Les Pays d'Amir

Les Pays d'Amir raconte l'exil et la tolérance dans une belle histoire au graphisme agréable et où la cuisine sert de fil conducteur. On a d'ailleurs envie d'essayer les recettes. Un scénario un peu attendu (le grand-père raciste, l'histoire d'amour contrariée entre Amir et Helena...) mais sympathique. Il en ressort l'essentiel : la difficulté de se projeter dans l'avenir quand on est balloté d'un endroit à un autre, et une notion de "chez soi" à géométrie variable (c'est là où on se sent en sécurité dit Amir).

Une chouette BD à découvrir. le thème abordé à travers l'histoire d'Amir est toujours hélas d'actualité, c'est écrit simplement sans tomber dans le mélo ou autre. Ça se lit simplement et rapidement, les dessins sont très bien faits. Je regrette simplement certains passages dont on a l'impression qu'ils sont coupés abruptement pour passer à autre chose.

Ayant fait connaissance avec Amir, à l'occasion d'une maraude, Solange propose à son mari de l'accueillir à la maison le temps de trouver une solution lorsque l'immeuble dans lequel il dort brûle.
Peu à peu Amir trouve sa place dans la famille de Solange, sauf avec son père, raciste qui a besoin de quelqu'un pour cuisiner dans son restaurant et Amir cuisine très bien...
Je n'ai pas trop aimé le dessin et l'histoire de cette bande-dessinée. J'ai trouvé qu'il manquait de l'émotion, des nuances et les relations entre les personnages trop ambigues.
La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau.

Cette histoire parle du déracinement d'Amir, réfugié syrien et passionné de cuisine. Solange le rencontre lorsqu'elle fait une maraude. Elle propose de l'héberger et se heurte aux propos racistes de son père. Celui-ci tient un restaurant et se voit obligé de s'arrêter car il est touché par le Covid. C'est donc Amir qui prendra sa suite et fera des merveilles en cuisine…

L'avant, la Syrie, est racontée à travers des doubles pages rédigées, présentant des recettes syriennes. Celles-ci font remonter des souvenirs, agréables comme douloureux… le dessin m'a plu, mais j'ai lu d'autres BD sur le thème de la migration qui m'ont davantage touchée (je pense notamment à L'Odyssée d'Hakim). Ce que je trouve intéressant ici, c'est la confrontation d'un père convoquant sans honte des préjugés racistes au jeune Amir, cabossé, mais régalant tout le monde grâce à ses talents culinaires.

J'ai bien aimé ce livre car je me suis attaché au personnage principal Amir et à la progression de Anouk.
R.B. 5e

Cette BD est trop courte pour être bien détaillée, par exemple, pour la scène de l'incendie, il pourrait y avoir quelques pages dessus, c'est quand même un élément important de l'histoire. Même chose pour la partie où Amir tombe amoureux, elle va trop vite.
L. S. 4e

Très réaliste et très beau, j'ai vraiment aimé ce livre.
J. R. 5e

C'est l'histoire d'un migrant nommé Amir. Il vit dans un ehpad désaffecté jusqu'à ce qu'une dame le recueille chez elle. Quand son père apprend la nouvelle, il commence à montrer fermement son désaccord mais comme Amir reprend son restaurant, il remonte dans son estime. Malgré les difficultés qu'il doit surmonter, Amir aarive finalement à s'acclimater à sa nouvelle vie.
J'ai beaucoup aimé ce livre car l'histoire est touchante et basé sur une question assez interessante.
Leïanne

au début je ne voulais pas le lire parce que c'est une bande dessinée mais après j'ai changé d'avis. Amir est un grand fan de cuisine. Il a eu un chemin compliqué. Il se réfugie en France car il vient de Syrie. Il fait la rencontre d'une infirmière et de sa famille. Maysane
Ce livre est un très bon livre qui traite de plein de problèmes comme le racisme, qui empêche de faire progresser certaines personnes. Il parle aussi de cuisine et propose quelques recettes. Il parle des problèmes de la vie. Je le conseillerais à tout le monde. Mahfoud.
Je trouve que le livre est très bien. J'ai beaucoup aimé. Il donne le sourire aux lèvres. Il parle de cuisine, et c'est tout ce que j'aime. Nessrine.
J'ai aimé ce livre car il y a des recettes de plats arabes, j'ai trouvé cela original. Ce que j'ai moins aimé, c'est qu'il y a beaucoup de gros mots, ainsi que des scènes d'amour, et cela m'a gêné. Corentin.