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Critiques de Alex Aster (147)
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Lightlark, tome 1

J'avais Lightlark dans ma pile à lire depuis un petit moment déjà. Je n'avais pas résisté à l'édition collector, mais une fois reçu, je ne me suis pas jetée dessus... Problème de lecteur, bonjour ! Et puis je me suis dit qu'il était quand même temps de se lancer. J'ai d'abord eu un peu peur, car je trouvais que l'intrigue avait des similitudes avec pas mal de romans récemment sortis... et puis, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire. Il m'a bien fallu la moitié de ce tome un pour vraiment m'y plonger et y trouver un réel intérêt. Mais une fois ce cap passé, je n'ai pas pu lâcher le roman. Comme quoi, des fois, la persévérance paye bien.



Je ne vais pas vous mentir Lightlark a ses petits défauts. Beaucoup de longueurs avec de nombreuses répétitions, une mise en bouche un peu trop longue, des personnages assez survolés mis à part notre héroïne et une utilisation de la trahison bien trop répétitive. Il y a aussi un petit manque de profondeur dans les personnages secondaires et un peu trop de testostérone. Je n'ai rien contre les grands ténébreux ou les ours mal-léchés mais un petit peu de sororité, cela ne fait pas de mal surtout quand on nous vend une héroïne qui peut se sauver elle-même et qui joue malheureusement trop souvent les demoiselles en détresse contre son gré (j'entends par là qu'elle est régulièrement sauvée par autrui... autrui étant suspens... des hommes 😉 ). Néanmoins, comme je le disais dans mon introduction, une fois la moitié du roman passé, je me suis prise au jeu et les petits défauts par-ci par-là ont été atténué par une intrigue bien plus prenante où on sentait vraiment l'urgence nous prendre à la gorge.



J'ai dévoré la seconde moitié de Lightlark alors que j'avais peur de faire trainer ma lecture. Du moment où Isla décide de vraiment prendre les choses en main et que les pions sont mis en place, les choses sérieuses commencent et au fil des révélations, il était d'autant plus facile de tourner les pages. Isla se montrant autant combative que très naïve, laissant libre court à ses émotions, elle est rapidement attachante. On sent combien elle a à coeur de sauver son peuple, mais pas seulement. Malgré son isolement, elle a une grande empathie, sans pour autant s'effacer. Elle se bat aussi pour elle. Si en face d'elle, Grim et Oro donnent bien le change, mais préférence à reste notre héroïne. Franchement, arrivé à un moment de l'histoire, et le triangle amoureux que l'on voyait dès le départ se mettre doucement en place, je me disais qu'elle pouvait très bien finir avec l'un comme l'autre, cela me convenait. C'est assez rare pour être souligné, j'ai toujours un préféré. Moins sur la fin du roman, je l'avoue, certaines révélations montrant une psychologie bien trop toxique pour l'un des deux... mais cela arrive à la toute fin. J'ai lu que certains étaient désappointés par la romance, pour ma part, j'ai trouvé que le triangle était pourtant très bien traité. Là encore, je m'en étonne moi-même.



La romance n'étouffant d'ailleurs pas l'intrigue. Bien que l'on est déjà vu et revu cette trame de personnages se battant les uns contre les autres, j'ai trouvé que l'histoire de Lightlark, les malédictions, la magie et le monde en lui-même étaient très réussis. Il y a de vrais enjeux, une partie d'enquête avec son lot de révélations et d'intrigues politiques, un tout petit peu de philosophie, des personnages bien vicieux à souhait et une découverte globale intéressante. Peut-être trop de petites choses trop évidentes par contre. Cela ne gâche pas la lecture mais... Il y a notamment une trahison que j'avais vu à trois millions de kilomètres... Je ne sais pas pourquoi, peut-être que je ne sentais pas le personnage ou que des indices subliminaux me lançaient des "attentions", mais j'avais hâte que ce secret éclate enfin pour que l'on puisse passer à autre chose. Surtout que cela mettait bien en avant un "défaut" d'Isla. Sa naïveté. Ses deux tutrices l'ont préparé à beaucoup de choses, notamment l'art du combat, de la résistance à la douleur, l'endurance, le charme, les intrigues... mais en ce qui concerne les relations humaines... il y a des grosses lacunes. Et c'était original de voir une héroïne aussi forte, et en même temps fragile à cause de son isolement forcé. Elle apprend sur le tas et pas de la plus tendre des façons...



La fin est assez épique comme on pouvait s'en douter. Je n'avais pas trop de crainte, notamment parce qu'il y avait une suite de prévue, mais les émotions étaient là. Si certaines révélations ont été une grande surprise, j'ai moins aimé la découverte de la vraie personnalité d'un personnage. Je m'attendais à mieux... car on tombe dans le stéréotype qui ne me plait pas du tout et je comprends maintenant les remarques d'autres lecteurs comparant Lightlark à ACOTAR. Là-dessus, je suis clairement dessus, et j'ai peu d'espoir pour la suite malheureusement... C'est en soi un petit détail, mais il restera vraiment cette grosse déception du tome.



Une histoire qui a du mal à démarrer, un peu trop de répétition, mais au final, l'intrigue finit par être vraiment prenante. Je vois déjà certaines choses se profiler pour la suite, et j'espère qu'elles se réaliseront. Je suis intriguée, mais aussi méfiante. Croisons les doigts.

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Lightlark, tome 1

Si vous me lisez régulièrement, vous avez déjà pu constater mon amour des beaux livres et vous avez probablement compris que je suis complètement sous le charme de cette belle édition collector proposée par les éditions Lumen : une couverture bleue avec des effets argentés, de magnifiques pages de garde, un jaspage à se damner qui représente à merveille l’univers…



Du très beau travail à la hauteur de l’intrigue développée sur 600 pages par Alex Aster. L’autrice nous offre ainsi une lecture entraînante reprenant certains codes du YA sans néanmoins que cela soit gênant, même si j’aurais apprécié un peu plus de profondeur et de force dans l’écriture. Ce manque d’envergure, qui donne le sentiment que tout le potentiel du roman n’a pas été suffisamment exploité, ne nuit en rien au plaisir que l’on prend à faire défiler les pages, l’autrice compensant cette relative simplicité de plume par une histoire menée tambour battant.



Une histoire qui nous plonge sur une île maudite, Lightlark, qui apparaît tous les cent ans à l’occasion d’une compétition entre les six souverains des six royaumes, le Centennal. Une compétition dont l’enjeu est de taille : briser une terrible malédiction qui prend une forme différente pour chaque royaume, avant de décider quel peuple sacrifier pour sauver les cinq autres. Une compétition pour laquelle Isla a été préparée toute sa vie, cette dernière, privée de liberté, ayant été élevée dans l’optique de se sacrifier et de sauver son peuple. Malgré son secret qui la pénalise par rapport aux autres participants, la jeune souveraine fait montre d’un courage hors norme et d’un esprit de guerrière, à l’image de son peuple, du moins avant que ne le frappe la malédiction.



Isla a une mission, par forcément celle prévue par les deux gardiennes qui l’ont élevée, et elle est bien déterminée à l’accomplir ! Néanmoins, au gré des liens qu’elle crée et des événements, elle réalisera que ce qu’elle pensait désirer plus que tout n’est finalement plus ce dont elle a besoin et envie. Je n’en dirai pas plus si ce n’est que je me suis très vite attachée à cette héroïne, que j’ai néanmoins trouvée parfois assez naïve, ce qui s’explique par son éducation qui l’a privée de vraies relations sur lesquelles s’appuyer pour développer son intelligence sociale. Il y a ainsi des choses qui nous apparaissent évidentes et à côté desquelles elle passera sans se méfier, suscitant chez le lecteur une certaine frustration. Frustration que j’ai également ressentie devant l’émergence d’un triangle amoureux, mais je ne suis guère objective détestant purement et simplement ce schéma.



J’ai, en outre, été perplexe devant certains sentiments. Certains semblent sortir de nulle part, ce qui m’a donné l’impression que l’amitié était confondue avec le sentiment amoureux. À moins que cet amour ne soit le résultat de la rencontre entre deux solitudes plutôt qu’entre deux coeurs. Quant à une certaine relation, je l’ai trouvée bien trop rapide, au vu du manque d’interactions significatives, même si j’en ai rapidement compris la légitime raison. Mais je l’ai surtout trouvée déstabilisante par les émotions qu’elle a éveillées en moi : même si je l’ai trouvée difficile à croire, elle a réussi à faire battre mon coeur, avant de me le briser. Et je n’aime pas avoir le coeur brisé ! Je pense que si j’avais découvert la fin avant de lire ce premier tome, j’aurais attendu la parution du deuxième pour les enchaîner, en croisant fortement les doigts pour que les choses évoluent comme je le souhaite.



Mais je vous rassure, la romance n’est clairement pas au centre de ce premier tome riche et complexe qui joue sur les apparences, les (mes)alliances, les trahisons, les secrets, les mensonges par omission et ceux plus difficiles à pardonner, les dilemmes moraux poussant parfois à prendre des décisions difficiles pour le bien du plus grand nombre. Il est aussi question d’amour, d’amitié, de vengeance, de confiance en soi et en les autres, d’apprentissage de la liberté et de ses limites, de malédiction, d’un archipel et d’une île qui exerce une étrange attraction sur les lecteurs, captifs de ses recoins, de ses dangers et de son relief. Alex Aster a développé, page après page, un cadre impitoyable et fascinant qui n’est malheureusement pas totalement exploité. On en a une photo générale, avec un focus sur certains endroits, mais j’aurais tellement aimé explorer les six royaumes en long et en large, et en découvrir tous les secrets. Mais cela en aurait peut-être réduit le charme et le côté obscur du roman, qui nous pousse à nous tenir constamment sur le qui-vive…



À défaut de cette immersion totale, l’autrice veille néanmoins, et plutôt finement, à permettre aux lecteurs de saisir les particularités de chaque peuple et de découvrir les pouvoirs des six souverains. Des pouvoirs impressionnants dont on a du mal à saisir les limites mais dont on comprend la puissance. J’ai, pour ma part, adoré cet étalage de pouvoirs, certains m’ayant fascinée, d’autres laissant entrevoir un terrifiant champ des possibles. Des pouvoirs qui seront déployés durant le Centennal, compétition dangereuse qui va rythmer le roman, et qui va pousser Isla dans ses retranchements, la conduisant sur le chemin d’une vérité qui dépassera tout ce qu’elle avait imaginé. J’ai aimé la voir lutter pour survivre d’autant que cela va lui permettre de mettre en œuvre tout ce qu’elle a appris sa vie durant, et nous permettre de réaliser pleinement la force de sa détermination. Je regrette juste quelques incohérences, l’autrice se contredisant sur les capacités de stratège de son héroïne. Mais rien de bien méchant, puisque Isla nous prouvera que même dans les pires épreuves, elle possède une belle capacité de résilience, lui permettant d’avancer malgré les blessures physiques et mentales, les doutes, les trahisons et autres désillusions.



Quant aux autres personnages, ils sont intéressants par cet équilibre de la terreur qu’ils instaurent, mais ils collent un peu trop à mon goût à certains stéréotypes : le roi ténébreux et attirant, le roi cruel (mais pas vraiment) et froid (mais pas tant que ça), la peste qui se prend directement d’inimitié pour Isla, la servante alliée… Un personnage sort du lot, mais il n’est malheureusement pas assez développé pour compenser une galerie de personnages hétéroclite qui fonctionne très bien, mais pour laquelle l’autrice n’a pris aucun risque. Cela ne m’a pas gênée outre mesure, complètement immergée dans l’histoire et saisie par l’angoisse qui va crescendo à mesure que la fin du Centennal approche, et que ses enjeux se rappellent pleinement à nous. J’espère néanmoins que l’autrice prenne, par la suite, assez confiance en son écriture et en son imaginaire pour approfondir son univers et étoffer la psychologie de ses personnages.



En conclusion, Lighlark, après m’avoir enchantée par la beauté de son écrin, m’a conquise par le fond de son histoire. D’une plume simple et immersive, Alex Aster développe dans ce roman de 600 pages, d’une agréable fluidité, un univers fort, complexe, riche, fascinant et mouvant, dont les recoins regorgent de dangers et de mystères à élucider. Tissant sa toile autour des lecteurs, elle nous propose ici plus qu’une malédiction à briser et une compétition à remporter, elle nous offre une histoire d’émancipation, celle d’une héroïne qui va grandir au fil d’une compétition acharnée et apprendre à choisir ses propres combats, quitte à se briser les ailes. Les amateurs de romans de fantasy YA menés tambour battant qui regorgent d’action, de mystère, de relations dont il est parfois difficile de mesurer la sincérité, de retournements de situation, et de moments volés au nez du danger, devraient se laisser emporter par cette lecture.
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Lightlark, tome 1

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Lightlark, tome 1

❤❤𧙌oup de Cœur ❤❤❤



Depuis le temps qu'il me faisait envie, avec tout cet engouement sur BookTok, je l'ai enfin dévoré.



Oui, c'est le mot, car malgré ces 600 pages (qui peuvent freiner, faut ce le dire) le livre se lit extrêmement vite et bien.



La plume d'Alex Aster est simple et sans prise de tête. J'ai beaucoup aimé sa façon de positionner le lecteur, cela nous permet de nous retrouver en plein Centennale à Lightlark au côté d'Isla et des autres souverains.



J'ai adoré retrouver ce petit côté Hunger Game à l'époque des souverains avec cette touche de pouvoir, de compétition et de magie 😊

Entre les personnages, les îles, les quêtes et ce fameux retournement de situation à la fin, ce livre mérite vraiment ses 5 étoiles 🌟🌟🌟🌟🌟



Si j'ai bien un petit conseil, ne vous fier pas au 100 première pages car on peux se faire une mauvaise idée et abandonner la lecture. Il faut forcer un peu et vous verrez que l'île de Lightlark en vaut la peine.



Vraiment un beau coup de cœur ❤❤❤ j'ai vraiment apprécié ma lecture du début à la fin. Une fois le livre fini, on n'a qu'une envie, c'est retourner auprès de nos personnages chouchou.

Pour ma part, c'est Isla 😊 j'ai adoré sa personnalité, son humour et surtout sa simplicité.



Vivement le tome 2 😜😜😜😜😜
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Lightlark, tome 1

Je suis faible devant les beaux objets et je dois dire que Lumen a mis le paquet ici dans la sortie de ce premier tome signe Alex Aster, autrice découverte sur le net, qui offre là le premier tome d'une saga jeunesse qui fait parler d'elle sur les réseaux. Mais le texte est-il à la hauteur du buzz et de l'objet ? Je suis un peu mitigée de ce côté-là...





L'histoire se voulait séduisante. Un petit zeste d'Hunger Games dans un univers de fantasy. Beaucoup de mystères dans un battle royal entre têtes couronnées dotées de pouvoirs surnaturels cliquant ou secret. Un univers ancien, mystérieux, aux paysages changeants et fascinants comme le montre la si belle couverture de l'édition reliée et surtout ses tranches et dos. Et une héroïne au fort caractère cachant à merveille ses faiblesses et s'embarquant dans une quête à la recherche d'une solution pour sauver son royaume, ses amis et percer la vérité. Sur le papier, cela avant donc de sérieux atouts pour me plaire.



L'histoire en plus se lit d'une traite. On se plaît à suivre les méandres de l'histoire, à deviner les rebondissements, certes faciles à deviner, mais qui font bien leur job. Si on est un peu fleur bleu, on s'amuse des rapprochements de l'héroïne avec deux autres participants et on voit vite se dessiner un triangle amoureux intéressant qui réservera bien des surprises. Si on aime les histoires d'amitié, on se plaira à voir cette valeur portée aux nues. A nouveau, l'autrice sait manier les topos qui plaisent aux lecteurs de ce type d'aventure.



Et pourtant cela ne l'a pas fait avec moi. Pourquoi ? Parce que l'écriture de l'autrice est terriblement plate et fade, pour ne pas dire maladroite et pas assez travaillée. Elle accumule les clichés du genre dans la moindre nuance en plus, reprenant ce qui a marché à droite à gauche pour les coller dans son histoire sans que cela fasse sens parfois car l'ensemble manque de liant. On dirait qu'elle juxtapose des scènes, des idées, comme elles lui viennent. Mais qu'on soit clair, ce n'est pas tant à elle que je fais ces reproches qu'à l'équipe éditoriale, qui pour moi n'a pas assez suivi l'autrice pour polir son texte et le rendre présentable aux lecteurs. Quand je vois ce qu'Eleonore Devillepoix est capable de composer, pour la même tranche d'âge et la même gamme d'histoire, en élaborant des descriptions magiques de la ville-personnage de son histoire, je suis terriblement déçue qu'il n'en soit pas de même ici, car potentiel il y a !



J'ai aimé suivre un événement organisé pour éliminer une des têtes couronnées du royaume afin de sauver celui-ci du désastre soi-disant pour suivre une mystère et opaque prophétie. C'était plaisant de voir l'héroïne nouer et dénouer des alliances, partir en quête d'un artefact pour briser les liens des rois/reines avec la malédiction, et en apprendre plus sur le coeur de son royaume et ce qui le faisait vivre et vibrer, en apprenant plus sur elle-même à l'occasion. Ces idées sont bonnes.



Malheureusement, je n'ai pas réussi une seule fois à faire abstraction de cette écriture bancale, de cette narration maladroite, de cette avancée très clichée de l'histoire. J'ai fini par être horripilée par les multiples rebondissements sans queue ni tête de l'intrigue et les idées sortant de nulle part. L'univers est volontairement flou mais à un point où parfois on se demande pourquoi et où elle veut en venir. On ne nous dit pas vraiment le sens de ce qui se déroule sous nos yeux, alors que c'est la base. On ne nous présente pas assez la genèse et la mythologie de cet univers. On est censé accepté tel quel ce vide scénaristique et se pâmer devant une héroïne qui se démène un peu pour son peuple et ses amis, tout en séduisant les garçons à sa portée, et en cachant le "lourd" secret de son impuissance. Non. C'est basique et sans saveur.



Je vais être un peu dure, mais je suis déçue qu'avec un tel potentiel et un si bel objet - ça joue énormément pour moi - l'autrice ait accouché d'une telle histoire. Même les romances, moi qui en suis amatrice, m'ont semblé terriblement mal écrites et vues et revues, donc fades ici. Je trouve totalement illogique la façon dont ça se déroule et il n'y a aucun creusement des personnages à mon sens tout au long de l'histoire. Ils sont monolithiques dans les rôles qu'on leur a défini au début. J'ai vu passer des comparaisons avec Hunger Games ou ACOTAR, on est terriblement loin de ces titres originaux et puissants en leur temps. Ici, le titre est plus beau que bon. 



Chronique d'une déception non annoncée. Je me suis jetée sur cette sortie devant la beauté de l'édition. Je ressors déçue par un texte mal travaillé qui ne tient pas ses promesses. Clichés trop nombreux, narration maladroite, personnages non approfondis, rebondissements prévisibles et parfois sans queue ni tête, romances ratées, c'est trop malgré un univers au potentiel évident. Je ne pense pas lire la suite.
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Lightlark, tome 1

"Lightlark" est une des sorties que j'attendais le plus, un univers à la Hunger Games mixé avec de la romantasy.. j'ai tout de suite dit oui ! Et puis je me suis lancée dedans et j'en ressors quelque peu mitigée.



J'ai bien aimé dans l'ensemble mais j'ai trouvé quelques points faibles qui m'ont vraiment dérangée par moments.



Commençons par le positif. Le positif pour moi c'est clairement notre héroïne. J'ai beaucoup aimé son caractère, son envie de prouver qu'elle est capable, sa fragilité et sa douceur qui, si tu la défie, peut devenir aussi dure et insensible que la réputation de son peuple.

Je l'ai vraiment bien aimé, elle est fidèle et aimante, et elle ne souhaite que survivre et être libre.



j'ai aimé également qu'on soit dans un ennemies to lovers, clairement la tension entre Isla et Grimm est quand même là bien que ce ne soit pas forcément aussi bien maitrisé que je l'espérais, l'interaction entre nos personnages est fluide et m'a plutôt bien plu.



Néanmoins ce bouquin à quand même de grosses faiblesses.

Tout d'abord l'univers. Il se veut riche et complexe et malheureusement les explications sont parfois laborieuses, on a dut mal à bien se représenter qui à fait quoi, pourquoi ce centennal. Tout ce pan avec la malédiction et L'ile de Lightlark en elle-même m'a parfois perdue. Je lisais mais parfois ce n'était vraiment pas clair. Ce qui est dommage car tout le bouquin se concentre sur ces 100 jours de cohabitation et pour moi l'autrice à un peu trop bâclé son univers.



Autre point aussi qui m'a parfois un peu lassé, c'est qu'il y a beaucoup de longueurs et de répétitions. Il aurait clairement pu faire 100 pages de moins. Au bout d'un moment c'était très répétitif dans l'intrigue et ça cassait complètement le rythme qui aurait pu être effréné. Je rappelle qu'à la fin du Centennal, un des rois et des reines doit mourir. Ca manquait clairement de rythme pour moi et ça m'a un peu fait décroché par moments.



La fin est par contre très chouette. Beaucoup de révélations, de revirements de situation, on est comme notre héroïne complètement sous le choc de ce qu'on apprend.



En bref, une lecture plutôt sympa dans son ensemble, qui se veut comparée à du Hunger Games ou du Sarah J. Maas, mais qui malheureusement manque d'une explication solide de l'univers et d'un rythme plus égal. J'ai quand même bien aimé ma lecture ça reste chouette !




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Lightlark, tome 1

Après les bébés Twilight dans les années 2000 puis les bébés Hunger Games de la décennie 2010, voici la fournée des bébés ACOTAR. Si vous suivez l'actualité éditoriale young adult, vous remarquerez que les éditeurs surfent en ce moment sur la vague « jeunes gens qui affrontent leur destinée dans un monde de fantasy ». Je suis loin de me plaindre de cette foison de sorties étant donné que c'est mon genre de prédilection depuis toujours. Mais voilà, comme dans tout phénomène de mode, il y a du bon et du moins bon. Alors, où se situe Lightlark sur cette échelle ?



Franchement, au début je l'aurais placé dans le moins bon tant l'autrice a, selon moi, très mal géré ses chapitres d'exposition. Elle a choisi de construire un univers riche en peuples, en pouvoirs et en malédictions. Soit, mais il faut donc parvenir à présenter tout cela au lecteur de manière fluide et naturelle. Et c'est là que le bât blesse, tant la présentation est laborieuse. On nous bombarde d'info qu'il faut réussir à assimiler. Comme dans tout bon roman de fantasy, me direz-vous ? Certes, mais dans la majorité de ces oeuvres, on ne nous présente pas un fait comme une vérité absolue pour nous « révéler » le contraire trois chapitres après. C'est extrêmement déstabilisant et cela dessert le récit car on a tendance à se mélanger les pinceaux. Et comme j'ai lu ce texte en numérique, support que j'ai encore du mal à apprivoiser et à apprécier, je n'ai pas pris le temps de vérifier si, au final, tout ce qui nous était raconté était cohérent ou pas.



Des débuts extrêmement peu prometteurs donc, d'autant plus que les personnages et les relations présentés sont un archétype du genre : l'héroïne altruiste qui se bat pour les autres, qui frôle la mort toutes les 10 pages, qui souffre plus que de raisons lors des différentes épreuves mais qui s'en sort à chaque fois – cette tendance à l'emphase et à l'hyperbole m'a quelque peu agacée dans le roman- ; le beau gosse ténébreux, séducteur et dangereux qui cache de sombres secrets ; la souveraine garce qui déteste d'emblée Isla ; l'autre beau gosse taiseux qui semble mépriser Isla ; le roi qui a l'air sympa mais qui n'est là que pour faire tapisserie ; la meilleure amie à qui on peut faire confiance et avec qui on fomente des plans ; et bien sûr une pointe de romance qui va compliquer les choses étant donné que notre héroïne de 17 ans fera craquer les deux beaux rois âgés de plus de 500 ans.



Bref, rien de nouveau, juste ce qu'il faut pour créer des tropes vieux comme le monde -le triangle amoureux, les complots et les trahisons- mais qui se révèlent toujours aussi efficaces.



Alors pourquoi une note loin d'être catastrophique ? Et bien tout simplement parce que malgré toutes ces faiblesses relevées, je me suis laissée prendre au jeu et que j'ai apprécié ma lecture au fur et à mesure que l'histoire se développait. Et au final, ce n'est vraiment pas mal comme divertissement pur. J'ai donc décidé de noter ce roman pour ce qu'il est : une fantasy sympa, qui ne cherche pas à révolutionner le genre, mais qui est dynamique et prenante grâce aux jeux de pouvoir qui se déroulent sous nos yeux. Elle ne prétend pas être plus que cela et je pense qu'il faut bien le garder en tête.

Par contre, je regrette toujours les faiblesses relatives à la présentation de l'univers, l'autrice proposant des chapitres d'exposition un peu brouillons qui rendent difficile la compréhension des subtilités de son univers. Il en est de même pour le récit des quêtes qui émaillent le récit. Tout semble un peu trop cousu de fil blanc. Autant de petits détails qui, mis bout à bout, m'empêchent de mieux noter le roman.



Alors, au final, qu'est-ce que j'en pense de Lighlark ? Est-ce le roman qui va laisser son empreinte dans le genre de la fantasy jeune adulte ? Peut-être car les retournements de situation et le triangle amoureux peuvent plaire aux ados en quête de surprise (car, oui, je l'avoue, je ne sais pas trop quelle sera l'issue de la romance et je trouve que cette absence de certitude sert le récit). Je ne doute donc pas que ce roman trouvera son public car les ingrédients sont là pour passionner le lecteur. Et même moi, qui ai soulevé des faiblesses et n'ai pas été à 100 % conquise, je suis quand même curieuse de connaître la suite.



Merci aux éditions Lumen et à Netgalley de m'avoir permis de découvrir cette histoire.
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Lightlark, tome 1

Une déception...

Des longueurs, des longueurs et des longueurs....

De l'ennui, de l'ennui et de l'ennui.......

Je suis déçu, je pensais qu'il y allait avoir plus de mouvements, de rebondissements, bref de l'aventure.

Mais vous l'aurez compris pour moi c'était le néant...
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Lightlark, tome 1

Ce livre a été, pour moi, la plus belle révélation de cette année ! Je ne vais pas tourner autour du pot, c’est un coup de cœur monumental. Nous y vivons tellement d’événements, de retournements de situation et d’émotions fortes et variées durant cette aventure livresque que nous finissons souvent au bord du supplice. Tout est présent, des personnages charismatiques et des décors fabuleux décrits à la perfection. La plume de l’auteure est un délice pour les yeux et l’esprit qu’elle parvient à mettre souvent à ébullition. Isla est fantastique, je l’ai adoré tout du long dans sa manière d’être forte, impulsive, soucieuse et déterminée. Elle pense ne rien avoir, alors qu’en vérité elle a tout pour parvenir à son but. C’était époustouflant, j’en veux encore PLUS ! J’espère que la suite de cette saga verra bientôt le jour.
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Lightlark, tome 1

Je pensais lire un récit trépidant, empli de complots et de trahisons … Que nenni ! La découverte de l’univers se fait … pas non en fait elle ne se fait pas on arrive comme un cheveu sur la soupe.

L’intrigue est sur le papier sympa mais son développement m’a paru bancal. J’ai songé abandonner et puis il faut reconnaître que je voulais savoir le pourquoi du comment … donc finalement je me suis laissée prendre au jeu.

Seules les 150 dernières pages m’ont vraiment plu. Le reste ? Bof.
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Lightlark, tome 2 : Nightbane

Si la fin du tome 1 m’avais plutôt séduite, je dois dire que la suite est clairement en dessous de mes attentes.

585 pages d’ennui total. On suit les 2 protagonistes principaux au travers d’oscillations passé/présent qui n’apportent au final … rien. On n’apprend pas grand-chose. Heureusement c’est écrit gros et ça se lit vite ! Je conseille de s’arrêter au premier, c’est déjà assez comme ça …
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Lightlark, tome 1

L’univers est bien intéressant avec ces différents clans : nocturnes, célestes, sauvages, … et qui vivent chacun une malédiction en lien avec leurs dons et capacités. C’est juste parfois un peu complexe de resituer chacune quand on en parle. J’ai adoré les découvrir une par une et comprendre comment fonctionnait chaque souverain. Au fur et à mesure de l’histoire, j’essayais de comprendre comment et par qui avait pu être lancé la malédiction et je me suis fait plein de noeuds au cerveau. Je changeais constamment d’avis et ne savait plus à qui faire confiance. Et l’histoire m’a bien montré que je n’étais pas du tout prête de comprendre par moi-même, même si j’avais quand même de gros gros doutes sur cette personne depuis le début mais il y avait des éléments qui coinçaient.



J’ai trouvé Isla est touchante, elle n’a aucun pouvoir, a subi toute sa vie et pourtant n’abandonne pas et décide de tenir tête face aux autres souverains. J’ai adoré suivre ce personnage mais elle m’a encore plus perdue avec ses réflexions et ses pensées pour deviner la malédiction. Il y a une petite part de romance mais je l’ai trouvé assez bien intégrée au récit et elle ne prend pas le pas sur l’histoire, à voir quand même dans le tome 2 bien sûr.



Le rythme n’est pas tout à fait fluide. Il y a des périodes plus mouvementées et puis d’autres beaucoup plus calmes. C’est vers le milieu du récit où je trouve que ça stagne un peu. Les descriptions sont très bien faites et pendant toute l’histoire j’avais vraiment l’impression d’y être surtout pour les passages dans la nature. L’histoire se lit très facilement et rapidement. Difficile de le lâcher et on a envie d’en savoir plus. J’ai vraiment beaucoup aimé cette histoire et les personnages, j’ai hâte de lire la suite !
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Lightlark, tome 1

Résumé : Nous sommes transportés dans un univers fantastique où une île réapparaît tous les cent ans pour accueillir une compétition meurtrière. Cette compétition est la seule et unique chance pour les souverains des six royaumes voisins de briser la malédiction qui les affecte depuis près de cinq siècles. Cependant, pour briser la malédiction, il faut que l'un des participants meure. La reine Isla Calys, doit mentir, tricher, tromper et trahir pour survivre, y compris quand l'amour finit par entrer en jeu.



Points positifs :



L'idée de base de ce roman est très intéressante et avait beaucoup de potentiel, tout comme l'univers et les personnages. L'auteure a réussi à créer un univers fascinant et à donner vie à des personnages qui ont chacun leur propre histoire. Les descriptions de ceux-ci sont particulièrement réussies notamment je pense à Oro, le haut-roi.





Cependant,



il y a malheureusement beaucoup d'incohérences dans l'histoire. Certaines choses ne sont pas suffisamment expliquées, l'histoire manque donc de cohérence par moments. En outre, le thème de la compétition meurtrière est quelque peu sous-exploité, car malgré l'importance de la mort d'un participant pour briser la malédiction, il ne se passe pas grand-chose à ce niveau-là. J’avais aussi la sensation de beaucoup de répétitions.



Parlons du personnage d’Isla, celle-ci semble très superficielle car on nous décrit jusqu’à ses ongles manucurés. Pour ne rien vous cacher je suis plutôt mitigé sur la fin, même si je suis assez satisfaite de son choix.



En fin de compte, "Lightlark" est un roman qui avait beaucoup de potentiel mais qui ne parvient pas à convaincre complètement. Malgré un univers fascinant, le manque d'exploitation de certains thèmes laisse un goût de déception. Néanmoins, pour les amateurs de fantasy, ce roman pourrait être une lecture intéressante et divertissante.

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Lightlark, tome 1

Lightlark est une île qui n’est accessible que pendant 100 jours tous les 100 ans. C’est aussi un endroit touché par une terrible malédiction et le centre d’une compétition entre souverains : l’un d’eux doit y mourir…



Comme d’autres lecteurs je visualisais une sorte de “battle royal” ou “Hunger games” sur l’île de Lightlark avec des souverains obligés de survivre dans la nature… ce genre de chose. Pas du tout (comme quoi nous sommes conditionnés par d’anciennes lectures.) L’enjeu est bien de ne pas être le souverain qui doit mourir mais les choses sont plus subtiles. Les rois et reines passent des épreuves, forment des alliances, prouvent leur utilité etc. L’enjeu est de venir à bout de la malédiction qui les touche tous. Un roman à l’univers intéressant qui aurait mérité d’être plus approfondi mais qui fonctionne très bien et donne envie de découvrir le second tome.



La malédiction de Lightlark

Tout l’enjeu du roman est là. Ce n’est pas le premier Centennal, il y en a eu d’autres, et à chaque fois les souverains ont échoué à briser la malédiction. Et cette dernière affecte à la fois leur peuple et l’île elle-même.

Comment se traduit la malédiction ? Les Sauvages, le peuple d’Isla, étaient proches de la nature, savaient l’embellir et en prendre soin. Dorénavant ils mangent des cœurs humains et sont condamnés à tuer la personne qu’ils aiment. Les Nocturnes ne peuvent plus sortir de nuit, les Stellaires ne dépassent plus les 25 ans etc.

Autrefois, au début de la malédiction, des souverains se sont sacrifiés pour obtenir une prophétie qui explique aux générations futures comment vaincre la malédiction. Ce Centennal sera sans doute leur dernière chance.



Le conseil de la bibliothécaire : “Lightlark” est classé en roman adolescent car il s’agit d’un young adult. Je le conseillerai donc pour de grands ados (après 14 ans) et pour les adultes. Si vous avez aimé des romans comme ceux de Sarah J. Maas, Brigid Kemmerer etc. vous pourrez aimer.
Lien : https://journaldunebibliothe..
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Lightlark, tome 1

En lisant Lightlark je m'attendais à un Hunger Games 2.0 mais finalement pas du tout. Le résumé pourrait y faire penser mais ça s'arrête là. Lightlark est une histoire de Dark Fantasy autour de malédictions, de pouvoirs et d'enjeux politiques.



Même s'il y a un gros manque d'explications sur certains points, j'ai trouvé que le tout était incroyable ! L'univers m'a complètement happé mais c'est surtout les personnages qui m'ont tellement fait aimer cette histoire. Je les ai trouvé si intéressants, surtout Grim (mon chouchou 🖤). Ils ont tous une histoire fascinante, des personnalités bien à eux et des objectifs différents. J'espère retrouver ceux que j'ai particulièrement apprécié dans le tome 2 (il est prévu que ce soit une duologie).



Il y a des moments un peu moins captivants vers le milieu du roman mais sur 600 pages c'était prévisible. Ça ne dure pas bien longtemps car des révélations arrivent en masse et m'ont laissé complètement sans voix. Plein d'événements sont tellement innatendus, j'adore être surprise pendant mes lectures et là ce fut le cas tout le long !



Dans l'ensemble, Lightlark m'a vraiment plu ! J'y ai retrouvé plein d'éléments que j'aime retrouver dans des histoires fantasy, certains peuvent être un peu clichés mais j'ai trouvé que ça fonctionnait super bien avec ce roman !



Si vous avez envie de vous évader dans un univers complètement captivant avec des personnages passionnants, je vous conseille de visiter Lightlark, la ville qui n'apparaît que tous les 100 ans.
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Lightlark, tome 2 : Nightbane

Pendant le début de ma lecture, j’avais eu un peu de mal à me souvenir des événements du précédent livre. Mais, très rapidement, l’essentiel m’est revenu. Je me suis souvenue des points culminants et des questions restaient sans réponses.



Je me suis mise à lire de manière compulsive les chapitres de ce livre sans réellement avoir conscience d’être totalement absorbée par celui-ci. Cette histoire est totalement addictive avec ses rebondissements, la révélation des souvenirs oubliés d’Isla, sa palette d’émotions fortes et variées ainsi que ses pouvoirs sont décrits de façon magistral.



Ce second roman est encore plus complexe et profond que son prédécesseur, nous découvrons de nouvelles facettes totalement inattendues de nos protagonistes. D’autres font leur entrée dans le récit en nous éblouissants par leur caractère et leur capacité.



À la fin, c’est le choc qui nous englouti et nous laisse hors d’haleine en attendant de savoir ce qu’il va suivre. C’était tellement émouvant, intense et magique que j’en veux toujours plus !



L’écriture de l’auteure et l’univers qu’elle a su créer à partir de son imagination sont fatalement impressionnants et subjuguants, c’est un véritable don ! Pour ma part, c’est un coup de cœur livresque explosif.
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Lightlark, tome 1

Quelle belle surprise !

Même si le trope de la malédiction c'est du vu et revu, j'ai bien aimé ce à quoi elle est prétexte : trahisons et alliances, complots et intrigues politiques, enquêtes et secrets... d'autant plus qu'ici le fléau a tendance à se multiplier et ça c'est plutôt inédit. Cette magnifique petite brique de 600 pages se dévore tellement on veut connaître le fin mot de l'histoire, il s'agit d'un véritable page turner.

J'ai aimé le système de magie, plutôt original, complexe et intriguant, et le mystère qui entoure notre héroïne.

Le petit côté hunger games est selon moi sous exploité par contre, j'aurais aimé parfois un peu plus de noirceur dans l'arène qu'est cette contrée. Autre petit bémol pour la romance qui ne m'a moyennement convaincue, heureusement qu'elle est très en arrière plan. J'espère que le deuxième tome ne fera pas n'importe quoi dans les relations entre les personnages.

Cela dit, Lightlark est une bonne lecture que j'ai hâte de poursuivre, son côté roman d'aventure avec cette dernière moitié haletante (mon dieu cette fin !) compense largement les petites failles.

J'ai hate de lire la suite et je ne serai plus une petite lectrice naïve cette fois-ci ! Ayant beaucoup d'attentes, je reviendrai vous dire si je suis au final convaincue par cette duologie (?) très hypée, mais j'y crois fort, tous les mystères sont loin d'être levés...
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Lightlark, tome 1

Un roman incroyable, je ne pensais pas autant aimer 😊

En effet, c'est un vrai page-turner ce premier tome, je trouve. L'intrigue est prenante et bien rythmée. L'univers est très riche, complexe et bien développé. On découvre des magies diverses où chaque royaume a son propre pouvoir. On apprend qu’une certaine malédiction est à l'œuvre. Malédiction qui change d'un royaume à un autre. La plume est agréable à lire. Mensonges, trahisons, alliances, pouvoirs, magies, malédiction, romance slowburn. Une fin épique, inattendue et surprenante. J'ai adoré. Le suspense est là jusqu'à la dernière phrase. Hâte d'avoir la suite !

Les personnages sont énigmatiques et intrigants. Isla est une héroïne badass, forte, combative, courageuse qui fait tout pour sauver son peuple et protéger son secret. Grim, lui, est mystérieux, charismatique et sexy. Oui oui ! 😂 Oro, je l'ai aimé même s'il reste encore bien mystérieux. Je me suis posé beaucoup de questions sur lui. J'espère en savoir bien plus dans la suite 😁
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Lightlark, tome 1

⚡ Ce premier tome m’a à la fois plu mais m’a également laissé perplexe sur plusieurs points.

Nous suivons Isla, reine des sauvages qui doit se rendre au centennal pour espérer libérer son peuple de sa malédiction. Mais Isla est une reine particulière, elle n’a pas le pouvoir de son peuple et doit cacher cette faiblesse à tous pour éviter d’être celle qu’on éliminera pour libérer les peuples de la malédiction…

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🌹 J’ai beaucoup aimé ce premier tome car on se pose plein de questions. Quels roi et reine peuvent être des potentiels alliés, qui pourrait être pris pour cible et comment évoluera la quête d’Isla et de Céleste pour retrouver le Brise-lien ? Isla est également attachante même si elle parfois elle agît avant de réfléchir.

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⚡ L’aspect magique est très bien amené et j’avoue avoir adoré découvrir comment chaque peuple utilise ses pouvoirs. De plus chaque personne peut potentiellement avoir un talent en plus de son pouvoir, ce qui offre beaucoup de possibilités ! La malédiction, tournée sous forme d’énigme est très intrigante et nous pousse à cherche ce que chaque phrase pourrait signifier.

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🌹 Le seul point où j’ai eu plus de mal est comment évolue les différentes relations d’Isla…

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⚡*[SPOILER] J’avoue que jusque vers la fin j’aimais beaucoup la relation d’Isla avait avec Grim même si je trouvais que tout était allé un peu vite entre eux. Mais on a l’explication à la fin qu’ils se connaissaient déjà avant mais qu’Isla ne s’en souvenait pas. A côté on a sa relation très ambiguë avec Oro, on peut penser qu’ils vont s’aimer, puis non puis de nouveau oui. Et j’avoue que tous ces changements avec toutes les révélations sur la fin du livre m’ont un peu rendu perplexe. Je suis venue à me demander où l’auteur voulait en venir. Je me demande si Isla va nouer une relation avec Oro ou peut-être que dans la suite elle va se souvenir de sa relation avec Grim et lui pardonner. Ou encore est-ce que ce sera la guerre ? Je trouverais presque que tout est allé trop vite pour qu’on puisse vraiment se poser. Malgré ça j’ai hâte de découvrir la suite même si j’ai un peu peur d’en être déçu. [FIN DU SPOIL]*

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Ma note : 16/20 Un premier tome haut en couleur, ou chaque potentiel allié peut en fait cacher un menteur/tueur. Le suspense et les mystères sont omniprésents, rien n’est sur jusqu’au dernières pages, mais j’espère avoir encore quelques éclaircissements par la suite pour vraiment adorer cette saga.

#Frimousse
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Lightlark, tome 1

En à peine 50 pages, je savais d’emblée qu’il s’agissait d’une bonne lecture. L’autrice nous propose un univers plutôt complet, une palette de personnages plutôt intéressants et puissants (avec des dons que j’ai beaucoup aimé découvrir), le tout en entremêlant ingénieusement descriptions et actions. Sans s’en rendre compte, on dévore les 600 pages. Pour autant, quelques points sont à souligner et notamment le fait que certains éléments ne sont pas très originaux ; l'univers, la romance (triangle amoureux) ou certains traits inhérents aux personnages (hello le caractère versatile de l’héroïne !), peuvent relever de clichés. En revanche, ces parties sont contrebalancées par d’autres. Prenons le cas de la romance. Oui, certaines choses ne sont pas trop cohérentes et peuvent sembler trop rapidement mises en place. MAIS, cet arc narratif ne prend jamais le pas sur le reste de l’histoire et cela ne m’a pas empêché d’en apprécier la lecture. Enfin, un rebondissement énorme survient vers la fin du récit, qui est très bien amené et apporte une nouvelle dimension à l’histoire ; on peut le voir venir, mais à nouveau, même dans ce cas, cela ne m’a aucunement empêché de passer un bon moment et de refermer le livre avec un grand sourire.

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