Huit saisons et des poussières

L'histoire m'a ennuyé car elle n'a pas d'intrigue. Elle est parfois difficile à comprendre . le fait que le père ne parle pas , est étrange parce qu'Amos parle tout seul

Amos est un petit garçon qui vit avec sa mère et sa soeur jusqu'au retour de son père un soir, il revient de deux ans passé dans un camp de concentration, huit saisons et des poussières que ce père est absent. Il n'est plus que l'ombre de lui même et c'est ainsi que l'illustratrice de cet ouvrage le représente dès son arrivée à la maison. Une première image qui marque et qui définit le long retour à la normale.

La déportation expliquée aux enfants, le retour compliqué de troubles psychologiques, chez ce père la parole aussi a été enfermé il sera difficile de la libérer. Mais comme toute séparation les retrouvailles se feront si on laisse le temps au temps sans jamais renoncer, c'est ce que fait Amos. Malgré le rejet de sa soeur Sarah face à ce père fantôme Amos va rester près de lui à parler chaque jour de sa journée jusqu'au jour où l'enfant refuse de rentrer à la maison après une bagarre à l'école, père et fils vont alors se trouver et se retrouver sur le plancher d'une cabane en haut d'un arbre.
C'est alors que le lecteur tout comme Amos se rend compte que malgré sa passivité le père a suivi de près son fils, l'écoutant et l'observant chaque jour. C'est magnifique, émouvant et positif, l'enfant à trouver une façon bien à lui de réintégrer son père à la vie.
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Cette histoire m'a moyennement plu car le livre était trop rapide et pas assez bien expliqué. En effet, le père du héros rentre à la maison et ne veut plus parler et nous n'avons pas d'explication.

Rosa

J'ai bien aimé ce livre car j'ai ressenti plusieurs émotions en le lisant : le bonheur des retrouvailles entre le père du garçon, la tristesse que ressent le petit garçon, le joie quand il parle à son père .

J'ai trouvé les illustrations très bien réalisées et très réussies. J'ai aussi trouvé que l'on ne montrait pas assez le visage du père .

Andréa N .
J'ai vraiment aimé ce livre car j'aime beaucoup le concept triste de l'histoire, j'ai également apprécié les émotions que l'on ressent car elles sont fortes.

Les personnages qui m'ont beaucoup plu sont Amos et le père car ce sont les personnages que l'on voit le plus dans le livre ;L'extrait qui m'a marquée est au début de l'histoire quand le papa revient ;je me suis mise à la place de la famille d'Amos et à ce moment là j'ai ressenti un soulagement,de la surprise et du bonheur.
Eve.R

ce livre est bien quand on se met a la place de Amos on comprend sa tristesse c'est se qui fait que se livre est un peu triste

J'ai bien aimé cette oeuvre car elle est émouvante.

Ce livre raconte l'histoire d'un enfant qui voit peu son père pendant l'année. Ce qui est bizarre dans cet album, c'est que l'auteur écrit « la mère » quand elle veut parler de sa mère et « le père » pour parler du père, ce qui montre que l'enfant n'a pas de rapports affectifs avec ses parents.

Les illustrations sont sous formes de dessins et je trouve que cela rend un aspect bizarre.

La morale de ce livre serait qu'il faut être content d'avoir des parents, car tous les enfants n'ont pas cette chance.

Je recommande ce livre pour les enfants de tout âge.

Manon G.

Je n'ai pas aimé cet album car l'histoire n'est pas joyeuse.
Le père a passé deux ans en camp de concentration du coup il est frustré et il ne parle presque pas.

Je trouve que la famille ne rigole pas, la fille trouve que son père n'existe presque pas.

Je n'aime pas les histoires qui ne sont pas drôles et qui n'ont pas d'humour.
Paolo

J'ai aimé ce livre. Il parle d'un père qui revient de la guerre après deux ans, un mois et seize jours. Pendant huit jours rien ne se passe, pas un mot jusqu'au moment où Amo rentre de l'école énervé.

Giulio

C'est un album qui parle d'un père de famille qui revient d'un camp de concentration lors de la seconde guerre mondiale. La communication avec son fils est compliquée.

J'ai bien aimé l'histoire du livre car elle se finit bien.

Je conseille ce livre aux personnes qui aiment les histoires de famille sur fond historique.


Baptiste

Les couleurs douces, l'écriture du titre, manuscrite et surannée, ont d'abord attrapé mon regard, et m'ont fait plonger dans cette histoire où textes et graphisme ne font qu'un.
Je me suis retrouvée en train d'assister au dialogue entre ce père et ce fils, à vivre cette colère, cette tristesse, mais petit à petit, aussi, ces petits bouts de joie retrouvée.
A son retour du camp de concentration, le père réapprend à devenir père en transmettant ce qu'il a vécu, le fils accompagne le père dans son retour à la vie. Les mots, comme les silences, sont réparateurs, ils retissent le lien rompu.
Les illustrations accompagnent les mots de façon harmonieuse, on ne peut que s'y immerger quelquefois pour revenir au texte qui n'en finit pas de nous émouvoir.
Ne passez pas à côté de ce qui est beaucoup plus qu'un album pour les enfants.

J'aime ce livre car il parle d'un sujet que l'on étudie en classe et qu'il montre comment les gens vivaient après la guerre. J'aime aussi quand le père rentre à la maison qu'il se met dans le fauteuil et qu'il ne bouge plus. Ce livre m'a beaucoup plu.