Il y avait dans ses récits un mot qui revenait souvent. Lorsqu'il voulait exprimer la richesse de celui qui avait été son hôte et son bienfaiteur, Kubilaï-khan, souverain mongol de la Chine, c'était par quantité de millions qu'il estimait ses revenus, par millions qu'il comptait les recettes de ses différentes provinces, par millions les habitants des principales villes de son empire.