Ce recueil nous replonge dans une ancienne et célèbre saga du Tisseur de Toile : Et si le pire ennemi de Spidey découvrait son identité ? Et si le père du meilleur ami de Parker était un super-vilain ?
Le petit plus de Spider-Man a toujours été le lien puissant qui existe entre l'homme et le super-héros, entre leurs univers respectifs et conjugués. Peter Parker et l'Araignée ne sont pas deux personnalités distinctes, c'est toujours l'homme qui pense et vit au travers du masque de son alter-ego.
Ici, la Menace du Bouffon Vert en est une parfaite illustration. C'est au sein de ses proches que Spider-Man se sent en danger...
Comment mettre hors d'état de nuire le père de son colocataire ? Comment empêcher le Bouffon de révéler l'identité de Parker, notamment à la fragile Tante May ?
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Wolverine se retrouve embarqué dans une histoire plutôt intéressante au départ mais qui, malheureusement, sombre très vite dans des scènes de tortures n'apportant pas grand chose si ce n'est des hectolitres de sang (jusqu'à l'écoeurement...)
Par contre, on y trouve une galerie de personnages quasi oubliés des années 80-90 avec en tête de liste Madcap, le dingo qui a connu son heure de gloire avec Puissance 4 (Power Pack en VO)
Pour finir, les dessins de Juan Jose Ryp sont très précis et fouillés et conviennent parfaitement aux personnages et à l'intrigue.
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Bon, OK, le mini-crossover Daken/Franken-Castle vaut son pesant de cacahuètes : ça défouraille à qui mieux mieux, on y tranche, découpe, dépèce, démembre et étripe sans relâche, d'autant que le père Wolverine est de la partie. On ne peut pourtant pas s'empêcher de penser que ça se finit en eau de boudin, et c'est dommage. Après un intermède rigolo avec Deadpool, on passe ensuite à la fin de l'ère Franken-Castle, avec un épisode assez réussi signé Rick Remender et Dan Brereton aux pinceaux, jouissant d'un design fortment influencé par les publications de naguère consacrées aux monstres.
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La fin de l'arc Possession déçoit légèrement : la confrontation attendue est vite dégoupillée par une chute attendue. Mais l'ensemble reste impressionnant. C'est toujours Iron Man qui tient le haut du pavé, avec encore un épisode très dense et d'une incroyable maturité, même si on commence à ronger son frein en attendant la résolution.
Cruelle déception pour Cap' America avec une fin faussement chargée de mystères : on en attendait tellement plus. Quant aux FF, toujours aussi peu évident de se passionner, mais l'histoire à venir s'annonce plutôt trépidante.
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L'épisode précédent était décevant, et celui-ci commence tout aussi mal : poussif, convenu et peu intéressant, ne supportant pas la comparaison avec la mini-série (pourtant médiocre) de X-Men contre les Vampires. Puis cela s'améliore, avec un regard assez cinglant sur les origines du Mal et des retournements de situation enfin captivants - au point que le prochain numéro devrait valoir son pesant d'or.
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Si les Vengeurs secrets piétinent dans leur arc "Eyes of the dragon" qui n'avance pas, malgré une réalisation toujours soignée, on se contente de deux épisodes assez laids mais prenants et cyniques des Thunderbolts. Quant aux Secret Warriors, même s'ils sont toujours aussi confus, ils nous offrent un épisode intense doté d'une fin haletante.
Bref, un bon numéro.
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Alors que je le trouvais mal entamé, l'arc "Possession" réussit le tour de force de devenir haletant et passionnant. La faute à un Bendis en grande forme. Sinon, Iron Man tient toujours le haut du pavé, une histoire en béton, très moderne et aux dessins séduisants.
Brubaker mène sa barque classiquement sur Captain America : ça se laisse lire. Quant aux FF, on touche le fond et le ridicule n'est pas loin...
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Matt Fraction mène sa barque avec entrain et ne se prive jamais d'explorer les sensations et émotions des protagonistes. Ces nouveaux mutants promettent d'ailleurs beaucoup, car leur niveau de pouvoir et la manière dont ils les acquièrent sont différents. Et pour densifier un peu plus l'intrigue, on apprend qu'Emma Frost garde secrètement prisonnier l'immonde Sebastian Shaw. Quatre bons épisodes pour lesquels on retrouve avec une certaine joie Whilce Portaccio aux dessins.
A suivre.
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Avec des artistes comme Jorge Molina ou Humberto Ramos et des scénaristes du calibre de Jeff Parker et Kieron Gillen, on pouvait s'attendre à du lourd, d'autant qu'il s'agissait tout de même de duels apocalyptiques avec des super-héros surboostés mais à la personnalité altérée. Las ! Cela ressemble davantage à un vague prétexte, les combats n'ont jamais d'envergure tandis que les personnages passent leur temps à tenter de se rappeler qui ils sont. C'est parfois amusant, souvent délassant, mais assez vain.
Les épisodes avec Hulkpool sont assez ludiques et malins, puisqu'il voyage dans le temps et survient aux moments cruciaux qui ont créé les super-héros les plus célèbres (Hulk, les FF et Spider-Man).
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Un arc à mi-chemin entre "Days of future past" et "Terminator 2", plutôt dynamique mais sans grande originalité, nous dépeignant un énième futur dystopique où les héros ont été systématiquement exterminés grâce à un programme de cyborgs surentraînés. Wolverine n'y est qu'une péripétie et, malgré les coups de main appréciables de Steve Rogers et de Bucky Barnes (l'ancien et l'actuel Captain America), on s'ennuie un peu d'autant que la révélation finale était éventée depuis longtemps.
Passable.
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