Le tour du monde en 80 jours

quel roman !
difficile de faire une critique pour un roman qui a touché tant de personnes et qui est devenu "un classique".
offert à mon adolescence, je l'ai délaissé contre d'autres romans, ce qui a été une grande erreur mais je me suis rattrapée et j'ai adoré ce voyage et ces aventures.
tout le monde devrait le lire un jour car il n'a pas pris une ride et on plonge vite dans l'aventure et on s'attache aux personnages.

Lecture réalisée dans le cadre d'un challenge de lecture, qui consistait à lire un classique de la littérature.

Pour valider cette catégorie, j'ai choisi un classique que je n'avais jamais osé lire : le Tour du monde en 80 jours de Jules Verne. 🌍

Je me suis laissé totalement embarqué dans ce périple autour des 4 coins du globe avec Phiéas Fogg, Passe-partout et autres acolytes.

À la suite d'un pari, Monsieur Fogg doit faire le tour du monde en 80 jours maximum. Alors forcément, une course contre la montre, un rythme effréné dicte la lecture.

Des périphéries, des aventures, des mésaventures, des tour de passe-passe pour traverser la planète entière.

Petit regret : j'ai trouvé que les mésaventure de nos héros trouvaient (trop) rapidement des solutions.

Alors verdict, notre héros a t'il réussi ce pari impossible pour le 19ème siècle ?

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Sans réduire les qualités de Jules Vernes (j'ai beaucoup aimé 20.000 lieues sous les mers et Michel Strogoff), j'avoue ne pas comprendre le succès de certains de ces livres.

Celui-ci en est un bon exemple. Si le titre laisse espérer un voyage extraordinaire, traversant des pays qui font rêver, amenant la rencontre de cultures exotiques, on est vite désabusé.

Le livre est en réalité une succession de prise de moyens de transport : bateau et train essentiellement, avec des considérations telles que : "nous avons gagné un jour", "nous en avons perdu deux",... le récit est n'est pas ponctué d'aventures et de rencontres, mais de ce que j'appellerais des péripéties : une attaque d'Indiens, un femme à sauver, un pont qui menace de s'effondrer. Tous ces obstacles sont réglés en quelques pages, d'un coup de cuiller à pot par un héros qui connait tout et sait manifestement tout faire, sauf être sympathique. En plus les styles d'obstacles ont tendance à se répéter : il faut aller chercher le serviteur imprudent mais courageux, gentil mais idiot par la faute de qui on risque de rater un bateau,..

On n'apprend ni ne découvre rien de positif sur les pays qui ne sont pas visités, mais traversés au pas de course. Les personnages sont totalement creux et caricaturaux.

Je n'ai rien appris en lisant ce livre qui pour moi n'a aucune profondeur, et je me suis franchement ennuyée.

Peut être que ce livre est plus destiné aux enfants ou qu'il a mail vieilli ou les deux. En tout cas je ne le recommande pas dans les Jules Verne.

Un bon roman d'aventures, un vrai classique, Jules Verne était un précurseur de ce genre.


Le début pose le décor puis le pari est lancé et d'un coup, l'aventure commence, la course contre la montre débute.

Le temps est la clef de voûte de ce récit, c'est lui qui rythme l'aventure à un rythme effréné!
Entre péripéties, découvertes et rencontres malavisées, les héros sont bien malmenés.

On peut regretter toutefois des situations trop "faciles" où la situation se rétablit avec l'argent distribué. Et le personnage de Phileas Fogg n'avait que peu de saveur selon moi.

J'ai passé un très bon moment.

Une belle histoire d'aventures autour du monde avec d'extraordinaires péripéties. C'est l'un des premiers Jules Vergne qui j'ai lu, trop jeune pour comprendre les détails mais émerveillée par la fin de l'histoire qui lui fait gagner un jour et gagner son pari.

Quel plaisir ! Pour les oreilles avec ce talent narratif de Jules Verne et pour les yeux avec cette magnifique édition des beaux livres Larrousse (récemment publié et non répertorié dans Babelio) qui illustre tout au long du récit des gravures de l'époque. de quoi faire turbiner l'imagination au rythme des moteurs et machines de ce fabuleux voyage.
Cette lecture que j'ai faite à haute voix pour mon grand garçon de 11 ans a été une réussite. Il a adoré, il avait hâte d'arriver au soir pour en connaître la suite. Il a complètement accrocher à ce language plus soutenu de l'époque et à ce savant écrivain d'avant si célèbre.
Un magnifique ouvrage littéraire qui gardera une place de qualité dans ma bibliothèque !

Si Phileas Fogg avait pris conscience à son époque de l'empreinte carbone, il n'aurait pas fait le tour du monde en 80 jours mais avec son vélo, à la nage, en faisant de l'escalade, avec son voilier (sans moteur, même électrique), son char à voile, ses skis, comme un certain Mike Horn et aurais mis beaucoup, beaucoup plus de temps en étant conscient de l'écologie.
Et il n'aurait pas pu prendre ses malles encombrantes.
Et l'inspecteur de police ne l'aurais pas suivi au bout du monde, ni accusé de vol car il y aurait réfléchis à deux fois avant de partir.
Le roman se serait appelé ”Le Tour de Londres (Local) en 80 minutes”.
Ou le Tour du Monde par l'équateur sur le dos de Mike Horn” à défaut d'être à dos d'éléphant dans la jungle des Indes de jadis, mais il aurait pu sauver quand même la belle indienne car il avait déjà pris conscience de la condition des femmes (grâce à jules Verne)
et ça c'est un exploit aussi surtout au XIXe siècle et même au XXe.
D'où la véritable définition de Gentlemen ou Gentilhomme ou Homme Gentil chez les Natives Américan People.
Qu'on se le dise et que ça reste dans nos mémoires dans nos périodes de révélations accélérées !
Mais c'était une autre époque au début de l'ère industrielle où c'était le temps de vanter les transports et leurs avantages mais pas leurs inconvénients !
Merveilleux livre aussi qui nous fait prendre conscience de ce qu'on était et des qu'on est devenu et de ce qu'on deviendra (peut-être) si on est sage.

Mon tout premier Jules Verne !
Dans ce roman, l'auteur nous parle d'un voyage extraordinaire (pour l'époque) qui doit s'effectuer dans un temps imparti. Verne va alors nous montrer comment la terre entière est entré sous la domination de la civilisation, grâce à tous les moyens de transports possibles qui permettent de relier tous les humains.
Beaucoup d'aventures, de paysages et d'humour. J'ai adoré le personnage de Phileas Fogg qui a l'air d'avoir déjà lu son propre livre avec sa confiance outrancière.
Bref j'ai bien aimé, je lirai d'autres livres de Verne à l'avenir.

Phileas Fogg a parié avec ses camarades de jeu qu'il est possible de faire le tour du monde en 80 jours ou moins. le soir même, il prend un train afin de commencer son tour du monde.
On suit donc M. Fogg dans cette aventure, avec ses retards et ses avances qu'il prend, dans l'optique de gagner son pari.
J'aime bien aimé cette histoire, j'avais envie de savoir s'il comptait réussir ou non son tour du monde en 80 jours (car je ne savais pas comment cela se finissait avant de lire le livre !). La fin ne m'a pas surprise car j'y avais déjà pensé, environ à la moitié du roman au moins. J'ai apprécié suivre Passepartout également, qui accompagne son maître, M. Fogg, dans ce tour du monde.