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Les pays nordiques me fascinent, j'étais donc très curieuse de me plonger dans cette lecture. Je craignais juste d'être un peu perdue, mais il n'en est rien. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu les autres ouvrages de l'auteur, mais l'envie de les découvrir est grandissante après la découverte de ce titre.

La Norvège, fin du XIXe siècle, une ambiance particulière et des paysages magnifiques que l'auteur a su retranscrire à merveille, tout en nous donnant un aperçu de la culture du nord du pays.

L'auteur écrit magnifiquement bien sur les relations et les interrogations existentielles que l'homme peut se poser. En l'occurrence, il est notamment question de culpabilité mais aussi de pardon, de la nécessité de faire des choix.
Herbjørg Wassmo dresse des portraits détaillés de ses personnages complexes, et plus particulièrement Anna, une protagoniste forte aux multiples facettes.
C'est une lecture passionnante, et malgré le petit pavé que représente cet ouvrage, les pages se dévorent, on s'habitue très vite au style de l'auteur.
Difficile de refermer ce livre sans être marqué par l'histoire de cette famille.

Un roman historique intense, émouvant, et remarquablement bien construit. Herbjørg Wassmo est une excellente narratrice. Aucune place pour l'ennui.
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Dina, Tora, Karna, Hanna et Anna... d'incroyables femmes qui se battent pour leur émancipation, en avance sur leur temps. Elles ont en commun, un grand désir de liberté pour elles et ceux qu'elles aiment. Des femmes de caractère capables de composer avec les hommes pour faire avancer leur monde. La misère, la mer, la rudesse du pays et du climat sont aussi des personnages à part entière des romans d'Herbjorg Wassmo qui nous emportent dans un déferlement d'émotions et d'aventures. La construction romanesque est extrêmement riche et rigoureuse, assez complexe en réalité. Tellement de détails qui décortiquent les personnages, leurs relations, leur mode de vie, leur époque... qu'il n'y aurait sans doute rien à ajouter.
Le testament de Dina, et les autres livres de Wassmo, sont de vrais romans au sens le plus pur. Enfin c'est juste mon avis...
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Au moment de sa mort Dina a fait promettre à Karna, sa petite fille, de révéler son secret le jour de ses obsèques : dans sa vie Dina a tué deux hommes. Après avoir accompli sa mission face à toute la communauté, Karna entre dans une sorte de folie. Elle ne parle plus et a des hallucinations. Anna, la femme de son père, décide d'emmener Karna à Copenhague pour l'y faire hospitaliser -la famille vit dans le nord de la Norvège, nous sommes en 1890. Ce voyage permet aussi à Anna de s'éloigner un temps de son mari, Benjamin, dont elle vient d'apprendre l'infidélité. A Copenhague Anna goûte sa liberté et fait la connaissance du médecin psychiatre Joakim Klim qui lui fait forte impression.

Le roman présente alternativement l'histoire et le point de vue de différents personnages. J'apprécie particulièrement celui d'Anna qui s'émancipe malgré ce que l'époque attend des femmes de la bourgeoisie. Benjamin et Joakim la soutiennent de leur mieux même si son comportement et ses choix les bousculent. Je trouve intéressante aussi la façon dont l'autrice tente de se mettre dans la tête de Karna pour nous faire comprendre comment elle pense. Son emmurement en elle-même est bien rendu. Il y a aussi Peder, l'amoureux de Karna, un jeune homme volontaire confronté à la violence de son frère.

J'avais lu il y a déjà un bout de temps le livre de Dina que j'avais fort apprécié. le testament de Dina en est une suite. Il semble qu'il y ait entre les deux une histoire de Benjamin. Néanmoins on peut lire le présent roman sans avoir lu les précédents : on retrouve les mêmes personnages mais l'histoire est distincte. J'ai beaucoup apprécié cette lecture. L'autrice donne une analyse psychologique approfondie de ses personnages, qui permet au lecteur de comprendre leurs actes. le regard porté sur eux est bienveillant même si les péripéties sont parfois douloureuses. C'est de plus fort bien écrit.
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Difficile de vivre sous l'égide d'une personnalité aussi remarquable que celle de Dina Grønelv, l'inoubliable héroïne qu'Herbjørg Wassmo met en scène dans la trilogie qui porte son nom.
Et ce n'est pas Karna, sa petite-fille, qui contestera cette affirmation. Suite au décès de sa grand-mère, investie par cette dernière d'une lourde et atypique mission, elle avoue en son nom, le jour de son enterrement, les deux meurtres que Dina a commis en toute impunité, le premier sur la personne de son premier mari Jacob, le second sur celle du russe Léo Zjukovsky.

Ces révélations posthumes plongent Karna tombe dans une forme de folie qui la rend muette et sujette à des crises au cours desquelles elle manifeste une violence tournée aussi bien contre elle-même qu'envers les autres.

Epileptique, elle est déjà suivie de près par son père, le médecin Benjamin Grønelv, et très entourée par Anna sa belle-mère. Mais cette fois ni leurs attentions, ni l'amour de Peder, le jeune homme talentueux mais pauvre que Dina avait pris sous son aile et qu'elle destinait à reprendre la tête de son chantier naval, ne suffisent à ramener la jeune femme à la raison. Aussi, ses parents se voient contraints de l'interner, loin de leur froide Norvège du Nord, dans un établissement près de Copenhague. Originaire de la capitale danoise, Anna l'accompagne. Ses visites quasi quotidiennes à sa belle-fille l'amènent à faire une rencontre décisive en la personne de Joakim, un médecin aussi charismatique qu'excentrique.

Le récit tourne alternativement autour du trio que forment Karna, Benjamin et Anna, mais s'attache plus particulièrement à cette dernière, prétexte à Herbjørg Wassmo pour dresser un beau portrait de femme moderne aux prises avec les diktats d'une société paternaliste mais qui a la chance d'être entourée d'hommes qui comprennent et acceptent sa quête de liberté et d'indépendance, qu'elle assume elle-même avec honnêteté et courage. Car si Benjamin, à l'opposé de sa mère, est un homme raisonnable, conciliant à l'extrême, que l'on pourrait être tenté dans un premier temps de taxer de mollesse ou de faiblesse, il révèle peu à peu, à sa manière discrète mais solide, la noblesse d'un caractère marqué par la tolérance et la générosité.

Quant à Karna, elle reste perdue dans les limbes d'une fantasmagorie exprimant le traumatisme non seulement de la mort de Dina, mais aussi et surtout celui qu'ont incrusté en elle que les non-dits et les secrets empoisonnés hérités de sa famille.

Avec "Le testament de Dina", Herbjørg Wassmo adopte une dynamique et une temporalité différentes de celle de sa trilogie, dont l'intrigue resserrée, énergique, nous emmenait sur plusieurs dizaines d'années. Quelques mois séparent ici le début et la fin d'une histoire qui tire sa consistance de l'analyse, fine et progressive, de la psychologie des personnages.

Elle nous fait ainsi naviguer aux abords des mystères infranchissables de la démence tout en tentant de la traduire, décortique les atermoiements d'Anna en butte à la difficulté de s'affirmer et d'être maîtresse de son destin et installe ce faisant un univers qui se fait parfois violent voire morbide, à l'unisson de certains de ses héros entravés par le poids de filiations toxiques, tel le flamboyant mais désespéré personnage de Joakim. S'épanouir ou ne serait-ce qu'atteindre à une modeste sérénité demande de se détacher autant de démons personnels que de convenances liberticides ou des tabous posés sur toute expression d'un mal-être qu'il faut taire à tout prix.

Si ce testament n'a pas le souffle et l'originalité que son inoubliable héroïne conférait à la trilogie qui le précède, il n'en est pas moins un très bon roman, profond et mélancolique.


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Après avoir lu il y a 2 mois "la salle de Bal" d'Anna Hope, qui se déroule dans les années 1910 également, dans un Hôpital psychiatrique du Yorkshire, il était un peu tôt pour replonger avec "le testament de Dina" dans un même univers...rien ne le laissant supposer au dos du livre .Mais comme j'y étais autant continuer au purgatoire et en finir. Je découvre qu'il s'agit d'une saga, si comme moi, vous n'avez pas lu les tomes 1-2-3 ...vous ne saurez pas pourquoi Dina la grand mère qui n'est plus a assassiné son mari Jakob et le russe Léo Zjukovsky ni qui il est. Cela au final ne présente pas d'intérêt dans le roman, mais une simple curiosité. On voit que les nuits sont longues en Norvège, à l'approche du grand Nord, car l'auteure prend le temps de bien décrire les gestes et ressentis des différents protagonistes, ce qui est une qualité en soi, mais un peu moins apprécié par un lecteur qui voudrait en finir rapidement. Autour de Karna qui a subitement perdu la raison après l'enterrement de sa grand mère, en révélant les crimes, gravitent ses proches et soignants dont chacun veut vivre ses aspirations sans arriver à se départir des autres. le plus extraordinaire est leur compassion les uns envers les autres dans des situations de faiblesses peu morales qui font toujours recettes dans les romans ;mari, femme, amant, amoureux. On vit la triste errance mentale de Karna avec un peu d'espoir parfois mais qui se termine par sa chute d'une falaise. Malgré la qualité de la narration et sa marque dans notre esprit, on est content de refermer ce livre à la 604 ème page en laissant ces personnages continuer à porter leur croix sans nous...vite...un livre d'aventures...
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L'auteure norvégienne à 75 ans, ancienne institutrice, elle vit dans une petite île du cercle polaire. Elle a une oeuvre considérable et est très populaire en Scandinavie. En Europe elle est surtout célèbre pour la trilogie de Dina qui comporte en fait 8 livres.
Ce roman s'ouvre sur les funérailles de Dina, l'héroïne d'une saga dont la parution a commencé en 1994. Je ne les ai pas tous lu mais j'ai beaucoup aimé ceux que j'ai lu.
Cet ouvrage qui contient en fait 3 livres dont je ne sais pas si la version originale paraît découpée, en tout cas la version française regroupe toujours plusieurs livres. Cela se passe dans l'extrême nord de la Norvège à la fin du XIXe siècle. le roman s'ouvre sur la petite fille de Dina, Karna qui a 18 ans le jour des funérailles de Dina, morte dans l'incendie de sa grande maison. Karna sombre dans la folie ce jour funeste et est menée quelques semaines plus tard à Copenhague dans un asile d'aliénée. On la suit tout le long du livre, son délire, sa souffrance et son évolution grâce à un jeune psychiatre qui expérimente sur elle, les nouvelles méthodes du Dr Charcot dont il suit, par périodes, les cours à Paris.
Rentre en scène la belle-mère de Karna, Anna qui l'a conduite et est restée dans la capitale pour être auprès de sa belle-fille. Les parents d'Anna vivent dans cette ville mais elle veut être indépendante et trouve une pièce à louer chez une logeuse. Elle se sépare de son mari, Benjamin, le père de Karna et le fils de Dina, ne sachant si ce sera une rupture définitive car elle a appris que son mari l'avait trompé avec une jeune patiente, tuée par un mari, violent et alcoolique.
Benjamin est le médecin de cette île battue par les vents et les vagues. Il culpabilise de na pas avoir pu venir en aide à sa fille et d'avoir trompé sa femme adorée. Il les voit partir avec angoisse le coeur gros. Il est aussi le responsable de la seule entreprise de cette île perdue que sa mère Dina dirigeait d'une poigne de fer. Il est également le maire de ce village perdu. Toutes ces responsabilités l'écrasent. Il est dans l'indécision au début du livre quant à la suite qu'il donnera à sa vie. Il songe à faire une spécialité médicale, à démissionner de la mairie et hésite à laisser son cabinet pour rejoindre épouse et fille. Ses projets mettront quelques temps à se concrétiser.
Il y a aussi Peder, le fiancé de Karna qui lui aussi vit temporairement à Copenhague pour y suivre une formation subventionnée par Dina afin de prendre sa suite comme responsable de la fabrique. Et puis le frère de ce garçon, le violent alcoolique qui effraie tant son frère car Peder sait qu'il battait sa femme comme plâtre jusqu'à provoquer sa mort.
Mais le sujet principal de ce roman foisonnant de personnages tous aussi touchants et intéressants, c'est Anna et son lent cheminement vers l'émancipation. Intellectuel, sexuel, familial, professionnel et amoureux.
Elle a près de 40 ans quand le roman démarre, son rôle était celui de la femme du médecin et maire de l'île. Elle le soutenait et l'aidait dans ses taches. Elle a élevé l'enfant de son mari dont la mère est morte en couches, Karna, mais ils n'ont pas eu d'autre enfant, à leur grande tristesse.
La vie dans la capitale au début, pleine d'angoisse et de préoccupation concernant sa belle-fille qu'elle n'a pas le droit de voir durant plusieurs mois. Petit à petit elle se tourne vers l'extérieur, elle veut reprendre le piano, car elle a rêvé jeune fille de devenir concertiste et se met à jouer dans une salle de l'hôpital où elle se rend tous les jours pour être près de Karna. Puis elle propose ses services comme secrétaire du Médecin chef de l'hôpital afin de subvenir à ses besoins et ne pas réclamer plus d'argent à Benjamin. Elle fait la connaissance de Joakim, le jeune médecin psychiatre qui prend en charge le traitement de sa belle-fille, il est délicat, fascinant et ils tombent éperdument amoureux comme de juste. Mais nous sommes à la fin du XIXe siècle, ce n'est pas simple pour elle de trahir son mari, elle est tentée de rompre avec celui-ci définitivement pour vivre cette passion naissante qui l'envahit. Mais Benjamin qui sent le danger d'une trop longue séparation à ce moment, décide de quitter son île lui aussi et de commencer une spécialité de chirurgie, encouragé en cela par son beau-père dont c'est le métier.
Nous assistons aux atermoiements du trio amoureux et à la métamorphose d'Anna qui finira par choisir son mari et d'entamer des études d'infirmière, d'avorter de l'enfant de Joakim qu'elle portait. de mener la vie d'une femme du XXe siècle en fait. Pourtant le roman se referme sur la mort accidentelle de Karna qui s'approche trop du bord de la falaise pour réaliser la photo idéale de la mer et dont on retrouvera le corps au bas de celle-ci. Et le rapprochement d'Anna et de Joakim qui se retrouvent, toujours épris l'un de l'autre et débarrassés de Benjamin qui a choisi de rester auprès de ses concitoyens où il se sent plus utile. Il propose dans une longue lettre à Anna de divorcer si elle le désire. Anna apprend donc le même jour la mort de sa belle-fille et sa liberté retrouvée….
Tout cela conté par Herbjorg Wassmo d'une écriture magistrale. C'est un livre que l'on peine à quitter dont on n'a pas besoin de connaître les épisodes précédents, qui nous donne envie de reprendre tous ceux qui précèdent et dont les inconditionnels de Wassmo vont se délecter.
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Étrange expérience de reprendre le fil de la vie (même posthume) de DINA plus de 20 ans après la parution du dernier tome de la trilogie. Curiosité de découvrir comment WASSMO avait fait évoluer les personnages après avoir évolué elle même.
Moins de surprise, moins de puissance, moins de déflagration mentale et physique, moins d'écriture à l'état brut et un peu de mièvrerie parfois mais il reste le plaisir de cette écriture teintée de nature rude et belle et de sentiments violents et intenses.

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Toujours ce style si musical, si mélodique que la lecture est un réel moment de plaisir. Wassmo nous berce de l'émotion de ses personnages. Sur ce dernier tome, l'histoire est centrée sur Anna, Karna et l'abnéguant Benjamin. J'ai peut-être été un peu déçue du manque d'interaction avec Dina, dont le premier chapitre est consacré à son enterrement et à l'effet funeste sur Karna, qui témoigne des actes de sa grand-mère et est durablement affectée. le lien sur la folie que l'on sent de génération : la grand-mère, le père, la fille, m'a paru, peut-être, pas si exploité. Les mêmes tics relevés par l'auteur, sans plus (le russe, la marche). de même, la passion de Benjamin et Hannah n'est pas du tout développée. On sait juste qu'ils ont fauté. C'est un peu dommage, j'aurais aimé connaitre la place d'Hannah dans ce couple avant l'incendie. de même, nous ne savons pas pourquoi Dina s'est lancé dans le chantier naval. L'histoire se concentre, en fait, réellement sur les émotions de Anna, Karna, Benjamin et Joachim et leurs histoires d'amour. J'ai été aussi un peu déçue par la fin, un peu en mode "et paf la vitre", alors que Dina était une femme libre et forte, Karna et Anna ne le seront pas.
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J'ai aimé mais j'ai été un peu déçue par ce tome.
L'aphasie de Karna est envahissante. J'ai trouvé qu'elle durait trop longtemps, il n'y a pas vraiment d'explications claires concernant le pourquoi et le comment sa maladie a été guérie.
Ce que je reproche surtout à l'histoire, c'est que l'histoire de personnages secondaires est laissée de côté. On ne connait pas la fin, où l'on n'est pas sure. (Peder entre autres).





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Le personnage de Dina apparaît dans le livre de Dina du même auteure, que je n'ai pas lu. Mais de cette auteure, j'avais lu Cent ans et Un long chemin, deux ouvrages passionnants.

Il me tardait de retrouver l'univers si particulier de ses romans.

Même sans connaître Dina ni l'histoire de sa famille, j'ai aimé découvrir les personnages si vrais.

Dina n'apparait qu'en souvenir, étant décédée au début du livre. C'est sa petite-fille Karna qui est chargée de son oraison funèbre comme demandé par sa grand-mère. Mais cette tâche de révéler les crimes de Dina plonge Karna dans la folie.

J'ai aimé suivre Karna par petites touches et comment elle se sort peu à peu de son mutisme.

Les personnages de son père et de sa belle-mère m'ont moins parlé, leurs problèmes de couple et de liberté.

Mais que j'ai aimé Peder qui part faire ses études comme demandé par Dina pour devenir le gérant du chantier. J'ai suivi avec intérêt ses relations problématiques avec son frère violent.

Et quelle fin brutale.

Merci, Mme Wassmo, vous savez créer un univers à chaque roman dans lequel se débattent des hommes et des femmes si loin dans le temps (l'action se déroule à la fin du 19e siècle) mais si proches de nous.

L'image que je reteindrai :

Celle de la figurine de petit oiseau que Karna place sur chaque rebord de fenêtre.

Une citation :

Mais elle sentait une certaine agitation en lui. Il pouvait se produire n'importe quoi à tout moment. (p.98)
Lien : https://alexmotamots.fr/le-t..
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