People or not people

Une critique acerbe des milieux de la nuit New-Yorkais.
Beth, proche de son oncle Will, démarre un contrat avec une des anciennes collaboratrices de son tonton. Elle plonge dans un univers inconnu, superficiel, entourée de femmes qui ne vivent que pour être vues et dans les meilleurs milieux.
Petit à petit, elle se retrouve mangée par le travail, les demandes incessantes et les reports de projets avec ses proches parce que sa responsable considère qu'elle n'a pas de vie privée.
Ah si ! Elle en a une qui peut être dévoilée dans les journaux pour l'intérêt de la société.

C'est un feel good agréable à lire, une histoire de vacances ou de week-end, parce que les thématiques sont sympas, même si elles sont connues, et parce que finalement, nous avons toutes une part de Beth en nous.
Qui n'a jamais lu une histoire d'amour cousue de fil blanc, avec un homme merveilleux, prince charmant, qui nous donne tout ?
Ici, dans ce roman, nous n'avons pas que ça, nous avons aussi des personnages creusés, Beth, Penelope, Sammy, Will... et d'autres fort intéressants.

Mon préféré ? Oncle Will ! Un homme qui a des relations, qui sait en jouer, et qui évolue dans la vie avec un oeil acerbe, mais réaliste. Un tonton que j'aimerais avoir !

A recommander aux lecteurices qui veulent passer un bon moment, en toute décontraction, à New York, dans le monde de la nuit, type Jet Set.

Un autre bijou de cet auteur une plongee dans l'univers de la nuit newyorkaise et de sa presse a sensation qui ne laisse rien passer au grand dam de notre héroine héros malgré elle des nuits de sa société : un régal à lire !

"People or not people" est un livre agréable qui se lit facilement ; cependant, pour avoir lu "Le diable s'habille en prada" de la même auteure, j'ai vraiment eu l'impression d'un remake : une jeune femme débarque dans le monde des célébrités alors qu'elle était complètement étrangère au milieu, se débrouille contre toute attente étonnamment bien pour obtenir ce qu'elle souhaite ; finalement, mis à part les personnages, rien ne change vraiment, du début de l'intrigue au dénouement, cela m'a vraiment donné un air de "déjà lu".

Une histoire légère, qui fait passer un très bon moment. L'univers reste très similaire à celui de "Le diable s'habille en Prada". C'est une recette qui marche pour cette auteure.

Un livre frais et agréable qui se lit facilement. On s'attache rapidement aux personnages tout en découvrant à travers les yeux de Beth l'univers pas très lisse du showbiz. L'histoire est fluide et connait une fin telle qu'on les aime!

Est-ce vraiment l'auteur du Diable s'habille en Prada qui a écrit cette daube?
L'histoire est implantée dans le milieu de la comm et des relations presse – que je connais quand même un tout petit peu – de manière plate, cliché et sans surprise. Des qualificatifs qui siéent à merveille à Beth, le personnage principal de l'histoire dépourvue de la moindre fibre d'une héroïne. Une éponge m'aurait probablement inspirée d'avantage d'empathie. le problème étant que j'ai déjà oublié toutes les autres éponges (comprendre : tous les autres personnages).
Aucun but à l'histoire, aucun personnage fort, aucun intérêt à la lecture.
Lien : http://touchepasamesbouquins..

Un bon livre pour se vider la tête. Vite lu, vite oublié.

Ce livre raconte le parcours de combattant de l'assistante d'une directrice de mode. A sa lecture, on plonge dans une description du monde superficiel de la mode.

Ce livre est hyper facil à lire mais je n'ai pas trop aimé car je l'ai trouvé un peu vide.

Gentillet

Un livre de plage par excellence, me suis-je dit. J'avais gardé un trés bon souvenir du "Diable s'habille en Prada", mais j'avoue que là, on en est loin. Pour le coup, qui n'a pas deviné dés la description de leur premier regard que l'héroïne allait tomber amoureuse du videur et qui n'a pas deviné illico qui se cachait derrière Ellie d'Initié ? Quand c'est trop facile, c'est beaucoup moins intéressant. Pas de surprise, pas de style, bref... pas fantastique. Mais au moins, sur la plage, ça permet de bouquiner sans se prendre la tête et sans perdre une miette de la conversation du chéri avec le voisin de serviette.