Après le premier tome où l'on découvre une nouvelle idée werberienne originale et qui nous laisse rêveur, la suite est un petit peu en deçà.
Des passages longs, des répétitions, du déjà-vu,
Werber nous a habitué à mieux.
On se laisse malgré tout embarquer par David et ses Emachs et, au final, on pense déjà au troisième volet et on se prend à imaginer la suite.