oui, si on le prend au second degré. Si le lecteur prend du recul en n'oubliant pas que derrière Hitler, des millions d'hommes, de femmes et d'enfants sont morts pour un idéal qui n'appartient qu'à lui.
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C'est la première fois que j'écrit une critique sur un livre qui en compte déjà près d'un cent. Mais ce livre est un cas particulier et il me semble qu'il a merité au moins une critique positive. Je n'ai pas choisi ce bouquin que je n'aurai jamais acheté, encore moins pour 19,33 Euros! Je l'ai récupéré dans un hôtel en Afrique, en échange de mon dernier bouquin déjà lu. (En l'absence d'autres bouquins dans une langue que je comprends). Je l'ai lu en version originale, ce qui pour un franco-allemand n'est pas très original, mais pour ce livre sûrement pas innocent. Je vois assez mal en effet comment traduire ce livre de manière raisonnable, car il est rempli de dialecte, jargons, sous-entendus. L'infâme dialecte de AH pour commencer, une véritable torture à mon goût, puis le dialecte berlinois, bavarois, celui des jeunes créatifs de la télé... bref pas un cadeau. J'ai eu des doutes sérieux pendant les vingt premières pages. Pourquoi lire ca? La ficelle est bien grosse... est-ce de l'humour? Telles étaient mes interrogations, mes hésitations. Puis, je me suis pris au jeu. Que nous raconte l'auteur par le biais du fou ressuscité? Une histoire à la fois délirante et banale. la nième version de l'attrapeur de rats de Hamelin. Vermes écrit juste et fort. Il est affreusement bien renseigné. La majeure partie des faits et personnes invoquées sont bien réelles. Ce qui est décrit, avec brio, c'est la possible manipulation de ces faits et dires, par les médias, les partis politiques, le hasard et les malentendus. Contrairement à beaucoup d'autres lectrices et lecteurs (d'après leurs critiques) j'ai souvent rit, pas toujours avec bonne conscience, je l'avoue. Mais enfin, n'est-ce pas un exercice sain que de raconter une histoire aussi sombre dans la mesure ou tout laisse penser, qu'à part le début, celle-ci est globalement crédible? Là, il n'y a plus de quoi rire.
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Il est revenu. Se réveillant après 70 ans de léthargie, Adolf Hitler découvre la nouvelle Allemagne, le nouveau monde, les nouvelles technologies. Pris pour un bouffon déguisé au début, les médias (TV, Youtube, internet) lui permettent d'avoir un nouveau rôle avec ses anciennes idées, dont certaines sont curieusement basées sur des problématiques d'une cruelle actualité. Et il fait un tabac! Bien sûr, il ne faut pas prendre ce roman au sérieux, il faut savoir en rire, et surtout se poser la question du poids des médias, du discrédit de la politique actuelle et de celui de l'Europe, qui permettent à n'importe quel populiste de tenir un discours racoleur. ça vous rappelle quelqu'un d chez nous. de l'audace, il en fallait pour ressusciter Adolf Hitler. Timur Vermes en a, et rien que pour cela, c'est un grand roman. A lire!
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Un matin d'août 2011, dans un terrain vague, Adlof Hitler se réveille. Comment est-il arrivé là ? Comment est-il encore en vie ? Où était-il depuis 1945 ? On ne le sait pas et ce n'est pas ce qui importe puisque tout le monde le prend pour un artiste qui incarne l'ancien Führer. Mais il s'agit bien d'Adolf Hitler qui a toute sa mémoire et bien l'intention de reprendre son projet pour faire de l'Allemagne un grand pays. « Vous avez l'air d'être Adolf Hitler. / Justement, dis-je. » (p. 20) Toujours aussi mégalomane, il accepte l'offre d'une chaîne de télévision et prend la tête d'un show télévisé qui soulève à la fois l'enthousiasme et la crainte. « Faites attention, un jour quelqu'un vous prendra au sérieux. » (p. 146) Adolf Hitler prépare une autre guerre et il fait des émules. Avec la puissance de l'appareil médiatique et grâce à sa propre capacité à fasciner et enflammer les foules, l'ancien dirigeant nazi a toutes les chances de remettre en marche son grand projet meurtrier. Oui, tout peut recommencer si on laisse faire, si on rit au lieu de combattre. « J'étais seul pour sauver le peuple. Seul pour sauver la terre, seul pour sauver l'humanité. » (p. 39)

Évidemment, l'intrusion d'un personnage historique dans une autre époque que la sienne fait naître des quiproquos et leur lot de réponses à côté. C'est drôle, mais point trop n'en faut dans le comique de répétition. À la longue, l'émerveillement béat du Führer devant les progrès technologiques est un peu lassant. L'idée de départ est bonne, mais le roman aurait gagné à faire 50 pages de moins. Cela dit, les propos sont généralement hilarants et grinçants. Hitler s'étonne de voir des Turcs partout et se demande quelle maladie mentale conduit des êtres humains à ramasser les déjections de leur chien dans la rue. Il est beaucoup question d'affaiblissement du peuple et des moeurs et de tout ce qu'il faudrait faire pour y remédier. Ça vous rappelle ce qui se passe en Tchétchénie ou ailleurs ? C'est normal. Et c'est atrocement triste.
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En 2011, alors que tout le monde le croyait mort depuis plus de soixante-cinq ans, Hitler se réveille dans un terrain vague en Allemagne ! Ceci est tellement incroyable qu'il est pris pour un mythomane, malgré sa ressemblance parfaite avec l'ex-dictateur et son discours à l'unisson des idées développées dans 'Mein Kampf'.

L'auteur s'aventure sur un terrain glissant avec ce roman, d'autant plus que cet Hitler fictif y expose sans détours son idéologie. le décalage entre le sérieux qu'il affiche et la farce que tous les autres voient en lui crée un effet comique permanent. Ainsi, quand certains lui conseillent de ne pas plaisanter à propos des juifs, le personnage d'Hitler répond que pour lui « les juifs ne sont pas un sujet de plaisanterie ». On comprend facilement pourquoi cet homme devient rapidement sujet à controverse dans cette Allemagne contemporaine.

Le ton du livre est surtout celui de la moquerie : à l'égard d'Hitler (y compris de son talent militaire supposé), de la presse (Bild Zeitung et sa manière de faire de 'l'information'), de l'hypocrisie du NPD, le nouveau parti d'extrême droite. Certains lecteurs trouveront que la légèreté du propos est déplacée. Je comprends cette perception, même si je ne la partage pas.
Cet ouvrage ne vise pas à banaliser l'idéologie nazie ni à en faire l'apologie (à la différence d'un ex-humoriste français). A travers son personnage et les réactions qu'il suscite, ce roman amène le lecteur à s'interroger sur les limites au droit d'expression. Peut-on rire de tout ? le fait que l'auteur prétende faire rire au sujet d'Hitler et de son action n'implique d'ailleurs pas nécessairement que sa réponse soit positive.

J'ai apprécié ce livre original, même si le dernier tiers m'a semblé répétitif.
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Glaçant ! C'est le terme qui m'est venu à la lecture de la dernière phrase du livre, lorsqu' un parti inspiré du NSDAP est créé avec ce slogan “Tout n'était pas mauvais.”

Le point de départ est le réveil d'Hitler dans un terrain vague début XXIème siècle. Il n'a ni logement ni argent mais il est pris en charge par un kiosquier. Puis il est repéré par une équipe pour donner la réplique dans un show en présentant ses idées. L'important c'est l'audience, et donc l'argent. Il s'adapte d'ailleurs très bien aux nouveaux médias, ordinateur, en particulier Youtube et téléphone portable. Ce qui me semble parfaitement coller avec le personnage historique.
Le contraste entre d'une part les gens qui l'emploient et le public qui le prend pour un humoriste doué et d'autre part le projet d'Hitler qui est simplement de reconquérir le pouvoir pour recommencer ce qu'il a dû interrompre en 1945 est dérangeant. Bien sûr certains applaudissent à ces déclarations mais beaucoup telles sa secrétaire croient que ces shows ont pour but d'éviter que cela recommence. A noter son pouvoir de persuasion intact, qu'il exerce auprès de la grand-mère de sa secrétaire, qui a connu le nazisme et est très choquée que sa petite fille travaille au service de cet homme.
Le livre semble avoir eu un succès beaucoup plus grand en Allemagne qu'en France. Mais je pense que beaucoup d'allusions doivent échapper aux Français sauf à connaître très bien l'Allemagne depuis la guerre. de plus, il semble que la traduction ne puisse pas rendre les finesses de l'emploi du dialecte berlinois de l'époque.

Je ne regrette pas du tout la lecture de ce livre qui n'a cependant pas diminué mon inquiétude pour l'avenir. Les diverses variations de l'expérience de Milgram ne donnent pas des résultats encourageants. Et je ne pense bien sûr pas spécifiquement à l'Allemagne.
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Il est de retour Timur Vermes

Adolf Hitler se réveille un beau matin de 2011 dans un terrain vague de Berlin. Il se retrouve dans le kiosque d'un vendeur (turc) de journaux qui le réconforte et au bout de quelques jours il se retrouve à la télévision.

C'est une satire et une critique de la société politique et civile et de la télévision allemandes. L'idée du roman très originale, faire revenir Hitler et lui faire vivre une vie presque normale au XXIème siècle.
Mais quelque part c'est aussi dérangeant, parce que l'auteur en fait quelqu'un de charismatique qui par quelques mots et quelques bonnes manières va convaincre une grand-mère juive qui a perdu toute sa famille dans les camps de concentration que sa petite fille n'a rien à craindre à travailler avec lui.
Par certains côtés il montre la monstruosité d'Hitler et par d'autres il en fait quelqu'un de vulnérable et de sensible.
Il démontre que les mêmes causes produisent les mêmes effets. La fascination et la bêtise humaine conduisent aux mêmes absurdités, mais ce n'est qu'un roman et les gens réagiraient-ils comme dans le livre si un tel événement était possible ?...
La télévision et les médias jouent un rôle important dans ce roman, c'est grâce à eux que le phénomène "Hitler" prend de l’ampleur, on lui permet de s'exprimer et sous prétexte de l'humour et de la liberté d'expression on le laisse faire des discours similaires à ceux qu'il faisait à son époque.

Donc que penser de ce roman ? C'est un roman plein d'humour qui par certains côtés m'a beaucoup amusée. Mais Hitler peut il être une sujet d'humour ? Mais d'un autre coté ce roman fait quand même réfléchir. Alors?... Je ne sais pas.

J'ai passé un bon moment à la lecture de ce livre. Et j'en recommande quand même la lecture.

Challenge ABC 2015/2016
Challenge le Tour du monde

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Un très bon roman comique au personnage principal sulfureux, j'avais des aprioris sur ce livre mais c'est une très bonne suprise. Un roman drôle mais qui fait également réfléchir sur la place de L'humour dans nos sociétés. En effet on ne pardonne pas les propos d'un homme politique mais finalement sous-couvert de L'humour, on peut tout dire.
Lien : http://desbullesetdesmots.wo..
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Ce que j'attends d'un livre, d'un "bon" livre, c'est qu'il vive en moi longtemps après que je l'aie refermé. J'attends aussi qu'il me fasse réfléchir. Qu'il me déstabilise. Qu'il me titille et qu'il me gêne aux entournures... Et quand je regarde les critiques du livre de Timur Vermes, je peux voir que c'est le genre de livre qui ne laisse pas indifférent. Même quand un lecteur descend le livre en flèche on sent un malaise, un dérangement, un truc qui coince... j'adore ça.

Le présupposé est osé. Hitler se réveille dans un terrain vague en 2011. Suite à quelques quiproquos, il entreprend de répandre son idéologie (qui n'a évidemment pas changé) via la télévision et les réseaux sociaux. L'aspect réseaux sociaux est moins traité (en filigrane) par l'auteur, mais il est bien présent. Et... Hitler arrive à ses fins, malgré les structures démocratiques... à moins que ce ne soit "grâce" à ces structures. Je vous passe le détail des aléas rencontrés et autres étapes suivies par Adolf pour arriver à ses fins.

Qu'est-ce qui coince? Pour moi, pas grand-chose. J'ai aimé ce livre. OK, il y a des longueurs, mais elles sont (àmha) voulues. le style est celui d'Hitler. Il est lourd, pompeux, désobligeant, mesquin, hautain, orgueilleux... C'est un parti pris de Vermes qui s'est très bien informé sur la question. Cette écriture en "je" est délicate et choque, bien sûr. Nous sommes, nous lecteurs, habtiués à faire corps avec le narrateur, à nous identifier, à vouloir que le narrateur "gagne"... Or ici, nous avons envie du contraire, nous voulons que le petit moustachu se gamellen se vautre... donc, à chacune de ses victoires, nous ressentons un malaise tout à fait calculé (toujours àmha) par l'auteur.

On pourrait imaginer que le roman soit choral, et donc passe d'Hitler à d'autres protagonistes. Cela aurait soulagé les lecteurs, cela aurait permis de respirer un peu. On pourrait aussi préférer qu'il existe un doute sur l'identité du personnage. Et que le lecteur puisse se dire "c'est juste un illuminé qui prétend être Adolf"... mais cela déforcerait le propos. Il faut que le lecteur admette qu'Adolf peut revenir. Qu'il revient. le titre est une annonce. Pas un risque. Pas une prédiction floue à la Nostradamus. Non, Il est là. Il est de retour.

Beaucoup de critiques négatives refusent en fait le postulat de base... l'idée que "c'est possible à nouveau". Si Vermes avait pris un sosie, un illuminé, un facho de base comme personnage principal, le roman n'aurait pas eu le même impact. Il fallait que ce soit AH. Il n'y aurait pas eu ce "comique de situation", ces quiproquos, ces décalages entre Hitler et les gens de 2011. Comique... entendons-nous bien. On grince des dents. On n'est pas dans Tom Sharpe, on lorgne plutôt du côté de Coe ou de films à la Ken Loach. Les éclats de rire, ce n'est pas la came de Vermes, clairement.

En 2000, le Times avait lancé un grand référendum: quelle était la personnalité la plus marquante du XXè siècle? Sa bobine devait apparaître sur la couverture du Times... et le Times a publié son numéro rétrospectif en mettant la tronche de la 2è personnalité... car Hitler avait été élu personnalité la plus marquante du XXè siècle. Malaise du Times... C'est sur ce malaise que Timur Vermes capitalise. Et il a bine raison.

Une autre chose qui gêne le lecteur (àmha) c'est que, en donnant la parole à Hitler, Vermes semble ne pas condamner les horreurs nazies. C'est à peine abordé. Mais je ne pense pas que cela soit le sujet du livre. Ma vision est que Vermes critique sévèrement notre société, notre apathie, notre indifférence (d'ailleurs vilipendée par Hitler revenant en 2011).

Considérons un instant notre attitude par rapport à la Chine (par exemple dans la lutte qui se fait jour à Hong Kong)... nous achetons les produits chinois. Notre attitude par rapport à Poutine... plus de 20% de jeunes européens le trouvent smart et intéressant, considérant que la démocratie doit parfois céder la place à un pouvoir fort. Notre attitude par rapport à Trump qui soutient les groupes suprématistes et attrappe les femmes "par la chatte", ou à Salvini qui cite sans vergogne Mussoline et rabaisse la femme... Notre attitude par rapport à Orban ou au gouvernement polonais qui veut interdire le mariage homosexuel ou l'avortement, etc. Les exemples abondent.

Les générations actuelles n'ont pas connu la guerre, et c'est tant mieux. Malheureusement, elles n'ont pas de mémoire, et c'est là que le bât blesse. La meilleure arme d'Hitler (et des gens de son espèce), c'est notre indifférence, notre manque de mémoire, notre égoïsme. C'est ce que montre Timur Vermes.
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Ce livre est formidable : racontant le retour d'Hitler au pouvoir après des décennies de "sommeil" (?), il nous offre une vision décalée de notre monde, et surtout nous laisse imaginer le pire en nous suggérant un retour d'une forme d'Hitler chez un peuple en attente de changement.

En effet, outre les passages hilarants d'Hitler en train de découvrir la TV, les feuilletons, Internet, ... tout dans notre monde du XXIe peut correspondre à son idéologie des années 1930-1940, quand le NSDAP est devenu le parti majoritaire en Allemagne. le nouvel Hitler ne se prive pas de tirer sans cesse des conclusions sur le nouveau peuple allemand, sur l'influence que son parti a encore de nos jours,...

Cet Hitler-là apparaît presque humain, destabilisé par notre monde rapide, multimedia, ... mais perd son humanité lorsque le lecteur le voit réussir dans son entreprise, reconquérir un public...

On se demande sans cesse toutefois, au beau milieu de notre lecture, si Hitler sait que le monde a changé et que la guerre a fini, et s'il sait que ce qu'il entreprend n'est pas de la politique mais de la télévision (et s'il joue sur ce pouvoir télévisuel pour gagner en popularité), ou s'il ignore que ce qu'on lui propose n'est que du divertissement et non un nouvel outil politique, et s'il se voit comme un vrai homme politique en ignorant qu'il n'est vu que comme artiste comique. sait-il vraiment dans quoi il est entraîné?
Cette hésitation entre les deux m'a fait souvent revenir en arrière pour essayer de trouver la réponse, et fait que je ne mettrai pas 5 étoiles, car l'ambiguité est présente... à moins qu'elle ne soit voulue par l'auteur.
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