Le poème reflète les sentiments scandalisés des milieux chrétiens pendant le Second Empire, lorsque la nouvelle des massacres de Damas parvint en France : la poétesse décrit en alexandrins la violence de ces journées et évoque la menace de représailles (souhaitées par son milieu), alors que
Napoléon III et d'autres puissances européennes décidèrent d'envoyer une expédition en Syrie, qui enclencha un processus d'autonomie du Liban.
La poétesse cependant conclut son texte sur une touche morale, en référence au martyr.