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Après l'excellent "les protégés de Sainte Kinga " qui a été un coup de coeur , et qui est , à ce jour " le meilleur roman de Marc Voltenauer, je me suis jetée avec impatience sur son nouveau roman, sorti début 2023 , ( soit 3 ans après les protégés de sainte Kinga), toujours aux éditions Slatkine § Cie .
Un résultat qui n'est pas malheureusement à la hauteur de mes attentes , même si le plaisir de retrouver le personnage d'Andréas ( pour l'anedocte, j'ai lu avant ce roman le philatéliste de Nicolas Feuz, compatriote de Marc voltenauer, dans lequel on retrouve brièvement Andréas, un petit clin d'oeil sympa) un personnage que je trouve singulier - notamment parce que rare sont les héros homosexuels - est toujours intact.
La première partie e st longue à se mettre en place, avec notamment la présentation d'une famille albanaise nombreuse, je m'y suis perdue dans tous ces liens de parenté ... pour découvrir un peu plus tard qu'il y a un arbre généalogique à la toute fin du roman . A mon sens , il aurait été plus judicieux de le mettre au début .
Tandis qu'un ami s'inquiète de la disparition de son ami albanais, Andréas de son coté - toujours heureux en amour mais avec des doutes sur un autre plan- mène l'enquête sur un cadavre retrouvée au fond d'un lac , profondément mutilée .
deux enquêtes , l'une personnelle, l'autre professionnelle , qui vont finir par se rejoindre.
Un des points forts de ce roman est la mise en avant d'un pays que je connais peu, en tout ca que je n'avais pas vu encore dans mes lectures . On apprend beaucoup de choses , et sur plusieurs plans , sur un pays complexe, notamment doté de traditions vraiment surprenantes , avec un système de vendetta et un code de l'honneur très particulier .
Alors oui je me suis enrichie culturellement, mais l'intrigue en a pâtit, elle s'en est trouvée alourdie., avec un coté un peu trop encyclopédique à plusieurs reprises, et des dialogues qui manquaient de naturels .
Su l'intrigue elle même, si il y a une révélation surprenante ( et qui explique le titre d'un autre thriller quu m'attend dans ma PAL ) , il y a un manque de rythme pendant une grande partie du livre,même si ça s'accélère à la fin , qui était plus passionnante, avec des passages glauques comme je les aime. Mais le suspens m'a fait défaut.
Il y a une belle solidarité dans cette famille qui procure quelques moments d'émotions sympathiques, mais certains personnages, notamment le méchant de l'histoire, m'ont paru assez caricaturaux .
Quand la toute fin, elle nous laisse un peu dans le doute ..
Vraiment dommage que l"intrigue manque de punch, de peps et de mordant ( sauf la fin) parce que j'ai aimé le côté instructif du roman.
Par contre , je n'ai rien a dire sur un style d'écriture toujours aussi efficace .
Une petite déception qui n'entrave en rien mon envie de lire les prochains romans de l'auteur .


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Quel excellent voyage en Suisse, en Albanie et au Montenegro !
Je ne connaissais pas le code de conduite ancestral albanais, le « Kanum ». C'est une sacrée découverte, et une parfaite réussite d'écriture, une vendetta sur fond familial.

Marc a fourni un excellent travail de documentation sur les albanais et leur mode de vie.

Ce fut un réel plaisir de retrouver Andrea Auer et Mikaël, son compagnon de vie.

Je vous conseille de prendre le temps d'aller sur Youtube écouter Hauser : Tennessee from Pearl Harbor ! de l'émotion pure !!!

Marc a une très belle plume, très visuelle, et les chapitres s'enchaînent avec délectation.

Séduite par cette lecture.

Un plus, l'arbre généalogique est, je trouve, d'une grande aide pour ne pas s'y perdre.

Bravo Marc, et merci aux éditions Slatkine
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Chaque nouvelle enquête de l'inspecteur Andreas Auer est la garantie de la découverte d'un univers inattendu et fascinant ! Toujours ce style impeccable et cette culture approfondie du sujet traité qui ne laissent aucune place à l'à-peu près ! depuis « le dragon du Muveran » cela se confirme. C'est une enquête policière, je ne vais donc pas divulgâcher, mais l'auteur nous offre une incursion dans la communauté albanaise, celle installée en Suisse et celle restée en Albanie malgré les persécutions… ses us et ses coutumes, j'ai découvert les « prescriptions » du kanun, dont les textes régissent la vie des albanais, la vengeance qu'il dicte, de l'interprétation que certains en font (comme tous préceptes religieux quel qu'ils soient) et aussi l'existence des « burrneshë », coutume qui m'a sidérée ! compte tenu de la recherche faite par l'auteur, je n'ai pas émis, une seule seconde, le moindre doute sur la véracité de ces récits !
En suisse, l'enquête est compliquée, sur fond de trafics en tous genres ! et de pratiques pour le moins douteuses ! Excellent, comme les livres précédents, bien sûr les personnages sont fictifs, mais la fiction rejoint parfois la réalité. A lire sans modération. J'ai adoré !
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Cendres ardentes est le dernier polar suisse de Marc Voltenauer et certainement le plus aboutit. le personnage récurent d'Andreas Auer, chef de la division homicide et intégrité de la brigade criminelle de la police cantonale vaudoise, accompagné de son équipe que nous retrouvons avec plaisir ainsi que la médecin légiste Parvati dont on sent que l'auteur pose des jalons pour une prochaine intrigue dont elle pourrait être le centre. (C'est l'impression que j'ai eu).
Un corps de femme tronqué est retrouvé flottant dans le lac Léman. L'enquête patine mais d'indices en indices, elle se dirigera vers la communauté albanaise émigré en Suisse. J'ai trouvé cette enquête passionnante parce qu'on y apprend énormément de chose sur l'Albanie. Notamment sur ses codes d'honneur régit par un ancien livre de l'époque médiéval nommé Kanun. Souvent l'auteur commence un chapitre avec une citation tirée du Kanun qui s'applique précisément à l'histoire. C'est brillant et bien vu. Une intrigue mettant en jeu des personnages attachants et originaux comme celui de Sokol et de sa famille nombreuse albanaise, pas d'inquiétude un arbre généalogique nous est fournit. Il n'y a pas qu'en Sicile que l'on trouve des mafias et des vendettas. Une plongée dans dans la noirceur de l'âme humaine où tout peut arriver surtout le pire. Une multitude de thèmes abordés, l'homme n'a jamais le meilleur rôle et dévoile toute sa perversité. le seul bémol de mon humble point de vue tient au style d'écriture, des dialogues peu naturels, qui ne sonnent pas comme dans une conversation réelle et une façon systématique de donner une description vestimentaire des personnages qui n'a que peu d'intérêt et alourdit le texte. Mise à part cela, j'ai apprécié ma lecture, instructive et dont le travail de recherche ne fait aucun doute. On en apprend un peu plus sur la vie privée du couple que forme Andreas et Mikael son compagnon journaliste et là aussi une suite s'impose. Bonne lecture.
Lien : http://latelierdelitote.cana..
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Prêts pour un voyage dans les tréfonds de l'âme humaine? Attachez bien votre ceinture (et surtout votre estomac)! Marc Voltenauer nous livre un récit extrêmement sombre, sans filtre. Entre cadavres amputés, insectes nécrophages, trafics en tous genres et déferlements de violence, vous n'êtes pas au bout de vos surprises!

Nous partons à la découverte de l'Albanie et de son passé torturé. L'auteur nous raconte ses coutumes et traditions. J'ai appris énormément de choses sur ce pays et ai été impressionnée par l'immense travail de documentation. J'ai été intriguée et choquée par l'existence d'un code de conduite, le Kanun, dans lequel sont référencées toutes sortes de règles, en particulier sur l'honneur et les règlements de compte. Dans « Cendres ardentes », une famille est déchirée entre ces coutumes ancestrales et la vie contemporaine: d'un côté Skënder, qui souhaite se venger et reprendre le sang par le sang, d'un autre Sokol, qui aimerait stopper le cercle vicieux qu'est la vendetta. Chaque chapitre commence d'ailleurs par une citation du Kanun.

Le lecteur est également propulsé dans l'esprit psychopathe de Skënder, un homme monstrueux pour lequel il est impossible d'avoir de l'empathie. Ses pulsions les plus taboues nous sont révélées au fur et à mesure du roman. Je vous l'ai dit: vous n'êtes pas prêts.

J'ai retrouvé avec plaisir la plume bienveillante de Marc Voltenauer. J'admire sa façon de déconstruire les préjugés sur les communautés étrangères vivant en Suisse. ll fait preuve de beaucoup de tolérance malgré des thématiques délicates. Cet auteur fait partie de mes préférés, mais j'avoue avoir moins apprécié ce roman. Je me suis sentie un peu envahie par le flot d'informations scientifiques, politiques et culturelles. Certains passages m'ont retourné les tripes et vous connaissez mon âme sensible! Mais l'hallucination que j'ai pu ressentir pour le final m'a captivée et marquée malgré l'horreur.
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Dans la chronique consacrée au précédent épisode de la série Auer, Les protégés de Sainte Kinga, j'avais évoqué l'idée que ce roman ressemblait à un tournant, après les trois premiers épisodes. Un tournant vers des intrigues moins familiales, convoquant plus largement des éléments historiques. Et cette nouvelle livraison semble bien confirmer ce virage.

Ici, après la Pologne où l'intrigue précédente puisait une partie de ses racines, c'est du côté de l'Albanie, de son histoire et de ses traditions que Marc Voltenauer est allé chercher. La première chose que je me suis dite, c'est que la Suisse doit accueillir un certain nombre d'albanais, et, par voie de conséquence, être confrontée à des problématiques judiciaires avec certains d'entre eux, puisque l'on retrouve la mafia albanaise chez plusieurs auteurs suisses, comme Nicolas Feuz, Joseph Incardona (auteur italo-suisse), et maintenant Marc Voltenauer !

Il faut dire que cette mafia, avec son hyper-violence, ouvre probablement des perspectives aux auteurs de polars…

Tout au long du livre, nous alternons donc entre l'enquête confiée à l'équipe d'Andreas Auer et le clan Hoti. Tous les chapitres « albanais » débutent par une citation tirée du Kanun de Lekë Dukagjini. le Kanun est un recueil (en 12 volumes) de droit coutumier, datant du XVe siècle, est qui fixe toutes les règles de la vie quotidienne – hospitalité, famille, mariage, travail… le régime dictatorial d'Enver Hoxha a tenté de faire disparaître ces coutumes, mais on l'a vu réapparaître après l'effondrement du régime. Il en existe diverses versions, c'est ici celle qui a été établie sous l'autorité de Lekë Dukgjini, noble et chef de guerre, qui est citée. Les clans albanais d'aujourd'hui, et notamment les clans mafieux, en retiennent essentiellement la gjakmarrje, dont les règles sont décrites dans le 8e livre du Kanun, et qui définit la façon dont un clan peut réagir lorsqu'un de ses membres a été tué par un membre d'un autre clan. On peut en retenir les règles d'une vendetta pure et dure, au nom de l'honneur, ou s'emparer de la possibilité et des règles du pardon. Saurez-vous deviner de quelle partie la mafia a choisi de se prévaloir ?

Dans une première partie – et, même si sur le moment le lecteur peut se poser quelques questions -, on suit le rythme de l'enquête. En effet, Andreas Auer et ses collègues n'ont pratiquement aucune piste, aucun fil à tirer. Pour ne pas nous donner l'impression de piétiner, Marc Voltenauer en profite pour nous faire découvrir la démarche même d'une enquête, jusqu'aux schémas de réflexion… c'est vraiment intéressant ! Cela pourra sembler lent à certains, mais c'est probablement ce qu'il y a de plus proche de la réalité d'une enquête. Y compris sur les différents insectes, et la façon dont les légistes et spécialistes peuvent en tirer des informations… évitez juste de lire ces passages pendant un repas… ce ne sont pas les moments les plus ragoutants !

Et puis, tout s'accélère. Et, là, cela devient haletant. Tout semble s'aligner d'un seul coup. Et les pages se mettent à tourner, sans s'arrêter – ben oui, une fois que vous êtes en apnée, vous avez intérêt à ce que ça ne dure pas trop longtemps non plus !

Alors… soyons vraiment exigeants. S'il y avait un – tout petit – reproche à faire à ce livre, c'est que Marc Voltenauer semble avoir hésité à être trop dur avec ses personnages. Peut-être n'a-t-on jamais eu une telle proportions d'acteurs « amateurs » dans un livre de Voltenauer. Et quels amateurs : une bonne soeur, un sourd… Et, bien qu'ils se confrontent, parfois avec un brin de naïveté, à la mafia albanaise dont la violence n'est pas une légende, tous s'en sortent indemnes… presque miraculeusement, serait-on tenté de dire.

Enfin, un dernier mot. Juste pour souhaiter que l'auteur garde toute la distance nécessaire avec son héros, et réciproquement. On sait que Marc Voltenauer et Andreas Auer partagent des points communs, cigares, whisky… Mais c'est bien assez !
Lien : https://ogrimoire.com/2023/0..
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Andréas Aur et son équipe ont bien des soucis avec des corps en morceaux.
Une famille albanaise conflictuelle dans une vendetta des plus sanglantes. Un dealer psychopathe, pervers, tueur est le mouton noir de cette famille.
L'enquête se révèle très difficile....
Pas le meilleur de ses livres !!
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Un livre que j'attendais avec impatience ! Je l'ai gardé précieusement, je l'ai savouré pendant 15 jours et je l'ai adoré ! Même si au début le côté hyper documenté m'a un peu gênée, le dénouement m'a agréablement surprise ! Je dois dire que je j'avais pas vu venir cette conclusion et c'est ce qui m'a le plus plu dans ce roman ! le côté documentaire sur l'Albanie est très intéressant, c'est un pays que je connais peu et j'ai apprécié cette découverte ! Maintenant, je vais attendre la suite avec impatience !
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Depuis le temps que je l'attendais celui-là! Et je n'ai pas été déçue! Un vrai coup de coeur pour ce livre complet! Tout y est : l'action, l'émotion, le suspense, les personnages, l'atmosphère, le coté découverte des lieux, des traditions, de l'Histoire. J'ai retrouvé avec un plaisir infini Andreas et son adjointe Karine, sans oublier son compagnon Mikael. J'ai aussi fait la connaissance de deux personnes magnifiques : une jeune religieuse Laura et un sourd-muet qui lit sur les lèvres et qui ont tout deux un grand sens de l'amitié. Deux personnages pour qui j'ai eu le coup de coeur. Faut quand même avoir le coeur bien accroché par moments … (C'est bien si on connait déjà les personnages mais peut se lire sans avoir lu les précédents)

Tout commence par une découverte macabre : un tronc féminin a été balancé dans le Lac Léman. Juste le tronc, dans un sac poubelle. Pas de jambes, de bras, de tête…
Dans le même temps Mirjan, un homme de 63 ans, Albanais d'origine naturalisé suisse retourne en Albanie pour y faire enterrer le corps de sa femme, Janina, décédée d'un cancer. Il n'y était pas retourné depuis 30 ans et tous ses souvenirs remontent: l'atmosphère de ce pays totalitaire, les guerres de clans… Mirjan fait partie de la minorité catholique d'origine albanaise du Sud du Montenegro.

Les règlements de comptes sont au programme… et au niveau international : Suisse-Albanie. Il faut dire que la communauté albanaise est importante en Suisse et l'auteur nous en apprend énormément sur cette communauté qui est bien intégrée en Suisse et sur l'Albanie, ses traditions, ses coutumes, ses clans, son histoire. Parmi les traditions, il faut retenir l'existence des vierges jurées dont je n'avais jamais entendu parler et qui est une tradition fascinante. Je vous laisse la découvrir. J'ai également été plongée dans le « Kanun », un code qui date du XVI siècle et qui régit la vie dans le pays. On y apprend entre autres choses que dans ce pays la liberté religieuse et l'hospitalité sont des règles de vie.

Dans le roman nous allons fréquenter des albanais qui sont venus en Suisse et se sont intégrés et « suissizés » et des albanais qui n'ont pas souhaité s'intégrer et qui, au contraire ont souhaité vivre en vase clos, qui sont restés albanais dans l'âme et dans leur manière de vivre, en suivant les préceptes du fameux Kanun, et entre autre la vendetta.. le seul souci c'est que le codex en question comprend 59 chapitres et que les fanatiques n'en retiennent qu'un : celui de la vengeance… Mais c'est le cas de tous les fanatiques… une phrase hors de son contexte pour justifier à tort des actions. Et l'interprétation des textes est toujours un immense problème et le terrain de l'extrémisme.

Comme toujours tout est remarquablement documenté. L'auteur fait la part belle aux légistes et aux observations… J'ai l'impression d'avoir tout appris sur les petites bébêtes qui éclosent dans les corps ; je savais bien qu'elles étaient utiles pour découvrir le laps de temps écoulé entre la mort et le moment de la découverte des corps mais là… c'est extrêmement détaillé. On approfondira aussi la question du démembrement, tant physique que psychologique… Et je vous informe que certaines scènes sont difficilement soutenables… mais j'y ai survécu et je vous engage à survivre à l'expérience…
Le monde des psychopathes est aussi mis à l'honneur … jusqu'où peut aller l'horreur ? On découvre des cas comme l'Ogre de Santa-Cruz ou la Cannibale de Milwaukee… l'inconscient collectif prend soudain une nouvelle dimension et le concept de la fusion se regarde autrement…
Marc Voltenauer aurait-il été légiste ou profiler dans une autre vie ?
Les moteurs psychologiques, les troubles psychiques, les dégâts de l'égo susmentionné, l'importance des relations mère/enfant dans le développement de la personnalité sont autant de thèmes abordés dans le roman.
Règlements de compte, vengeances, trafics en tous genres (drogue, êtres humains…), violence faites aux femmes, condition féminine, féminicides, matriarcat/patriarcat/chef de famille, possession, anthropophagie, meurtres, viols, il y en a pour tous les gouts…

Alors oui, il y a des moments crus… mais le suspense est permanent et on ne s'ennuie pas une seconde. Il y a la famille, les amis, les crimes, les voyages, la gastronomie, l'adrénaline… et aussi l'amour…

Et coté culture, l'auteur m'a donné bien envie de me faire offrir « l'enfer de Dante » illustré par Sandro Botticelli..
Un très grand merci à l'auteur et aux Editions Slatkine et Cie de m'avoir permis de découvrir ce roman en avant-première. En plus, j'ai toujours un plaisir infini à lire ce qui se passe pas loin de chez moi… Plongez la tête la première -peut-être pas dans le Lac – mais dans le livre oui !
Lien : https://www.cathjack.ch/word..
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Un cadavre qui remonte à la surface du Léman et marc Voltenauer nous plonge dans l'histoire albanaise, en tirant le fil d'une saga familiale qui va nous dévoiler petit à petit une intrigue macabre. le mystère va s'épaissir au fil des pages avant un final où tout devient enfin limpide.
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