Ne pense jamais à un homme comme à l’arbre à l’ombre duquel tu peux te reposer. Les femmes ne sont que de l’engrais, qui se décompose pour permettre à l’arbre de se fortifier.
Pour les Chinois, tous les prétextes sont bons pour organiser un banquet : nous vivons selon le principe que "la nourriture est céleste", et que nous mangeons et buvons nos richesses cachées.
Même si à cette époque on s'accordait à répéter que "le manque de talent chez une femme est une vertu", ses filles ont bénéficié de la plus complète des éducations.
La Chine a une très longue histoire derrière elle, mais cela fait très peu de temps que les femmes ont pu devenir elles-mêmes et que les hommes ont commencé à les connaître vraiment. (p. 80)
- Vous ne devriez pas prendre les chiffonnières en pitié. Elles ne sont pas aussi pauvres qu'elles en ont l'air. Leur esprit transcende ce monde terrestre d'une manière que les gens ordinaires ne peuvent concevoir. Il n'y a pas de place dans leurs vies pour les possessions matérielles, c'est pourquoi elles satisfont facilement leurs désirs matériels. (p. 84)
Il lui avait demandé : "Alors, on va pas voir papa ?"
Elle avait répondu : "Papa est trop loin, et tu es trop petit pour aller là-bas. Maman va t'aider à grandir, et tu pourras emporter plus de choses, et des plus belles quand tu iras le rejoindre."
« Tout ce qui compte pour les Chinois, c’est de ne pas perdre la face, mais ils ne comprennent pas que leur face est liée au reste de leur corps. » (p. 291)
« Le tragique, c’est qu’autant de femmes intègrent ce jugement de ‘mauvaises femmes’ que les hommes portent sur elles. » (p. 69)
Le professeur m'a dit que cette bibliothèque était un secret qu'il gardait en cadeau pour les générations futures. Peu importe ce qu'en pensent les révolutionnaires, a-t-il dit, les gens ne peuvent pas se passer de livres. Sans livres, nous ne pourrions pas comprendre le monde; sans livres nous ne pourrions pas évoluer ; sans livres, la nature ne pourrait pas servir l'humanité.
La politique avait tellement émoussé l'enthousiasme en Chine que l'on rencontrait rarement des hommes de l'âge du Vieux Wu qui éprouvait encore de la curiosité pour les choses de la vie.