Citations sur Toi. Moi. Et les étoiles, tome 4 (25)
— C’est juste… c’est flippant, tu vois. De se sentir aussi épris d’une personne au point de ne plus pouvoir envisager ta vie autrement qu’avec elle.
La vie met parfois sur votre chemin des êtres qui rendent votre vie plus belle.
— L’amour, je continue, c’est quand tu rencontres une personne qui comble tous ces petits détails de la vie qui te paraissaient vides. Et ce jour- là Jess, tu te rends compte qu’enfin ta vie est belle. Ta vie prend enfin un sens. Cet homme, il devient alors l’histoire de ta vie.
— Je veux que tu deviennes ma femme. Je veux me réveiller chaque jour avec toi dans mes bras. Je veux t’entendre rire jusqu’à mon dernier souffle. Je ne veux que toi. Et je te promets que rien ni personne ne pourra changer quoi que ce soit à ce que j’éprouve pour toi. Tu fais partie de moi. Tatouée dans mon cœur, gravée dans mon âme, tu t’es infiltrée en moi. Je suis à toi depuis que j’ai aperçu la petite fille dans ce jardin derrière sa maman. Aujourd’hui, fais de moi un homme heureux Livie, et sois mienne.
— Mais, je suis prêt à supporter cette torture toute ma vie si c’est pour passer chaque jour à tes côtés. Livie… ma vie n’a aucun sens sans toi. Je n’ai jamais voulu que toi. Je n’en ai jamais compris la raison et si tu savais combien je m’en tape. Tu fais battre mon cœur, me donne l’impression d’avoir passé ma vie à te chercher et le jour où je t’ai trouvée… où j’ai enfin posé les yeux sur toi, ma vie a commencé. Il me suffit de te voir sourire ou de t’entendre rire pour me confirmer que tu m’étais destinée. Alors Livie, s’il te plaît…
— Je t’aime tellement Livie que certains jours… ça en est douloureux.
Son regard est si intense que c’est comme s’il pénétrait à même mon âme. Il attrape mes mains dans les siennes et me dit d’une voix basse :
— Alors, épouse- moi Livie.
Ma gorge se noue. Étaler mes sentiments face à lui me donne l’impression d’avoir ouvert mon cœur entièrement au scalpel. C’est à la fois bon et effrayant.
Je crois que je viens de faire la plus grande déclaration de ma vie et en m’en rendant compte, je me sens rougir. Ses yeux, dont l’intensité s’éclaire comme un véritable soleil, ne se détachent pas une seconde de moi. Puis, sans un mot et avec une douceur renversante, il se penche vers moi, pose sa main sur ma joue et colle son front au mien en fermant les yeux.
— Je n’ai besoin de rien. Absolument rien pour savoir que si tu ne m’avais pas retrouvée, si tu n’avais pas refait irruption dans ma vie, jamais je n’aurais rouvert mon cœur à un homme. À l’instant où tu es entré dans notre jardin, mon cœur était à toi. Tu l’as scellé dans la clairière en m’embrassant. Mon cœur est à toi et rien qu’à toi.