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3,57

sur 466 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'abandonne la lecture de ce roman au bout d'une centaine de pages lues.
A vrai dire, je ne devrais même pas dire lues mais plutôt survolées car mon regard a du mal à accrocher les mots et je n'arrive vraiment pas à me concentrer. J'avais déjà eu du mal avec le style de l'auteur lors de la lecture de Nickel Boys ; un style un peu trop dense et trop impersonnel à mon goût.
Je n'aime pas laisser les livres sur le carreau mais je n'ai pas le courage de poursuivre. Alors inutile de se torturer davantage !
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Une fois passée la découverte de Harlem dans les années 50-60, la ségrégation raciale au quotidien et les coups montés par des malfrats plus ou moins aguerris et violents, on s'ennuie...
En effet, les situations se ressemblent, se répètent et on se lasse, en attendant vainement que l'histoire prenne une autre dimension.
Quelle déception sans compter que le style est loin d'être exceptionnel !
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Si la plume est agréable et le récit a priori documenté, je me suis beaucoup ennuyée à la lecture de ce livre, dont j'ai parcouru les 100 dernières pages en diagonale tant j'avais hâte de le terminer.

Je lui ai laissé sa chance jusqu'à la fin, attendant l'événement excitant, inattendu, qui allait enfin insuffler une dynamique à l'histoire.

II n'est malheureusement jamais venu.

Au bout du compte, ce livre est davantage une description du Harlem de cette époque , dont la vie de Ray Carney n'est que le prétexte.

Je comprends l'idée de Colson Whitehead (dont le nom n'est apparemment pas un pseudo ) mais je trouve que son roman est plat, sans aspérités, sans éclat. Un peu un « L.A. Confidential » pour gamins de moins de 12 ans, édulcoré, rincé de ce qui fait le sel des histoires des petites frappes des quartiers populaires noirs américains de ces années-là.

Bref, pas un grand cru, malheureusement…

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Je ne vais pas vous faire le résumé... La 4ème de couv est là pour ça !
Donc le dernier Colson Whitehead... J'ai été déçue. Bien entendu, la férocité et la précision de sa plume sont toujours là mais alors, avoir l'impression d'être dans un catalogue de meubles durant 419 pages est épuisant. de la même façon, les détails à la limite de la géolocalisation pour identifier un lieu du New York du milieu du 20ème siècle sont un poil pénibles ! Je ne saurais dire ce qui cloche précisément parce que suivre Carney, vendeur de meubles côté lumière et petit truand côté sombre est plaisant. Il n'a pas de bol Carney, papa était voyou mais visiblement petit bras. Il a grandi avec son cousin, quasi frère, Freddie. Quoi que fasse Freddie, Carney est là pour le tirer d'un mauvais pas. Toujours. Et pour le coup, c'est un peu "c'est pas ma faute, c'est ma loyauté qui m'entraîne" . Même l'extrême racisme de ces années là n'est pas cerné, ni les émeutes qui pourtant furent d'une violence inouïe, ni la corruption policière qui gangrènait chaque poste de police.
Colson Whitehead connaît parfaitement son sujet mais désolée, il est passé à côté d'un grand roman.
Premier d'une trilogie ? Je ne lirai pas la suite.
Trop peur d'avoir pour héros un vendeur d'électroménager et tous les détails des performances domestiques de chaque modèle !
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J'adore New-York, que j'ai découvert l'an dernier… J'ai été vraiment très captivée par Nickel Boys, mais je le suis beaucoup moins par Harlem Shuffle… mais je n'accroche pas du tout… même si c'est très bien écrit. Je suis déçue, j'ai même beaucoup de mal à le terminer… mais j'irai au bout….
Est-ce le parallèle avec les dernières émeutes en région parisienne qui fait écho ? Peut-être ? J'en n'ai même pas retenu l'humour… Mais les malfrats, petites frappes, fourgueurs et flics ripoux et proxénètes avec les victimes qui vont avec, non ça ne m'intéressent pas plus que ça… même si c'est Harlem des années 60 et que c'est Colson Whitehead… que j'apprécie beaucoup et qui est un new-yorkais qui aime sa ville…
J'ai presque envie de rajouter,
j'en suis vraiment désolée…
Néanmoins je retournerai à New-York au printemps prochain et j'irai repérer l'ancien hôtel Theresa dont le bâtiment vers la 125ieme rue existe encore… et aussi je ne connaissais pas du tout le mot : dorveille.





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