!!!Spoiler Alerte!!
-Prends ça et cours, dit-elle. Laisse- moi ici et va sauver Arwen.
Jayden tira sa dernière balle et jeta sa carabine.
- Tu sais, Kira, lui répondit-il je crois qu'en fait tu ne me connais pas si bien que ça.
« Quoi que tu fasses dans ce monde, quoi que fasse n'importe qui, on n'est jamais prisonnier du destin. On fait ses propres choix, Kira, et il ne faut laisser personne t'enlever ça. »
Le bonheur est la chose la plus naturelle du monde quand on l'a, et la chose la plus étrange, la plus impossible, la plus inaccessible quand on ne l'a pas.
Ah, bon, alors je suppose qu’il faut te remercier de n’avoir tué personne, dit Marcus. Mon exploit personnel, c’est d’avoir réussi à ne pas me pisser dessus. Tu me remercieras plus tard.
- Simple curiosité. (Elle se tourna vers Maigrichon.) Qu’est-ce que tu en dis, toi ? Pourquoi es-tu là ?
- Je veux me faire un Partial.
- Génial, soupira Kira. Très noble, comme aspiration. Et toi ? demanda-t-elle à l’autre.
Grognon ricana, les yeux cachés derrière ses lunettes noires.
- Moi, je veux sauver les petits bébés.
- Formidable. On y croit à mort. (Kira lança à Jayden un regard consterné.) Non non, vraiment, c’est parfait.
çà ne vous arrive jamais de vous dire qu'il y a peut-être plus important que vos libertés? Que sauver notre espèce entière est un peu plus prioritaire que pleurnicher sur vos droits?
- Ce que tu veux, c'est être heureuse. Comme tout le monde. Ce que tu ne sais pas, c'est ce qui te rendra heureuse.
Kira fit la grimace.
- Ce n'est pas normal ?
La femme secoua gentiment la tête.
- Le bonheur est la chose la plus naturelle du monde quand on l'a, et la chose la plus étrange, la plus impossible, la plus inaccessible quand on l'a pas.
[...]
- C'est comme apprendre une langue étrangère, poursuivit-elle. Tu peux dire les mots dans ta tête tant que tu veux : aussi longtemps que tu n'auras pas rassemblé le courage de les prononcer tout haut, tu ne sauras pas parler.
- Et si on se trompe ?
- Dans ce cas, tant pis, on risque de mélanger les serviettes et les serpillières, ou de mettre les pieds dans le saladier... Oh, parlons d'autre chose : je me mélange toujours les pinceaux avec ces expressions.
Vous imaginez? Un enfant en bonne santé, qui vivra une semaine, un mois,un an ; un enfant qui rira,qui marchera à quatre pattes, qui apprendra à parler. (sa voix se brisa.) Pour ça, je mourrais sans hésiter.
- Tu pars aujourd'hui ?
- Oui.
- Tout de suite ?
Elle hésita.
- Oui.
- Je viens avec toi. Rien ne me retiens ici.
- Tu ne peux pas venir, affirma-t-elle, catégorique. J'ai besoin que tu reste ici.
Je ne suis pas prête à ce que tu apprennes ce que je veux découvrir à propos de moi-même. Je ne suis pas prête à ce que tu saches qui je suis.
Ça ne veut pas dire qu'il faille s'y plier sans rien dire. J'aime a penser , moi que l’être humain a un sens de la justice plus développé que les forces de la nature