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Citations de Beaux Arts Magazine (541)


Et j'aime surtout l'art !
Il est toujours et partout
avec moi: dans la tête,
dans le coeur, dans
mes plus profondes
aspirations. Les heures
matinales que je lui consacre
sont les meilleures de ma vie.
Dans ces heures, il y a tout:
joie et amertume. - Ilya Répine
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Edward Hopper mis à nu
Qu'elle baigne dans une lumière naturelle ou artificielle, sa peinture ressemble à un film noir tourné en plein jour, voir à une scène maudite, perpétuellement rejouée, mais dont le mystère ne se laisserait jamais entamer. Pourquoi Hopper nous obsède-t-il tant ? Beaux-Arts vous explique tout à l'occasion d'une grande exposition à Bâle.
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Un monde parallèle où la perception des choses se fait plus délicate, moins aveugle, moins rationnelle.
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Pas assez bling-bling, le homard ? Pas de problème, un petit coup de spray doré le rendra plus clinquant !
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On a tendance à l’oublier, mais l’œuvre complet de Vermeer se résume à 36 tableaux disséminés entre 18 musées situés dans sept pays différents. Google Arts & Culture les a réunis sur un mini-site, qui invite l’internaute à mieux connaître l’artiste. Saviez-vous, par exemple, que Vermeer eut 15 enfants ? Que ses toiles ont parcouru l’équivalent de plusieurs tours du monde, alors que le peintre néerlandais effectua seulement la distance entre Delft et Amsterdam… soit 109 km ? Ou encore, moins anecdotique, que le bleu outremer qu’il utilisait était une poudre de lapis-lazuli importée d’Afghanistan, d’un prix plus élevé que l’or ? Pour compléter le tableau, tous ses chefs-d’œuvre sont numérisés en très haute définition et commentés en détail.
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L’art ne vient pas coucher dans les lits qu’on a faits pour lui.
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Depuis quelques mois, des applications proposées par YouTube et Chrome, permettent de regarder nos séries TV en accéléré, c’est-à-dire en augmentant de 20 à 50 % la vitesse de défilement des images, tout en laissant les dialogues intelligibles ! Un épisode de 52 minutes peut ainsi se visionner en 39 minutes : cela s’appelle le « speed watching ». Une technique qui offre la possibilité de zapper les plans longs et les effets de style pour se concentrer essentiellement sur le récit, connaître la suite de l’histoire entre les épisodes 1 et 2, et rien d’autre. Face à l’offre de plus en plus considérable de productions audiovisuelles, on propose donc désormais de les consommer compressées afin d’en voir davantage. Mais la compression, c’est la réduction et la dissolution de l’art. Sur la chaîne hi-fi la plus sophistiquée au monde, l’écoute d’un morceau de musique au format numérique MP3 a douze fois moins de richesse sonore que celle du même morceau enregistré sur un disque vinyle et diffusé sur une platine de base (c’est prouvé scientifiquement) ! Depuis une vingtaine d’années, sans que l’on s’en rende compte, le son numérique émis dans le monde entier est beaucoup moins riche qu’hier. De la même manière, visionner une série ou un film en accéléré, c’est faire disparaître l’essentiel de l’œuvre. Car c’est dans les détails, dans les lenteurs, dans les points de vue offerts que celle-ci réside, et non pas uniquement dans l’histoire ou le scénario Et regarder en les faisant défiler sur Google toutes les toiles de Van Gogh ne permettra jamais à personne de les appréhender. Ses peintures ne sont pas des images, mais des matières, des atmosphères, une alchimie de la pensée et de la vie en suspension qui ne peuvent se ressentir que face à l’œuvre, en y plongeant avec tous ses sens. Mon propos n’est pas lyrique, c’est un fait : il suffit de comparer l’effet que suscite le visionnage de la Méridienne de Van Gogh sur votre ordinateur et l’expérience d’une confrontation réelle au musée d’Orsay. Qu’il s’agisse de musique, de peinture ou de cinéma, une œuvre compressée est une œuvre amputée, une réduction de la création qui entraîne une régression de l’humanité.
(Edito "Le speed visuel" par Fabrice Bousteau)
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"regarder ces cultures sans s'empêtrer dans les catégories que le XXe siècle nous a léguées", tel est le parti pris de la muséographie orchestrée par Jean Nouvel et Germain Viatte. Vaste espace dénué de cloisons, le plateau des collections qui abrite près de 35000 oeuvres réparties sur quatre continents - Afrique, Asie, Océanie et Amériques - propose aux visiteurs une déambulation poétique, baignée dans une pénombre propice au recueillement et au rêve. (p.23)
Une Forêt dans la ville.
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A force de s'agrandir, de fabrique en série et de diviser toujours plus le travail, ce qui devait arriver arriva : l'artiste devint un logotype, une marque déposée, un dirigeant de PME voire de multinationale, mais est-il vraiment un entrepreneur comme les autres ? Et que reste-t-il de la galerie ?
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En 1931, on parlait déjà des représentations du cirque de Calder : il pouvait tenir dans un carton à chapeau, selon les journaux. Calder, depuis son arrivée à Paris fabriquait en fil de fer et bois découpé des petits acrobates, des danseuses, des animaux, créait les trapèzes articulés, les filets, et mettait le tout en action pour ses amis. Installés sur les lits ou par terre, les invités s’agglutinaient autour d’n morceau de tapis vert qu’on déroulait sur le sol. Calder y disposait la piste, fixait les poteaux des trapèzes dans le sol, orientait un projecteur, et après avoir placé sur le phonographe un disque approprié, la représentation commençait : « Mesdames et Messieurs….
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Si je parviens par l'assimilation de l'air avec ce qu'il sait faire vivre, et de la lumière avec que qu'elle fait éclore et mourir, à donner la vie générique à ce monde de la végétation, alors vous y entendrez les arbres gémir sous la bise qui doit les dissoudre, les oiseaux qui appellent leurs petits et crient.-

Théodore Rousseau
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À propos du tableau " Racines, Auvers-sur- Oise, juillet 1890- Van Gogh Museum Amsterdam

Selon Wouter Van der Veen, directeur de l'Institut Van Gogh à Amsterdam, la complexité des " Racines" prouve que le suicide de l'artiste ne fait pas suite à une crise de démence " Vincent Van Gogh réfléchissait longtemps à ses toiles.Pour faire un tableau avec une composition si complexe, il faut avoir toute sa tête. (...)Son geste ultime(son suicide) a été commis de manière consciente et lucide."
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Pour rendre l’art accessible à tous, il lui fallait une adresse : yourart.art
Open your art : YourArt est un espace d’ouverture à tous les artistes, toutes les œuvres physiques ou digitales ; un rendez-vous d’exposition, d’acquisition, d’expression et de culture ; la plateforme numérique où tous les artistes s’ouvrent à tous les publics.
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Avertissement préalable : on ne trouvera ici aucun détail sur la vie intime du Caravage, aucune anecdote croustillante sur Rosa Bonheur, aucune révélation sur Léonard de Vinci. rien ou quasiment rien sur les inclinaisons sexuelles de tel ou telle artiste. Mieux vaut sortir du placard les véritables agents subversifs, les images elles-mêmes, plutôt que d'entamer un outing (de l'anglais to out: dévoiler) d'artistes disparus.

(p. 96)
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La fée électricité a révolutionné l'art et le design depuis la seconde moitié du XX ème siècle. L'éclairage artificiel s'est substitué au clair-obscur. Cette lumière est source d'inspiration.
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Bienheureux Gustave Courbet qui, lorsqu'il peignit Un enterrement à Ornans (1849-1850) [ill. p. 46], n'eut pas à affronter, et pour cause, la lancinante citation du chacun aura son quart d'heure de gloire, prononcée par Warhol plus d'un siècle plus tard - et pourtant !

(p. 44)
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Kazimir Malevitch, le maître carré : L'artiste russe (1878-1935) a marqué l'histoire de l'art moderne occidental avec son Carré noir et sa théorie du suprématisme, système de monde sans objets, mais son œuvre est restée par certains côtés mystérieuse.

(p. 52)
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En marge du film Liberté-Oléron :

N'empêche, même dans les baisses de rythme, même au creux de la vague, on se gondole de bon cœur. Voue la galère et vive Podalydès !

(p. 20)
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Une exposition exceptionnelle au centre Pompidou, à Paris, montre comment le maître du suspense a intégré dans ses films des pans entiers de l'histoire de l'art.
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Symbole de la nouvelle génération d'auteurs français de bandes dessinées, Lewis Trondheim est aussi le plus prolifique d'entre eux. À côté des séries populaires à succès Lapinot et Donjon, se cachent nombre de petits bijoux d'invention et de drôlerie.

(p. 36)
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