Elle sort toujours seule ici à la même heure. Un imper beige, quel que soit le temps, qu'elle le porte ou le tienne à la main. Elle descend les escaliers, puis les remonte de l'autre côté. Quand elle croise parmi les promeneurs quelqu'un qu'elle connaît, ce qu'elle répond ne change rien à son silence. Elle a une impatience dans les pieds qui les fait bouger sur la pierre du bord. Elle habite la dernière maison tout en haut et ses fenêtres donnent sur les écluses. Le... >Voir plus