- Eh bien puisque vous repartez pour un nouveau Tour de France pour recruter des compagnons, je vous financerai. C'est dans le peuple, et dans la classe ouvrière surtout qu'est l'avenir du monde !
- J'espère que vous avez raison et que la masse la plus pauvre sortira de l'ignorance où les classes éclairées l'ont enchaînée.
Il faut, je crois, que l'un des deux en se mariant, renonce entièrement à soi-même. Il n'y a plus qu'à se demander si c'est à l'homme ou à la femme de se refaire ainsi sur le modèle de l'autre et comme du côté de la barbe est la toute-puissance, c'est nécessairement à nous qu'il appartient de fléchir à l'obéissance...
- Ce n'est pas à moi que je pense, mais à toi. Tu me reprocherais un jour de t'avoir privée d'une belle éducation, d'un beau mariage...
- Comment cela ? Un beau mariage ! Où l'on voudra faire de moi une poupée de bois ! Moi, je veux être pauvre avec toi !
Ne pleure plus ! Quand il aura fini d'être mort, il reviendra bien te voir !
Je hais le sang répandu et je ne veux plus de cette thèse : "Faisons le mal pour amener le bien, tuons pour créer ". Non, non ; ma vieillesse proteste contre la tolérance où ma jeunesse a flotté.
Je la retrouve guérie en effet : Guérie de l'effroyable fatigue et de la tâche cruelle de vivre en ce monde.
Je désire une vie d'espérances, de risque et de bonheur !
Le roman est politique ! Il permet de toucher beaucoup de gens, des artisans... et des femmes. Il faudrait aller encore plus loin.
« Dans le temps où le mal vient de ce que les hommes se méconnaissent et se détestent… »
« La mission de l’artiste est de célébrer la douceur, la confiance, l’amitié, et de rappeler ainsi aux hommes endurcis ou découragés… »
« Que les mœurs pures, les sentiments tendres et l’équité primitive sont, où peuvent être encore de ce monde. »
Pourquoi pleurent-ils, tous?
-Ils sont tristes pour ton père!
Mon papa est donc encore mort aujourd’hui?
Ne pleure plus!
Quand il aura fini d’être mort, il reviendra bien te voir!