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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai terminé ce livre hier soir et ce matin pour écrire la critique je suis bien em...bêté. Pas réussi à accrocher sur ce bouquin. A part deux ou trois passages qui m'ont réveillé, le reste m'a paru monotone et m'a laissé insensible. J'ai l'impression d'avoir été un poisson rouge tout au long de la lecture : à peine un paragraphe terminé que je l'avais déjà oublié.
J'ai donc fait un truc que je ne fais quasiment jamais, je suis passé voir les critiques sur Babelio : la presse est dithyrambique et les notes des membres sont rarement au-dessous de quatre.
Alors c'est moi qui suis passé à côté. Ça m'arrive parfois.
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Sombre dimanche d'Alice Zeniter ou l'histoire de la famille Mandy . Budapest, la gare de Nyugati, une maison en bois coincée , encerclée par les voies , un jardin triangulaire saupoudré des déchets jetés par les fenêtres des trains. Mais voilà ils sont ici chez eux alors rien à faire contre vents et marées ils ont tenu bon , ils y sont restés . Imre c'est le dernier fils de la famille nous le voyons grandir et avec lui c'est l'histoire d'un pays que nous découvrons . Des années 196O à la chute du mur de Berlin, après l'occupation allemande la main mise russe et le communisme , comment la Hongrie s'en sortira t'elle ?
Sombre dimanche, quel titre prédestiné, rien pas une page qui ne soit pleine de tristesse, d'ennui, de mélancolie, ou pire de désespoir. Alors même si l'écriture d'Alice Zéniter est belle cela n'a pas suffi à me réjouir loin de là ! Imre porte sur ses épaules le poids du monde et je n'ai pas pu le soulager je n'ai pas pu éprouver de compassion sûrement par méconnaissance de l'histoire, aussi vraisemblablement parce que cette lecture ne tombait pas au moment adéquat . Bref vous l'aurez compris moi aussi j'ai chaussé mes gros godillots et j'ai beaucoup peiné à terminer cette lecture Même pas eu envie de partir pour Belgrade c'est vous dire ....
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Un roman poétique plutôt bien écrit. L'histoire se lit agréablement en laissant entrevoir quelques aspects intéressants de la vie hongroise mais l'ensemble m'a paru un peu superficiel. le personnage principal semble rester un éternel enfant et le récit qui en résulte donne l'impression de quelque chose d'inachevé qui m'a un peu frustré. Je ne garderai pas un souvenir impérissable de ce livre que j'ai trouvé trop peu consistant à mon goût.
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Sombre dimanche, c'est le récit de l'enfance à la vie de jeune homme de Imre Mandy, dans la petite maison familiale, coincée entre les voies ferrées de la gare de Nyugati, Budapest. Une maison faite de bric et de broc par l'arrière grand-père et seul ciment d'une famille cabossée : il y a d'abord le grand-père renfermé qui maudit Staline, son fils veuf, mal aimé du père et de ses soeurs pour une raison que l'on apprendra au fil du récit et Imre et sa soeur. Difficile de grandir, de se faire une place et s'inventer des rêves dans la grisaille et la tristesse. Imre a peu de prise sur son destin, pas plus que les autres protagonistes, se laissant porter par les événements, les subissant plutôt que les provocant.
Il ne se passe donc pas grand chose dans ce court roman, l'ambiance y est triste, Alice Zeniter met beaucoup de distance vis à vis des personnages, leur vie se déroule de façon assez terne, et le nombre de malheureux événements s'accumulant sur la même famille, finit de plomber l'ambiance déjà pas très légère. J'ai trouvé le style de la narration atone, reste le contexte historique qui est évoqué en filigranes ou plus approfondi lors de certains passages qui peut éclairer sur ce pays que je ne connais pas.
Je n'ai pas donc pas été séduite par ce roman, triste et sombre et j'avoue avoir eu l'envie d'abandonner, j'ai tout de même terminé ce roman assez court mais je me suis ennuyée avec cette lecture.
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La vie de Imre, un jeune hongrois qui partage la petite maison familiale en bois collée à la gare de Nyugati à Budapest, avec son père, sa soeur et son grand-père. Une enfance tristounette, dans un univers gris, faite de privations, de secrets, de peurs. Grâce à l'Histoire (celle avec un grand H) qui voit l'effondrement de l'URSS, la vie d'Imre change. Adolescent, il trouve un petit boulot dans un sex-shop, rencontre une jeune allemande, se marie et fonde une famille. Voilà l'histoire.

C'est bien écrit, très bien décrit. Ambiance socialiste, plombante. Il ne se passe rien, les personnages sont ternes, insipides, aucune aventure, aucune profondeur. Pourtant il y en aurait à raconter, le viol de la grand-mère, le sentiment de culpabilité du père, la grossesse non désirée de la fille… Mais non, tout est subi dans une passivité exaspérante. Étonnant tous ces prix que ce roman a raflés. Pour moi ça ressemble effectivement à un dimanche, mais plus pluvieux que sombre.
Lien : http://levoyagedelola.wordpr..
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Je n'ai pas été conquise par ces personnages et leur histoire. J'ai passé moi-même un sombre dimanche pour cette lecture.

Au coeur de la vie à Budapest, une description de la société où le communisme est encore présent, les personnages vivent une vie insensée dans cette maison entourée de rails. Nous suivons la vie de Imre, un homme qui se cherche mais qui a du mal à se trouver. Passant de l'amour de sa mère, à celle du meilleur ami, à son travail et à sa femme, il ne se construit qu'en fonction des autres. Il n'arrive pas à s'émanciper. Sa vie n'est que pertes, pathologies et secrets.

Le style du livre n'est pas désagréable, mais je n'ai pas été touchée par cette famille où de générations en générations tout semble s'effondrer comme la statue de Staline. Que leur faut-il pour reconstruire ensuite, vivre et tendre à être heureux, apparemment il n'y a pas de réponse à cette question.
Lien : http://metaphorebookaddict.w..
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J'abandonne Sombre Dimanche.
C'est un livre assez intéressant, j'en ai lu plus de la moitié. Il est fait de courts chapitres qui progressivement nous décrivent la vie d'une famille hongroise dans la banlieue de Budapest.
Chaque chapitre raconte une tranche de vie, pas forcement dans l'ordre chronologique. On balaie ainsi toute la période qui va de la fin de la seconde guerre mondiale à la chute du mur de Berlin et à la fin de l'hégémonie de l'URSS.
C'est bien écrit mais j'ai du mal à continuer. 'est ainsi, je pense que j'y reviendrai plus tard.
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Ben voilà, vous me l'avez vivement conseillé alors je l'ai lu, je vais bientôt pouvoir dire que ce blog est participatif ! (ouais, enfin, pas trop, hein, des fois vous êtes bieeeeen moins snob que moi ! ). Alors oui, Alice Zeniter est jeune, mais pas plus que moi alors ça me dérange moins (mouarf) et puis il faut dire que, même si fondamentalement ça m'a bien plu, ça ne m'a pas non plus arraché des larmes de reconnaissance. Comme disait Christine, on ne sait pas trop où est-ce qu'elle veut nous emmener et on y va gaiement mais en se posant deux-trois questions tout de même. J'ai été accro à l'ambiance, à la petite maison au bord des rails, la gare, le nom sur le chambranle de la porte… Mais pour le reste, ben, ça ne m'a pas des masses parlé.

C'est peut-être à nouveau une question de générations, mais bon, l'auteure et moi on a le même âge… Alors un truc de famille, la sienne était peut-être plus tournée vers l'Est alors que la mienne l'était vers l'Ouest, toujours est-il que la chute des républiques soviétiques et l'ambiance que ça a impliqué, associée à la vie agaçante d'un jeune qui ne sait pas ce qu'il veut, ou qui sait trop ce qu'il ne veut pas, ou pas… enfin, un jeune homme pas très sûr de lui, quoi, ça ne m'a pas des masses émue, voire ça m'a même un peu barbée par moments.

Voilà voilà, j'ai aimé l'ambiance, j'ai aimé certaines inventions, mais au final, je n'ai pas vraiment accroché. Enfin, je dois être la seule, vu qu'il vient d'être primé. Et à la Closerie des Lilas, en plus, si c'est pas chic…
Lien : http://www.readingintherain...
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Quelle déception!
Moi qui me réjouissait de retrouver cette auteure, inconnue avant LA claque lorsque j'avais lu "l'art de perdre"...
Quelle déception que ce livre long et ennuyeux, improbable, mal écrit.
Mal écrit, oui, comme ces livres de bobos ravis de platitudes, qui aiment s'écouter avec un petit air de supériorité au coin des lèvres.
Quelle déception...
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Rien à ajouter aux critiques mitigées que j'ai lues ici, à part qu'une fois de plus je trouve sous la plume de cette Normalienne un horrible "pour ne pas que" (déjà rencontré dans un autre de ses romans) ce qui ne m'incite guère à l'indulgence. Phénomène de mode, l'auteur connaît son heure de gloire, bien éphémère je parie.
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