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Bonsoir tout le monde, je viens de terminer L'envers du miroir le premier opus de la série Les espionnes du Salève de Mark Zellweger publié chez Eaux Troubles éditions .

A travers ce roman Mark Zellweger revient sur le rôle de la Suisse pendant la seconde guerre mondiale.
Dans ce roman, Genève deviendra une plaque tournante de l'espionnage où se prendrons d'importantes décisions concernant la résistance et des filières de passage permettant à de nombreux juifs de fuir la barbarie nazie.
C'est comme cela que nous rencontrons Hannah Leibowitz ( tiens comme le nom d'un Faucon du Sword) qui arrive à Genève avec son fils Avram.
Elle deviendra vite la responsable d'un réseau d'espionne appelé Les espionnes du Salève ou parfois les louves.
Ce réseau composé uniquement de femmes prendra tous les risques pour obtenir des informations de premier plan par l'intermédiaire d'infiltration des forces allemandes dans un Paris occupé.
Bien évidemment et comme d'habitude avec l'auteur de nombreuse intrigues vont se jouer en parallèle.

Il faut noter l'énorme travail de recherche fourni par l'auteur qui par l'intermédiaire d'une première partie que certains trouveront un peu longue nous explique en détail la situation géopolitique de la Suisse et des zones concernées par l'intrigue du roman.
Il faut aussi noter la quantité astronomique de personnages présents dans cette première aventures qui m'a parfois désarçonné.
Néanmoins et comme d'habitude cette intrigue et ficelée de main de maître par l'auteur et j'ai hâte de lire la suite des aventures des louves du Salève.

Ma note 4/5
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Pour ma part, j'ai trouvé ce premier tome qui explique la mise en place d'un réseau d'espionnes basé sur le sol helvétique très bien écrit et, surtout, très bien documenté.

En effet, on a tendance à considérer la Suisse, pays neutre pendant la Seconde Guerre Mondiale, comme se refermant sur elle même sans se préoccuper des pays en conflit surtout pour protéger sa neutralité et son économie.

Grâce à Mark Zellweger et à la préface du Docteur Christian Rossé, j'ai appris que tous les pays impliqués avaient une antenne dédiée à la collecte de renseignements sur les Allemands, renseignements partagés entre les différentes officines d'espions. de plus, on voit également que des Suisses se sont également impliqués en faisant partie, par exemple, de réseaux de passeurs de réfugiés.
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Premier tome de la trilogie : Les espionnes du Salève, L'envers du miroir est très introductif. L'action se passe entre 1940 et 1941 et on apprend que la réputation de neutralité de la Suisse est clairement erronée. En effet, en Suisse et particulièrement à Genève, les services de renseignements tournaient à plein régime et pouvaient venir en aide aux armées des pays alliés et à la Résistance. Un réseau d'espionnage, et même de contre-espionnage, sévissait alors. Bon nombre d'actions furent menées afin d'obtenir des renseignements ou d'aider des familles juives à passer la frontière ou à sauver des résistants des mains de la Gestapo au péril de leur propre vie.

Lorsque Hannah Leibowitz arriva à Genève, elle proposa de participer à l'action de la Résistance, idée qui séduisit d'autres femmes. Bientôt ce groupe de femmes fut appelé Les espionnes de Salève (montagne surplombant Genève) et, conscientes du danger de leurs missions, risquèrent leur vie en faisant des allers-retours Paris-Genève afin de récolter des informations vitales auprès d'officiers de la Gestapo, quitte à donner de leurs personnes.



Mark Zellweger nous abreuve dès le début de faits historiques, d'informations techniques et d'une multitude de noms fictifs ou réels. J'ai eu beaucoup de mal à appréhender le roman où je glanais des informations ici et là. Au fil du roman, j'ai réussi à remettre les éléments en place mais la mise en place prend beaucoup de temps dans ce roman et comme je suis loin d'être une experte en histoire, j'ai vite été perdue...



Au final, j'ai apprécié ma lecture qui a mis les espionnes de Salève en place et qui développeront, je pense, leurs actions dans les deux autres tomes. Ici, on nous a surtout exposé les rouages des services de renseignement et les principes de la Résistance et de l'espionnage et une multitude de noms dont je n'ai retenu que ceux qui ont commis des actions notables dans ce tome...



Une lecture très intéressante, bien rythmée par des chapitres courts, je lirai avec plaisir la suite qui gagnera en fluidité maintenant que les bases sont posées. L'auteur nous entraîne dans un pan historique peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, de façon captivante.
Lien : https://aufildesevasionslivr..
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Avec ce roman, préparez-vous à une plongée dans le monde de l'espionnage durant la Seconde guerre Mondiale. vous allez me dire oui mais bon encore un roman d'espionnage sur fond de nazisme. Je vais vous répondre "oui mais non". Mark Zellweger a décidé de mettre en lumière un réseau d'espion suisse et pas n'importe lequel puisque ce réseau était féminin.

Dans ce premier tome assez introductif, on apprend comment ce groupe est né. A l'époque, les femmes n'étaient pas faites pour faire la guerre et encore moins de l'espionnage. Mais pour faire front face à la barbarie, toutes les forces disponibles sont les bienvenues et elles ne vont pas tarder à faire leurs preuves.

On parle souvent de la Suisse et de sa neutralité. Or Mark Zellweger, grâce à des recherches historiques poussées, a démontré que ce pays n'est pas resté inactif et que son service de renseignement était particulièrement efficace.

J'ai beaucoup aimé ce premier tome, les personnages, ces femmes qui ont décidé de mener le combat avec leurs armes pour survivre et mettre en échec les nazis mais aussi tous ces héros méconnus qui ont aidé la résistance soit en cachant des réfugiés, soit dans le role de messager ou d'informateurs.

J'ai hate de retrouver les personnages dans d'autres aventures. L'auteur a su nous replonger dans cette période grace à ses recherches historiques poussées et on a franchement l'impression d'y être.

Merci à lui de faire revivre ces héros.
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Après un début un peu lent mais essentiel, il faut mettre en place le contexte et présenter les différents protagonistes, le rythme s'accélère et les missions des espions se précisent.
Ce roman d'espionnage est extrêmement bien documenté et est un véritable hommage au réseau méconnu de résistants basé en Suisse et plus spécifiquement à la filière féminines, les Louves qui feront preuve d'un courage sans faille.
Même si le récit est romancé, il s'appuie sur des témoignages, des personnes réels, des actions clandestines et passages de réfugiés menés par monsieur et madame tout le monde. N'oublions jamais ces héros, merci pour votre engagement, vous êtes des justes, des modèles.
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Le premier opus d'une trilogie d'espionnage historique, couvrant la période 40-41, en Suisse ,à Genève , évoquant des résistantes femmes : " les Espionnes du Salève" , écrit par un auteur helvète diplômé de la Sorbonne et conseiller de directeurs de services de renseignements internationaux , est une mine d'informations. La neutralité de la Suisse pendant la seconde guerre mondiale a nécessité beaucoup d'organisation pour que ce nid d'espions qu'est Genève serve la cause des anti- nazis comme nous le découvrons dans une première partie où se télescope une foultitude de personnages, qui demandent une attention accrue; en seconde partie la création des "espionnes du Salève" nous amène une intrigue bienvenue. Sacrés bonnes femmes ces"louves", comme elles se surnomment, chapeautées par le vice-consul anglais Victor Farrell chef du SIS ou M16 de Genève. Hannah Leibowitz échappée du ghetto de Lodz prend leur tête. Deux d'entre elles enquêteront dangeureusement à Paris à l'état-major du 3ème Reich pour connaître les intentions d'Hitler envers la Suisse. L'invasion de la Russie rassurera nos voisins. Depuis que Pétain dirige la France soumise et envahie, la zone libre est proche de Genève et à travers le pays de Gex dans l'Ain beaucoup de réfugiés et d'espions transitent, la Résistance s'organise des deux côtés et collabore. Des histoires naissantes s'ouvrent pour les autres tomes. Les services de renseignement des pays impliqués se côtoient que ce soient les Français , les Anglais, les Russes et luttent contre l'Abwehr et ses espions. Et , en conséquence, une "Louve" trahira et devra être éliminée. Hannah et ses "Louves" vont devoir trancher dans le vif , qui de Ruth Jacob, juive parisienne, de Sev l'Arménienne à la formation commando, de Thela la secrétaire de Farrell, de Marieke la hollandaise , de Marie agent de liaison avec la région lyonnaise, d'Adèle passeuse et agent de liaison avec Gex et l'Ain, de Louise agent de liaison du SR suisse à la gare de Cornavin, gare de Genève a failli ? Et la vigilance du général Henri Guisan chef des armées suisses pour le temps de guerre en passant par le major Bernard Barbey, le capitaine Bernard Cuenoud, le lieutenant Fernand Nappey, le commandant Gaston Pourchot ou de celle plus modeste de Lucien Mas du service des douanes, d'Irène Gubier habitante de la frontière, de Gaston Desclouds curé, a t-elle porté ses fruits, on peut le penser devant le courage et l'intelligence dont ils font preuve.
L'auteur a pris soin de nous concocter un avant-propos sur sa démarche, d'obtenir une préface de Christian Rossé, spécialiste suisse, d'établir une liste des personnages et en postface une sorte de "making of" de ses recherches. Si l'écriture de l'auteur est de style simple , et le rendu des dangers encourus par ses héros pas assez appuyés ou mis en scène, genre "feelgood" pour une époque sans concession, nous n'oublierons pas la découverte de cet "univers" de la Résistance face à l'hydre nazie qu'il fallait porter à la connaissance d'un public plus vaste . Les suites devraient encore nous étonner .Et être"reconnaissants" envers cette Suisse "neutre"( pas tant que ça).
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Ayant égaré la version poche de ce premier tome, c'est avec joie que j'ai vu que NetGalley et les éditions Eaux-Troubles proposaient les trois tomes de la série « Les Espionnes du Salève ». N'étant pas fan de l'aspect « espionnage », j'ai été mitigée sur ce premier tome de par les aspects techniques qui m'ont semblé mettre au second plan l'histoire des Espionnes du Salève.

Préface mettant le lecteur dans le contexte de l'histoire.

1er juillet 1941.

Suite à un acte de résistance, Armand est en fuite, direction la Suisse. Au moment où Alice, jeune espionne doit le récupérer, Armand se fait arrêter sur dénonciation. Quelqu'un les a trahis.

C'est à Genève qu'un réseau d'espionnage entièrement féminin voit le jour. Des femmes prêtes à tout pour contribuer à la fin de la guerre. Leur chef n'est autre qu'Hannah Leibowitz qui s'est enfuie du ghetto avec son fils grâce à son mari.

C'est ainsi qu'avec d'autres femmes, les Espionnes du Salève va être créée.

A Genève, la vie suit son cours sauf pour l'espionnage jouant le double-jeu face à l'Abwehr qui tente de s'incruster par tous les moyens, gare aux espions qui tomberont dans le piège.

Ruth et Sev se sortiront-elles indemnes du piège dans lequel elles sont tombées, trahies par l'une des leurs ?

Un premier tome qui pose les bases de la série mais aussi tout le complexe de l'espionnage durant la Seconde Guerre mondiale tout en dévoilant une multitude de personnages comme d'informations.

L'espionnage est complexe, ce livre l'est tout autant, les dates et événements devant être assimilés pour comprendre toute l'importance de la situation politique en jeu. Seule la partie concernant les espionnes du Salève m'a intéressé, l'espionnage et les données politiques étant trop ardu pour moi.

Mention spéciale pour le travail de recherches fournit par l'auteur ainsi que l'importance des femmes mises en avant ainsi que le destin d'Hannah Leibowitz qui en font une trilogie pour les passionnés d'espionnage.

Des chapitres courts (j'ai fini le livre en moins de deux jours) et la découverte de l'importance de la Suisse, pays neutre qui a fait face à l'horreur du nazisme et a envoyé des femmes de toute nationalité dans la gueule du loup afin de mener des missions de renseignements.

Etant donné l'envers du décor posé, j'espère pleinement apprécier le second et le troisième tome.

Quand la guerre devient le jeu de la politique et que l'espionnage est la clé de la liberté !
Lien : https://leboudoirdulivre.wor..
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Déjà l'auteur et la préface vous explique les arcanes de cette histoire d'espionnage… et la caution d'un professeur d'Histoire est donc un plus pour ma lecture… même d'une fiction !
Nous sommes en suisse, en 1939… la guerre est là… différents personnages se réfugient volontairement ou pas en Suisse et vont s'associer avec les différents services secrets basés à Genève… sous les yeux de l'Abwehr, les services secrets allemands qui fourmillent et espionnent.
Les chefs anglais, français, néerlandais montent une opération et une équipe féminine composée de femmes d'horizon (juive, polonaise, néerlandaise, suisse, française, etc.) et de milieux différents, dont la chef de file est Hannah qui est une réfugiée polonaise juive ayant laissé son mari à l'arrière (et ayant fui avec son petit garçon). Parallèlement, on voit les gens ordinaires aider ou pas, trahir, vendre des renseignements.
On va suivre, donc, suite à la dénonciation, l'arrestation d'un jeune homme, qui a été à l'origine de ce fiasco ?
Attention, ce n'est pas le meilleur roman d'espionnage sur la Seconde Guerre mondiale, que j'ai lu, mais cela se déroule bien… il y a beaucoup de personnages, et il faut se concentrer pour savoir qui est qui, qui fait (ou a fait) quoi…
Mais dès le moment où les missions des espionnes se mettent en place, on est happés par ce système, leurs vies, leurs passés, leurs motivations…
Sans être révolutionnaire, ni très addictif, j'ai lu avec intérêt, notamment sur l'organisation de la résistance et l'espionnage helvète et j'enchaîne la semaine prochaine sur le tome 2 « Bletchey Park »… pour finir en octobre avec le Tome 3… car oui, l'écriture me plaît et cela fait passer un bon moment dans les transports en commun…
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Longue, trop longue mise en place au départ, qui s'explique peut-être par le fait que ce livre est sensé devenir une série, ce qui a bien failli me perdre dans l'ennui. Puis l'histoire s'installe et on découvre les activités des helvètes en temps de guerre. Même si l'histoire est d'un style très séquencé, on se prend au jeu et finalement on referme le livre...mitigé tout de même, à cause de plusieurs scènes non reliées et de longueurs. Heureuse d'en avoir appris sur les suisses pendant cette période de guerre et l'étonnant, courageux, travail des espionnes. Bien que l'écriture soit plaisante, presque facile même, j'ai trouvé un peu lisse malgré une fin qui est assez prenante.
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En 1940, invasion de la France par les troupes nazis. En Suisse, le vice-consul Victor Farrell mobilise ses services de renseignements. Dans cet élan, il crée un groupe de résistantes uniquement féminines « Les espionnes du Salève » avec à leur tête Hannah Leibowitz.
Un roman d'espionnage historique qui nous tient en haleine s’appuyant sur des faits réels de la seconde guerre mondiale.
La préface signée Christian Rossé, historien, permet une meilleure compréhension du rôle joué par Genève et la Suisse durant l'occupation.
J’ai adoré ! Je le recommande vivement !
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