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Critiques de Anne-Caroline Pandolfo (239)
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Sousbrouillard

Une bande dessinée qui m'a déroutée au début par son coup de crayon. Mais j'ai vite compris que cela participait à l'ambiance de l'histoire. Nous sommes à Sousbrouillard, un village énigmatique qui reste comme son nom l'indique dans la brume avec un lac et ses mystères inexpliqués. Sara ignore tout de ses origines mais sur son lit de mort, la vieille tante qui l’a élevée lui confie l’unique indice en sa possession : la moitié déchirée d’un bracelet de naissance avec le nom : Sousbrouillard. Sara décide alors de partir là-bas à la recherche de son passé et de ses origines. Mais il va falloir qu'elle s'adapte à ce village et ses habitants « cabossés et rocambolesques », hauts en couleurs, tristes et émouvants. Et quand elle s'y attendra le moins, elle trouvera les réponses à ses questions. Les personnages rencontrés sont touchants et les femmes ont un rôle fondateur et très important. Bref, une bande dessinée qui mérite le détour tout comme Sousbrouillard ! #Sousbrouillard #NetGalleyFrance

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Le don de Rachel

(SC971) Un album fantastique qui reste assez confus à mes yeux. J'ai beaucoup aimé la première partie où nous découvrons Rachel, dans le Paris de Hugo et Dumas. Elle est médium et voudrait que son don aide les autres à "voir" alors qu'elle est traitée au pire comme une sorcière, au mieux comme un phénomène de foire. Rachel est belle et elle a des yeux fascinants. Epuisée par ce don, elle disparait un jour. C'est là que j'ai un peu décroché quand on retrouve Rachel sous les traits d'une jeune fille dont la mère met en scène un ballet intitulé "Le don de Rachel". Malgré de belles planches un récit qui demeure à mes yeux trop alambiqué. Non pour le Prix.

(MAB971) Un peu confus effectivement. Non

(IK971) Un album du duo Pandolfo/Risbjerg que j'apprécie pour ses planches d'une grande profondeur et sa maîtrise de l'aquarelle. Mais effectivement, le récit bien mené au départ, lorsqu'il évoque la vie de Rachel devient confus (avec l'ajout de nouveaux personnages) et nous laisse sur notre faim. Dommage.
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Le don de Rachel

J'ai emprunté cette BD au hasard, car je trouvais le regard,dessiné sur la couverture, bien intrigant. Après le "bal des folles" de Victoria Mas, quelle étonnement de retrouver une histoire de médium dans un Paris de la fin du XIXème siècle ! Une BD qui relie plusieurs femmes, plusieurs époques, en 3 parties.

La première histoire m'a beaucoup plue. Les couleurs, un peu sépia et sombres, comme des photos passées, me donnaient très envie de découvrir l'histoire. Ce Paris du XIXème est bien retranscrit, on assiste non seulement aux séances qui montrent les dons de Rachel, mais aussi à ses sentiments.

Ensuite, j'ai eu plus de mal à rentrer dans l'histoire de Liv Nexo, autre époque, la danse n'est pas mon domaine de prédilection, et puis, je trouvais les personnages un peu froids. Heureusement, leur spectacle les révèle tous !

Enfin, la dernière histoire en Angleterre est surtout marquante par la révélation finale...

Même si j'ai eu du mal à faire les transitions entre les lieux et les époques, surtout dans la deuxième moitié du livre, au final, je trouve que le lien entre ces femmes est vraiment bien tissé. D'autre part, le jeu des couleurs parvient à nous immiscer dans la tête des personnages, comme dans une autre époque. Un de mes passages préférés est le moment où Liv Nexo regarde la télévision...

J'ai beaucoup apprécié la note de l'auteur qui donne encore plus de sens au livre en lui-même.

Beau à regarder, des textes vifs et concis, une belle BD à découvrir !
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Le don de Rachel





1848.

Les grands yeux bleus de Rachel ont un don : ils voient à travers les gens, les choses et aussi dans l’avenir. Mais cette faculté dont tout le monde est curieux au point de faire de Rachel une bête de foire, commence à peser sur les épaules de cette jeune femme. Elle se rend compte au fur et à mesure de ces rencontres qu’aucune de ces personnes ne s’intéressent à elle, en tant que Rachel, mais qu’elles ne voient qu’une manière de les divertir. La décision est prise, elle part sans laisser de trace.



On retrouve l’influence de Rachel bien plus tard, dans la vie d’une chorégraphe qui met en scène sa vie. Mais aussi dans celle d’une photographe. Le lien entre ces trois femmes, qui ne se connaissent pas, est ténu pourtant il a survécu au fil des ans. À ces femmes de trouver l’importance de la vie de Rachel dans la leur.

Cette immersion dans la vie d’une voyante, à la fois considérée comme une sorcière ou comme un faire-valoir, est dès plus intéressante et cette première partie remplit tous les critères d’une bande dessinée fascinante. On y suit les doutes de Rachel, son envie d’émancipation, ses pensées sur les lourdeurs que ce don apporte à sa vie, ses rencontres qui comptent comme un certain Alexandre Dumas à qui elle prédit la ruine et l’exil.



Mais Pandolfo et Risbjerg ont voulu donner une autre dimension à leur œuvre, y placer une influence temporelle de leur personnage dans la vie de deux autres femmes et ce choix narratif n’est, pour moi, pas nécessaire. La vie de Rachel se suffisait amplement et il aurait été judicieux de gratter davantage dans son passé et son adolescence.



Les deuxième et troisième parties tirent en longueur sans apporter un coup de fouet qui aurait pu raviver le tout.



Les dessins rattrapent heureusement le tout car les expressions données aux yeux de Rachel parcourent le récit d’un bout à l’autre et il est difficile de ne pas y être sensible.
Lien : https://pagesversicolores.wo..
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Le don de Rachel

« Le don de Rachel » est un roman graphique qui nous relate le parcours de trois femmes, qui ont vécues à différentes époques et différents lieux mais dont le destin est lié par des fils invisibles.



Au 19ème siècle à Paris, vit Rachel Archer, une jeune femme au regard envoûtant qui a un don. Son compagnon est un poète et rédige un livre sur elle. Depuis, toute petite, elle ressent des choses. Elle peut voir l'avenir, soigner à distance ou encore parler toutes les langues quand elle est en transe. Rachel participe à des séances où elle répond aux questions des gens. Elle ressort exténuée de ses rencontres.

Après avoir été recommandé par le prestidigitateur Robert-Houdin, elle devient connue. Elle est reçue par la famille royale et par Alexandre Dumas. Rachel devient un phénomène de foire et elle en souffre. Certains hommes la traitent de sorcière, les autres l'apprécient mais ne s'intéressent pas à elle. Ils utilisent son don. Un beau jour, elle disparaît et ne réapparaîtra jamais.



Liv Nexo, est une danseuse et chorégraphe dans les années 1980 à Copenhague. Elle décide de créer un spectacle pour le théâtre royal de Copenhague s’intitulant le « Don de Rachel ». Liv a trouvé le livre écrit par le compagnon de Rachel chez un bouquiniste. Elle s'inspire de son l'histoire pour créer son ballet qui rencontre un grand succès.



De nos jours, Virginia Day vit à Londres. Elle est photographe. Un de ces ancêtre « Charles Chevalier » qui faisait des daguerréotypes, a vécu à l'époque de Rachel et avait réalisé le portrait de la jeune femme. Virginia a conservé le daguerréotype sans savoir qui elle était. « Rachel » a toujours été une muse pour elle car son grand regard bleu est hypnotique.



J'ai beaucoup apprécié ces trois portraits de femmes, les connexions qui les relient et l'évocation de la création artistique. J'ai trouvé la construction narrative intéressante même si elle peut surprendre. Pandolfo et Risbjerg ont un véritable talent pour évoquer le destin d'artistes incompris et rejetés de la société et nous les rendre passionnants à l'instar de leur précédent roman graphique « Enferme-moi si tu peux » qui m'avait impressionnée.

Les quelques planches fantasmagoriques quand Rachel est jeune ou celles de Liv dansant avec Rachel dans le ciel m'ont fait penser à l'univers onirique de Chagall. Je les ai trouvées très belles. Les dessins sont magnifiques et j'ai retrouvé le trait singulier de Risbjerg qui me plaît. La colorisation permet de distinguer et souligner les époques, les teintes sépias au 19ème siècle et des teintes plus vives pour l'époque actuelle.

Le duo Pandolfo et Risbjerg a réussi une nouvelle fois à me convaincre à travers cette histoire originale et ses illustrations envoûtantes.
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Enferme-moi si tu peux

Augustin Lesage, Madge Gill, le Facteur Cheval, Aloïse, Marjan Gruzewski et Judith Scott : six histoires de vie d’artistes hors du commun, ces femmes et ces hommes que rien ne prédestinait à l’art et que l’on regroupe sous cette appellation d’« Art brut ».

Un roman graphique plein de découvertes (j’avoue que je ne connaissais que le facteur Cheval…) et de récits bouleversants. On découvre avant tout leur vie et la naissance de leur art : leurs œuvres sont esquissées par l’illustrateur, mais si vous voulez en voir davantage, ce sera l’occasion d’une petite recherche internet. J’ai été particulièrement émue par leur imagination, leur art leur offrant une porte de sortie d’un réel trop dur ou traumatisant.

J’ai trouvé cette lecture très instructive et touchante, mais je regrette de n’avoir pas accroché plus que ça au style graphique de Terkel Risbjerg en dépit de quelques pages marquantes et originales.
Lien : https://oursebibliophile.wor..
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Le don de Rachel

Je reste subjuguée par le talent du couple Pandolfo/Risbjerg.

En ces temps maussades, je retrouve par cet écrit les plaisirs de la culture : clins d’œil historiques et littéraires sur un lit de spiritisme et une formidable invitation au Théâtre Royal de Copenhague. On s’y croirait !



De plus, le livre est un très bel objet. Bravo Casterman ! 👏🏻
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Serena (BD)

Un roman graphique âpre, rugueux, des personnages de la race des Pionniers. Il n'y a pas de place pour la pitié, on abat les arbres comme les hommes, rien ne saurait résister à l'ambition de cette femme, Serena et son funeste homme de main. Quelle personnage! Je ne sais pas si la BD est fidèle au roman de Ron Rash, vu que je l'ai pas encore lu, mais je garderai longtemps en mémoire cette incroyable histoire. Le bémol, tout relatif, est dans le traitement graphique que j'ai trouvé trop simpliste, et répétitif sur les paysages. Je suis sûr que la plume de Ron Rash est desservi pour cet aspect.
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Enferme-moi si tu peux

A travers six portraits, Enferme moi si tu peux nous raconte le destins de six artistes considérés comme aliénés.

J'ai trouvé cette bd merveilleuse, déjà parce qu'elle nous permet de mieux connaître ces personnages aux destins hors du commun, mais aussi et surtout pour son regard sur la folie. Loin des clichés glauques sur le sujet, les auteurs nous parlent plutôt de personnes profondément libres, incomprises, dont l'art est le moyen d'expression. Merci d'ailleurs pour cette petite approche de l'art brut, on a envie de creuser le sujet.

Vraiment une belle bd à mon sens.
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Perceval

Très belle évocation de l'aventure de Perceval, qui abandonne sa mère pour courir des périls chevaleresques. Belle évocation de l'innocence qui tient de l'aveuglement de celui qui agit sans penser aux conséquences de ses actes autrement qu'en terme de gloire accumulée.
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La lionne : Un portrait de Karen Blixen

La vie de Karen Blixen vaut d'être connue tant elle est passionnante et cette femme courageuse ! Issue d'une riche famille du Danemark, elle est élevée par sa mère selon une éducation protestante très austère alors que son père, militaire et écrivain dont elle était très proche, était un vrai aventurier dans l'âme. Elle héritera de cette éducation à deux facettes le goût de la liberté et des voyages. Mais, dès l'enfance, la vie ne l'épargnera pas et les épreuves s'enchaîneront sans relâche, y compris lorsqu'elle prend LA décision qui changera sa vie : partir pour l'Afrique. Une vie simple, proche de la nature et des populations locales, qui lui inspirera son plus grand roman, La ferme africaine (Out of Africa).



Les illustrations à l'aquarelle m'ont rappelé l'esprit d'un carnet de voyages et se prêtent donc parfaitement à l'histoire qui nous est racontée. Une belle découverte !
Lien : http://ocalypso.canalblog.co..
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La lionne : Un portrait de Karen Blixen

Aux premiers abords, on irait pas forcément vers ce roman graphique. Ceux qui aiment les beaux dessins vont surement choisir un autre livre. Mais essayez quand même, il y a de très belles planches sur les décors faites à l'aquarelle, et les traits très anguleux des personnages sont assez vite oubliés. L' histoire, bien que sûrement un peu connu (Out of Africa) vaut le détour.
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Serena (BD)

Je ne connais pas le roman original à l'origine de cette bd mais ce récit mélange une tragique histoire d'amour au quotidien d'une entreprise de déboisement aux États-Unis dans les années 30.

Le personnage de Serena, qui donne son titre à la bd, est coriace, déterminé et franchement intimidant.

J'avoue avoir trouvé des longueurs même si globalement j'ai bien l'histoire.
Lien : http://boumabib.fr
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Serena (BD)

Je ne sais pas trop quoi dire de cette BD…



Autant, elle montre une femme forte, qui reste sur ses convictions et qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour obtenir ce qu’elle veut (même des actes fortement condamnables), ce qui est intéressant, autant je n’ai pas aimé ce personnage du tout. Serena m’est tout de suite apparue comme un personnage antipathique. En grande partie à cause de ses ambitions et de ses méthodes.



L’histoire de passe dans les années 30, aux Etats-Unis. Serena Pemberton dirige une compagnie forestière avec son mari. Rapidement, ils se retrouvent confrontés à un projet d’aménagement de parc naturel sur leurs terres. Serena et son mari mettent alors tout en œuvre pour que le projet n’aboutisse pas. C’est ça qui m’a dérangée, dans l’histoire. Je suis assez sensible aux questions de protection de la nature et voir cette femme faire tout son possible pour contrer le projet et pouvoir continuer à faire abattre autant d’arbres qu’elle le peut, je n’aime pas. Il y a cette scène, à un moment, qui m’a un peu choquée. C’est quand elle se promène avec son mari sur des terres qu’ils souhaitent acheter pour leur exploitation et que lui s’extasie devant les buissons, les fleurs, la beauté de la nature et qu’elle dit, l’air de rien, que c’est dommage, mais que tout ça disparaitra quand ils abattront les arbres. Bref, ses idéaux ne sont pas les miens. Rien d’étonnant, donc, à ce qu’elle me paraisse antipathique. Ajoutez à cela le fait qu’elle n’hésite pas à aller jusqu’au meurtre pour parvenir à ses fins. Non, vraiment, je n’aime pas cette femme. Du coup, j’ai eu du mal à apprécier pleinement cette histoire.



Les dessins ne m’ont pas aidée non plus. Ils m’avaient l’air d’esquisses incomplètes, de dessins pas aboutis. Pas assez précis, relativement inégaux.



Je ne peux pas dire que j’ai aimé cette BD donc, mais pour autant, je ne dirai pas non plus que je l’ai détestée. Elle était finalement assez intéressante, mais je n’ai pas accroché.

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Serena (BD)

Les Smoky Mountains en Caroline du Nord au début des années 30.



Georges Pemberton, propriétaire d’une exploitation forestière revient chez lui accompagné de sa nouvelle épouse, Serena, qui se révèle rapidement être une meneuse d’hommes, une femme au tempérament de braise qui sait ce qu’elle veut et est prête à tout les sacrifices (surtout ceux des autres !) pour y arriver. Elle ne s’arrêtera que quand elle aura déboisé assez d’arpents de terre pour atteindre ses fins.







On pense en lisant Serena à ces grandes sagas tragiques où le destin de personnages forts est intimement lié à la terre, de Géant à There Will Be Blood, et c’est là que le livre (probablement le roman d’origine déjà mais encore plus sa version graphique) est puissant.







Et puisque l’on évoque le cinéma, Serena est une femme forte, une figure implacable et sans remords qui n’hésite pas, via son âme damnée, à se débarrasser de ceux (et celles !) qui se dressent sur le chemin de sa réussite. Le genre de personnages que l’on aurait pu voir camper au grand écran par une Marlène Dietrich...

et de la musique pour aller avec: http://bobd.over-blog.com/2018/03/impitoyable-heroine/serena-vs.impitoyable.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
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Un portrait au poil

Aujourd'hui c'est dimanche, Léon veut peindre ses amis animaux, mais il les découvre pleins de complexes : le flamant se trouve trop rose ("comme un gant de vaisselle"!), le phoque trop gluant, le lion hirsute, l'éléphant a honte de son long nez...

Un bon livre pour aborder la vision que l'on a de soi, qui n'est pas toujours fidèle, et pour apprendre à s'accepter.

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L'astragale (BD)

Lecture empreinte de regret pour cette histoire d'après Albertine Sarrazin, une vie coupée net, dont le début fut tragique. Terkel Risbjerg par son dessin fougueux et rapide, rend compte de la vie pleine de soubresauts d'Albertine, toute cette énergie de vivre.
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Mine, une vie de chat

Un jour, Gros Léon entre dans une boutique bizarre, celle de Stanislas Solveig. L'homme derrière le comptoir est effrayant et Léon sort bien vite. Peu après, il fait la rencontre d'un chat qui s'attache à lui...

Une histoire tendre et magique, des dessins splendides en noir et blanc. Une vraie merveille! J'ai adoré.
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Ma famille

J'adore, ma petite-fille de 6 ans aussi !



Chaque membre de la famille représenté par un siège, qui correspond à son caractère.

Par exemple :

Mon arrière-grand-mère complètement sourdingue : un gramophone avec un énorme pavillon.

Tata j'me la joue : une commode grand style

etc ...
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Copenhague

Coup de cœur

Le dessin et ses mouvements , les personnages, le parler du danois, la joie qui se dégage

C'est loufoque, pas à prendre de façon terre à terre et ne vous attendez pas à une enquête.

D'où sort la sirène on s'en fiche. C'est l'aventure qui compte et le moment joyeux, ravie des couleurs et de l'humour, que j'ai passé à le lire.
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