Une canne à pêche pour mon grand-père

Un recueil de nouvelles écrit par un prix Nobel, cela paraissait un bon choix. Mais j'ai été déçue. La nouvelle titre m'est passée au dessus, je n'en vois pas l'intérêt. Les autres m'ont surtout ennuyée.
J'ai pourtant l'habitude de la littérature chinoise avec le palanquin des larmes de Chow Ching Lie, lu il y a plus de 40 ans et depuis j'en ai lu bien d'autres de Zifan Chi, de Xinran de LIsa See, de Ya Ding, de Xiaolong Qiu…
J'avais prévu de lire son roman La montagne de l'âme, 672 pages mais j'y renonce je ne suis pas masochiste.

J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque pour avoir un X pour mon défi ABC en me disant qu'un recueil de nouvelle sera vite lu et qu'on ne risque pas de s'ennuyer avec diverses histoires courtes. Raté !

La première nouvelle commence doucement. Très doucement. En fait elle ne démarre jamais. Il ne se passe rien. Lecture sans intérêt pour moi.

Bon, j'essaie la deuxième : pas mieux !

Je ne veux pas croire qu'un prix littéraire soit si vide. J'insiste et lis la troisième.
Cette fois j'abandonne. Ce livre ne m'apporte aucune émotion, aucun suspens, aucune beauté ni aucun humour. C'est juste très pénible à lire tant je m'y ennuie... Je le rends tout de suite, et sans regret !