Oksa Pollock, Tome 1 : L'inespérée

L'Inespérée est le premier tome d'Oksa Pollock, une série de fantasy jeunesse. L'héroïne éponyme, alors qu'elle vient d'emménager à Londres, se découvre d'étonnants pouvoirs, qui cachent un secret plus grand encore, ayant trait à sa famille. Tout en découvrant progressivement la vérité, elle doit, avec le soutien de son ami Gus, faire face au sombre professeur McGraw, qui ne semble pas non plus être celui qu'il prétend.

On m'avait suggéré ce livre, et étant amatrice de ce genre de littérature, j'en espérais beaucoup, or c'est une monumentale déception ! Il est long, fade, et la seule chose qu'il m'a inspiré, c'est une bonne envie de claquer la protagoniste !

Oksa est ce que l'on pourrait communément appeler une Mary-Sue. Elle est la plus forte, tout le monde l'aime et les garçons sont tous à ses pieds, elle commet des frasques à répétition qui pourraient avoir de lourdes conséquences, mais elle s'en sort toujours indemne et on lui pardonne tout…

À côté d'elle, il y a pléthore de personnages insipides ou clichés (vous le sentez venir, le triangle amoureux entre le bon copain loyal et le ténébreux torturé ?). La grand-mère est somme toute sympathique et les Foldingots sont plutôt amusants, mais les autres ne sortent pas spécialement du lot.

Pire, ils sont marqués par un profond manichéisme. J'attendais beaucoup de l'antagoniste, c'était le seul personnage qui m'intéressait un tant soit peu, et je crois que c'est en fin de compte celui qui est le plus mal traité. Il n'a au final aucune nuance, aucune ambiguïté, c'est juste un « méchant » pur et dur.

Quant à l'intrigue elle-même, elle se perd en explications interminables et en dialogues superficiels. Je crois que sur six cents pages, il y en a bien quatre cents en trop… Les plantes et créatures dont on fait sans cesse le tour, les innombrables capacités magiques, les Granoks et les Capaciteurs, sans parler des Félons, des Murmous, de toutes les choses propres à Édéfia… Au bout d'un moment, on a juste envie de crier stop et d'avoir (enfin) un peu de concret.

Parce que, ironiquement, en dépit de toutes ces explications, eh bien… On ne sait en réalité pas grand-chose, notamment en ce qui concerne Orthon. Autant dire qu'à ce niveau, la fin du livre m'a donné matière à m'arracher les cheveux. D'ailleurs, quand on voit le temps et la capacité de réaction d'Oksa alors que la vérité crève les yeux, je ne me demande qu'une chose : c'est elle, la fille super géniale et super talentueuse sur qui repose l'avenir de tout un monde ? Eh ben… Autant le condamner tout de suite.

Pour ce qui est de la cohérence, elle n'est pas non plus au rendez-vous. Il faut être discret, mais quelqu'un tue deux parfaits inconnus à l'aide d'une méthode magique, puis laisse survivre un personnage parce que bon, trois fois, ç'aurait vraiment été suspect ? Les armes humaines, ils n'en ont jamais entendu parler ? Et Pavel qui raconte à Oksa les erreurs commises par Tugdual du fait de l'ignorance de ses origines… mais qui continue, ainsi que le reste de sa famille, à entretenir des secrets. Où est la logique, là-dedans ?

Enfin, j'ai tout de même appris, grâce à ce livre, que le « l'» vient avant le « i » dans l'alphabet. Après un nom de famille en « O », c'est Pollock qui suit immédiatement, et pas ce brave Martin Poicassé qui a pourtant son importance au cours de la même scène. Dire que j'étais dans l'erreur durant tout ce temps…

Je ne sais pas ce que valent les tomes suivants, mais je n'ai aucune envie de le découvrir. D'ailleurs, je ne recommande pas du tout celui-ci. Il y a bon nombre de sagas fantasy beaucoup plus intéressantes à lire.
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Malheureusement pour moi, je ressors de cette lecture plutôt mitigée.

Malgré un univers qui avait tout pour me plaire, j'ai trouvé l'ambiance très enfantine, peut-être trop à mon goût.
Les personnages sont plaisants : ils sont drôles, originaux, ont de belles valeurs, mais ont des réactions et bien... de pré-adolescents. Oksa est courageuse, certes, mais je n'ai pas réussi à autant m'attacher à elle que je le l'aurais voulu, malheureusement.
Au fil des pages, des tas d'indices tombent, et ce, en multitude. Si bien que, à la fin, il ne retse plus tant que cela de mystère, et ne nous pousse pas à nous rediriger vers le second tome.
Je ne peux cependant pas dire que j'ai passé une lecture désagréable, loin de là, lmais je n'ai pas été emballée, c'est certain.

Des poules géantes ? Sérieusement ? le début du récit ne m'avait déjà pas très emballée (pourquoi prendre des personnages français pour les délocaliser à Londres ?) mais les poules m'ont fait comprendre que le reste de l'histoire risquait d'être laborieux à lire. Les créatures magiques se multiplient sans apporter grand chose à l'histoire, l'héroïne se découvre un nouveau pouvoir magique tous les jours sans que le système de magie soit vraiment cohérent, le méchant est caricatural et certaines péripéties ne sont pas très logiques.
Bref, si vous avez plus de 14 ans, vous pouvez vous passer de cette lecture.
Et si vous cherchez à découvrir un nouveau monde avec une héroïne qui a des supers pouvoirs, je vous conseille plutôt La quête d'Ewilan de Pierre Bottero. Mieux construit, plus belle écriture, et apprécié aussi par des adultes même si c'est de la littérature jeunesse...

Après avoir relu (une nouvelle fois) toute la saga d'Harry Potter, il me fallait absolument trouver un nouvel univers dans lequel me plonger.
Je me suis donc lancée dans la lecture du premier tome d'Oksa Pollock.
J'avoue avoir été très déçue... Je ne suis pas du tout rentrée dans l'histoire.
Le style d'écriture m'a déplu, car trop scolaire et un peu alambiqué. Les dialogues enfants / parents et l'utilisation de termes qui se veulent "jeunes" ne sont pas fluides. Les noms donnés aux personnages m'ont paru artificiels, tout comme les noms des sortilèges. J'ai aussi trouvé que l'immersion dans le monde était amenée de manière maladroite et non crédible. Certains épisodes de l'histoire ne paraissent pas cohérents.
Bref, je n'ai pas été emballée, ni touchée par les personnages et le contacte. Je m'étais procurée les 4 premiers tomes, je n'irai malheureusement pas au-delà du premier.

je suis très habitué aux livres de genre fantastique, donc quand j'ai vu ce livre je me suis dit que j'allais l'adorer.

mais, ce livre n'avait le petit quelque chose que mes livres préférés ont.Plus j'avançais dans le livre plus je décrochait, finalement je n'ai même pas pu finir le livre.

mais je conseille aux lecteurs du fantastique d'essayer ce livre. peut être qu'ils adoreront.

Ayant fait la connaissance des deux auteures, j'ai eu envie de découvrir leur oeuvre. Edifia est un monde qui fait rêver, car en harmonie avec la nature. Il y a beaucoup de créatures bizarres et je n'ai pas réussi à les imaginer. Oksa est une jeune fille déroutante. Elle oscille entre enfantillage et maturité. Elle a un esprit très fertile. Je me suis demandé où elle trouvait ses idées. Je crois que la grand-mère est le personnage que j'ai préféré. Elle a eu une vie bien plus passionnante que ce qu'Oksa vit dans ce tome. J'aurais voulu qu'Oksa voit Edifia. Ce sera pour un des prochains tomes. le grand méchant n'est pas à la hauteur. Je finis ma lecture en rêvant de ce pays caché, mais déçu par l'héroïne. Je n'ai pas encore décidé si je lirais les autres tomes.
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Un peu trop simple et bâclé pour moi. Je pensais tomber sur du Young Adult, mais je pense que ça s'adresse en priorité aux 10-12 ans. Dans ce cas, ils devraient adorer les petites mascottes, les noms inventés et les similarités avec Harry Potter...

Moi qui aime la littérature de jeunesse, je recommande ce livre à tous les... petits! Non, là, vraiment, c'est pour les ados, et ça leur plaira (façon de parler d'Oksa, présence de la magie dans notre monde...). Mais pour un adulte, pffff... Je n'ai pas réussi à terminer le roman: trop gnangnan, tout va trop vite... J'ai trouvé ça mal écrit et mal mené. Cela dit, je le répète, pour les ados qui n'aiment pas trop lire à la base, par exemple, ça leur plaira!