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Critiques de Anthony Horowitz (987)
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Le Nouveau Sherlock Holmes : La Maison de S..

Je me suis offert ce roman quelques mois après sa sortie en France, j'y ai plongé le nez immédiatement et l'en ai ressorti presque aussitôt. Manque de motivation. Et finalement, je m'y suis mise cet été et je me demande bien pourquoi ma première visite ne m'a pas plu tant j'ai aimé le lire.





Autant le dire tout de suite, le résumé de la quatrième de couverture n'est absolument pas mensonger. Holmes et Watson se retrouvent bel et bien engagés dans une enquête qui se révèle de plus en plus sordide au fur et à mesure de son avancement.





Au début, c'est une affaire des plus banales dans laquelle il est question d'un homme, Edmond Castairs, qui se sent en danger à cause d'un ancien voyage aux États-Unis qui a mal tourné. Mais les événements s'enchainent et Holmes se retrouve dans une toute autre affaire qui concernerait une certaine maison de soie dont même Mycroft n'a jamais entendu parler.



Watson se retrouve, après moultes péripéties, seul pour résoudre l'enquête.







J'ai eu un coup de cœur pour ce roman. Déjà, il y est question de Sherlock Holmes et du docteur Watson et donc l'histoire se passe à Londres. L'ambiance est particulièrement bien décrite et elle y assez glauque. Certains passages peuvent mettre mal à l'aise. Par exemple, les moments juste avant la révélation de l'énigme sont vraiment dérangeant car on comprend peu à peu ce qu'il s'est passé et comme le dit si bien le résumé, c'est sordide. Avant la révélation, je me disais: "Oh non, quand même pas...C'est pas ça, tout de même"...Et si, c'était ce que je pensais. Et je crois que ça a rendu la résolution encore plus difficile.



J'ai aimé la présence des Irréguliers de Baker Street, toujours prêts à apporter leur aide contre une ou deux piecettes. Ces gamins des rues sont vraiment attachants, on ne peut qu'avoir de la peine pour eux quand on lit comment ils doivent vivre, ce qui était le mode de vie de beaucoup d'enfants de l'époque.



On retrouve beaucoup d'éléments des histoires de Conan Doyle, les caractères des personnages y sont bien respectés et j'ai aimé que les capacités de Holmes pour le déguisement ne soient pas mises de côtés.







Comme dans les aventures de Sherlock Holmes de Conan Doyle, c'est ce cher Watson qui raconte l'histoire. Mais les faits qui sont contés datent de plus de cent ans car Watson a tenu à ce que son histoire attende cette durée pour être dévoilée au grand public.



On se serait vraiment cru dans un livre de Conan Doyle. Anthony Horowitz a parfaitement bien repris son style. Je n'ai lu que deux livres de cet auteur, L'ile du crâne et Maudit Graal, des livres très jeunesses, donc je ne pouvais pas vraiment faire le comparatif avec ce qu'il avait déjà écrit.





C'est un excellent roman, quoiqu'assez glauque, à ne pas manquer, surtout si vous aimez les aventures du plus célèbre des détectives.





Arlavor le Rouge.
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Le Nouveau Sherlock Holmes : La Maison de S..



Et bien moi contrairement aux autres lecteurs, cette pastiche m'a laissé un peu de marbre. En comparaison, si on veut parler d'un pastiche récent de sherlock holmes (même si ce n'est en pas vraiment un car le personnage principale est conan doyle), j'ai préféré 221B Baker street de Graham Moore.

Certes c'est bien écrit et le récit fourmille de références au canon (à force de lire des pastiches on devient expert), mais e n'ai pas retrouvé le ton de Sherlock Holmes ni la dynamique des récits originaux.

Alors oui, c'est censé être de la littérature pour adolescents mais là je ne suis pas d'accord, j'imagine peu de lecteurs de moins de 16 ou 18 ans lire ce livre., et puis moi je l'ai lu en Large VIsion (= gros caractères pour ceux qui ont des problèmes de vue, donc généralement des personnes âgées). Ce n'est donc pas que je n'apprécie pas la littérature jeunesse, non c'est tout simplement que le personnage de Sherlock Holmes par Horowitz ne me plait pas. Alors oui, bien sur chaque auteur met sa patte personnelle au personnage, mais bon là, sans plus.
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Le Nouveau Sherlock Holmes : La Maison de S..

D'habitude, quand quelqu'un reprend une enquête de Sherlock Holmes, il y a du nouveau.

D'habitude, SH n'est brusquement plus misogyne.

Ou il devient junkie permanent. Ou encore pire, sentimental.

Ou, horreur absolue, c'est encore un enfant, et Watson n'est pour lui qu'une onomatopée lui faisant immédiatement penser : "A vos souhaits".





Ici, Sherlock Holmes est pétulant, scintillant, brillant, explosif !



Gloire à Anthony Horowitz, qui a su ressusciter à la fois Watson et Holmes !

Gloire à celui qui a su rendre à la fois l'ambiance des livres originaux, l'épaisseur et la psychologie des personnages, sans trahir le lecteur perclus d'attendre, encore et toujours, le retour non pas du fantôme de SH, mais du vrai, du réel, tout droit sorti de l'imagination de Conan Doyle !





Ah, je respire. Enfin.





Depuis le temps que j'attendais un livre comme celui-là.





Un Watson non pas transparent et réduit à l'état de caméra vivante, mais un narrateur partie prenante de l'action, avec ses peurs et ses sautes d'humeur. Et, je le confesse, un Watson émouvant dans la simplicité de ses sentiments, tellement Watson que j'en aurais pleuré.

Un Mycroft qui sonne comme le vrai.

Un Lestrade légèrement modifié, mais pour un seul personnage, on va pas se plaindre, hein ?

Parce que ce Sherlock Holmes-là... Violoniste, chimiste, avec sa volonté de fer, ses scrupules, son addiction à la cocaïne, ses Irréguliers, ses remarques incongrues qu'on ne comprend que bien plus tard, celui-là, c'est un vrai Holmes !

Pour un peu, je l'embrasserais, tiens.





Et puis deux intrigues en une, même si parfois on perd le fil et qu'au final elles ne sont pas si intriquées que ça, il faut quand même gérer. C'est pas n'importe quel auteur qu'est cap' de faire ça et de le réussir, les enfants !





On peut chercher des défauts, si on veut pinailler, et on peu en trouver quelques-un dans des fautes de style, des mots n'ayant rien à faire dans la bouche d'où ils ont été émis, des locutions actuelles qui heurtent quelque peu au XIXème siècle.

Mais j'ai bien cherché, je n'ai rien trouvé d'autre. (pour ceux qui ne sont pas aux courant, je suis en effet experte en pinaillage, ce qui vous donne une idée du niveau Doylesque de ce bouquin.)





Cette aventure de Sherlock Holmes n'est certes pas conforme à l'original en tous points, (et encore heureux, il fallait bien qu'Horowitz puisse y mettre sa patte) mais elle s'en rapproche d'une façon troublante, convancante, jusqu'au bout, dans les clins d’œils discrets aux autres aventures, dans les petites manies des protagonistes, dans le déroulement de l'intrigue...





C'est dans des moments comme ça qu'on regrette que la bibliothèque municipale exige le retour des livres.







Donnez-moi cinq minutes, je vais pleurer un peu et je reviens.



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Alex Rider, tome 2 : Pointe blanche

Deuxième opus des aventures d'Alex Rider. Une histoire de clonage avec laquelle on reste autant dans le rythme que dans le premier volume.

Pour le moment, ça me plait toujours autant alors je continue !
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Le Nouveau Sherlock Holmes : La Maison de S..

Le premier roman où Sherlock Holmes est repris avec l'autorisation formelle des héritiers de Conan Doyle, ce n'est pas rien. On comprend pourquoi ils ont donné leur autorisation: le style est superbement proche de celui de leurs ancêtres, on retrouve l'écriture, la construction, les personnages, c'est comme lire une aventure inédite de Holmes et Watson par leur père d'origine. L'auteur a même pris soin de conserver l'introduction de Watson qui est dans certains textes, d'y inclure la raison de la diffusion si tardive de la vérité sur La Maison de Soie!

Les retournements de situations font même penser à des nouvelles ultra célèbres comme L'homme à la lèvre tordue. Résultat,on sait qu'on va être surpris, reste à deviner comment, ce qui est impossible!



La seule différence, le petit truc qui permet, je trouve, de différencier cela d'un original reste la résolution de l'une des deux enquêtes entremêlées. Même si aucun détail anatomique n'est offert, Conan Doyle n'aurait pas évoqué ce genre d'horreurs, pas qu'il les ait jugé inexistantes sans doute, mais on ne mettait pas cela dans les romans à cette époque.



Vraiment un gros coup de coeur.
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Le Nouveau Sherlock Holmes : La Maison de S..

Je suis une grande fan de Sherlock Holmes depuis des années. Alors voir qu’un auteur a décidé de le ressusciter le temps d’un roman m’a rempli de joie! Quel bonheur de retrouver son génie incomparable et son fidèle ami pour une enquête inédite. Ma seule inquiétude résidait dans le fait qu’écrite par un autre auteur, l’histoire pouvait perdre de son charme. Eh bien ma peur était infondée car même si ce n’est pas du Conan Doyle pur jus, cela vaut vraiment le détour.



Et si un manuscrit du Docteur Watson était retrouvé? Et si une enquête complètement inédite, gardée secrète du fait de son sujet et les personnes impliquées, avait été gardée cachée de peur des réactions des lecteurs et de l’opinion publique? Et si la chance de pouvoir la lire nous était enfin donnée? Voilà l’idée de départ de ce roman hors norme.



Je préfère ne pas trop vous parler de l’histoire pour ne pas dévoiler d’éléments de l’intrigue, ce qui gâcherait votre plaisir et ce serait bien dommage! En tous les cas, sachez que Sherlock est toujours pareil à lui-même et que son génie est toujours aussi incomparable et délectable. Watson reste son fidèle ami et partenaire. Il est davantage mis en avant et se retrouve au coeur même de l’affaire. Ce petit point m’a d’ailleurs beaucoup plus. J’ai trouvé original de plonger davantage dans un cerveau plus « classique » et qui essaie de dénouer l’enquête comme le commun des mortels. Même si, bien sûr, Sherlock reste le spécialiste numéro un :D



Une fois de plus la conclusion m’a prise totalement de court! Je n’ai rien vu venir et j’ai été tout simplement scotchée par les rebondissements qui tombent en rafale. Je ne peux que féliciter l’auteur qui nous offre un magnifique roman policier, haletant et bien ficelé, dans la digne ligne du père de Sherlock Holmes.



Bien sûr le style n’est pas à 100% le même, mais il est tout aussi agréable à lire et ne gâche en rien le plaisir du lecteur. J’ai dévoré ce roman, malgré quelques toutes petites longueurs (surtout quand Watson se retrouve sur les devants de la scène) sans conséquence pour la qualité du récit.



Je ne peux que vous conseiller chaudement la découverte de ce magnifique roman!
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Le Nouveau Sherlock Holmes : La Maison de S..

Mon tout premier Masse Critique se conclut ici par la rédaction de mon avis. Voilà un petit moment que j’ai terminé ce roman. Les jours défilent et je ne parviens pas à retranscrire mon opinion comme je le voudrais. Et pourtant, il est temps que je me lance…



Je ne suis pas à proprement parlé un lecteur inconditionnel de Sherlock Holmes. Pour tout dire, ma connaissance de ses aventures se résume à un roman, « Le Chien des Baskerville », ainsi qu’à quelques nouvelles. Malgré tout, j’ai pris beaucoup de plaisir avec cette aventure inédite et je remercie Babelio et son Masse Critique pour cette découverte.



A la lecture du livre, on sent qu’Anthony Horowitz maitrise son sujet. Le style, calqué sur celui de A. Conan Doyle, est plaisant à lire et les personnages sont fidèles à ce que j’ai déjà pu lire. De plus, les nombreuses références et clins d’œil à l’œuvre originale ainsi que la présence de personnages récurrents, véritables guest stars, confèrent beaucoup de profondeur à l’histoire.



L’ambiance malsaine des bas-fonds de Londres est parfaitement retranscrite au travers des nombreuses descriptions détaillées qui s’imbriquent de manière fluide dans le récit, sans jamais alourdir ou desservir l’aventure



L’histoire quant à elle, repose avant tout sur un postulat de départ que voici : « Une nouvelle enquête inédite de Sherlock Holmes, scellée dans un coffre pendant cent ans. Un manuscrit trop compromettant pour être dévoilé plus tôt ». Original ? Peut-être pas. Mais il a le mérite d’être efficace.



L’enquête en elle-même est bien construite et distillée méticuleusement par le Dr Watson. Personnellement, je garderai une petite pointe de déception vis-à-vis de la Maison de Soie qui s’est révélée être exactement ce à quoi je m’attendais. Certes, les fausses pistes m’ont fait douter par moment de mon intuition mais bizarrement j’aurais peut-être préféré être décontenancé, comme l’est à chaque fois Watson, par la solution de l’enigme. Heureusement, le dernier chapitre m’a réservé quelques surprises, si ce n’est sur le coupable, tout au moins sur le pourquoi du comment de toute l’affaire.



En somme, un livre qui se lâche difficilement. Un livre qui s’adresse autant aux fans, qui certainement prendront plaisir à retrouver tout l’univers d’Holmes, qu’à ceux qui comme moi le connaissent peu ou pas. Une bonne mise en bouche qui aura le mérite d’offrir un hommage sympathique au célèbre détective et qui m’aura donné envi de lire d’autres ouvrages de A. Conan Doyle.
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David Eliot, tome 1 : L'Ile du crâne

Un Harry Potter (mais le livre a été écrit avant) dans un style plus comique, bourré d'humour.
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La photo qui tue : Neuf histoires à vous glac..

Voilà un très bon recueil de nouvelles à vous faire frissonner. Les thèmes sont assez différents, certaines sont plus abouties et plus percutantes que d'autres mais tout le monde aimant le fantastique sera servi.



Les plus jeunes pourront se familiariser avec le genre, même si certaines sont assez terrifiantes ou du moins faisant appel à ce que l'on peut trouver dans certains films d'horreur. Je pense plus particulièrement aux deux premières nouvelles.



Je ne connaissais pas cet auteur, mais je suis certains de revenir lire parfois du côté de ses œuvres.



Je dirais que la lecture en autonomie est à partir de 10 ans, surtout pour ceux qui n'ont plus peur de dormir dans le noir.
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Le Diable et Son valet

Petit livre tout fin de 220 pages, « Le diable et son valet » ne paie à première vue pas de mine, et pourtant... Vendu comme un thriller historique mâtiné de fantastique, la part de surnaturel y est finalement à peine présente. En revanche, pour ce qui est de l'aspect roman noir, Anthony Horowitz s'est surpassé.



Pour avoir lu (et plutôt bien aimé) la duologie David Eliot, on y retrouve ici le suspense, les mystères, un complot, le talent de l'auteur pour poser un décor et son humour délicieusement grinçant. Exit en revanche l'extravagance des meilleurs passages de « Maudit Graal », ici, l'ambiance est beaucoup plus sérieuse.



« Le diable et son valet » tape dans le pur récit historique et réaliste, à grands renforts de détails pas très sexy. Les rues ne sont pas propres du tout, les gens non plus, la variole fait des ravages et la misère comme les criminels traînent partout. Ceci dit, en parlant de sexy et de criminel, mentionnons un certain bandit de grands chemins aux yeux bleu clair, longs cheveux noirs et sourire ravageur, vêtu d'un long manteau en cuir. Pour notre plus grand plaisir, Anthony Horowitz met un point d'honneur à insister sur sa perfection physique... et son caractère n'est pas en reste. Bref, chacune de ses apparitions donne *sacrément* chaud, ce qui tombe plutôt bien, étant donné que cette histoire se déroule en Décembre. Or, Décembre au XVIe siècle, c'est encore moins cool que maintenant. La Tamise est gelée, il pleut et neige dans les maisons à travers les toits percés et bien évidemment, il faut pour la plupart des gens se contenter de maigres couvertures trouées, quand on la chance d'en avoir. Le froid suinte des pages et c'est tout juste si l'on ne sent pas la neige congeler nos orteils en direct live.



Mis à part ça, le thème du théâtre ne fait son apparition qu'à la moitié du roman environ. L'auteur prend le temps de poser les bases de son histoire, tout en nous y plongeant tête la première et sans le moindre temps mort, du début à la fin. Malgré un début qui pourrait avoir l'air longuet, l'auteur parvient à maintenir notre intérêt en éveil grâce à ses personnages. Si Tom manque étonnamment de charisme, c'est surtout parce que les autres en débordent, en bien comme en mal. Qu'il s'agisse des repoussants aubergistes qui l'ont élevé, d'un certain assassin ultracanon ou de la haute en couleur Molly qui éclipse tous les autres, ils portent le récit jusqu'à ce que le mystère s'en mêle. Aucun passage n'est inutile ; tout, dans le cheminement de Tom, est logique. Jamais l'on n'a l'impression que l'adolescent est trop chanceux, il n'y a pas non plus de coïncidences dans cette histoire. Et si certains ressorts de celle-ci sont indéniablement beaucoup trop prévisibles (entre le prologue et les indices pas vraiment discrets distillés un peu partout au fur et à mesure du récit), le suspense va néanmoins croissant. Avoir compris avant Tom de quoi il retourne ne permet pas de prévoir l'issue du récit, et autant prévenir, Anthony Horowitz ne ménage pas nos nerfs !



« Le diable et son valet » est donc clairement un coup de cœur, même si tout ça manque un peu d'originalité et d'audace. L'intrigue est tout compte fait ultra classique (en plus d'être aisément devinable) et même si le plaisir de lecture demeure indéniablement intact, on aurait aimé être un peu surpris. C'est bien la seule chose qu'il y a à reprocher à ce thriller historique léché, labellisé jeunesse mais pas édulcoré pour autant, au décor ciselé par de nombreux détails.
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Susan Ryeland, tome 1 : Comptine mortelle

J'adore les romans d'Agatha Christie qui ont bercé mon adolescence. Avec ce récit d'Anthony Horowitz, j'ai été gâtée puisque j'ai lu 2 romans à énigmes pour le prix d'un. Et quelles énigmes : tarabiscotées, inattendues, conformes à tout ce que j'aime. Ce livre, avec ces nombreux clins d'oeil est un véritable hommage à la reine du roman policier. Si vous aimez ce type de littérature, vous ne serez pas déçu. Ce livre est un must en la matière, avec en plus une auto dérision très britannique !
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Susan Ryeland, tome 1 : Comptine mortelle

J'aime beaucoup les romans d'Anthony Horowitz et Comptine mortelle confirme encore une fois le talent de ce grand romancier.



J'ai adoré l'intrigue de ce livre, j'ai aimé le fait que l'histoire se déroule en lien avec le monde du livre, de l'édition. L'idée de l'auteur est extrêmement intéressante puisqu'il a mis en place une mise en abyme : un roman dans le roman, on découvre à la fois l'intrigue liée à cette éditrice mais aussi l'intrigue du roman écrit par son auteur Alan Conway.



Il y a ainsi une intrigue double, une tension d'autant plus forte que les deux histoires de ce roman sont aussi passionnantes l'une que l'autre.



Anthony Horowitz rend hommage aux grands maitres du genre et notamment à la reine du genre policier : Agatha Christie. J'ai trouvé que l'auteur maitrisait parfaitement les énigmes qui parsèment son roman, il a su me surprendre et amener sa propre pierre à l'édifice du polar.



Comptine mortelle est un très bon thriller qui ne nous laisse aucun temps mort et j'ai trouvé que le dénouement pour chaque histoire était parfait.



En définitive, j'ai adoré ce livre qui est à la fois très original et très addictif. Un thriller parfait pour vous accompagner cet été sous le soleil !
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La photo qui tue : Neuf histoires à vous glac..

Le livre regroupe neuf histoires d'horreur très courtes à lire et jouant avec nos peurs, de façon plus ou moins efficace. Certaines font même preuve d'humour. J'ai particulièrement apprécié le Bain du soir, je ne suis pas sûre de regarder ma propre baignoire de la même façon maintenant et l'homme au visage jaune.



J'aime beaucoup l'écriture d'Anthony Horowitz que j'avais découvert ado avec l'île du crâne. Une nouvelle fois, j'ai pleinement apprécié ma lecture de cet auteur !
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Alex Rider, tome 5 : Scorpia

Anthony Horowitz mélange suspense et

humour,avec les aventures d,Alex rider

super espion de quatorze ans.capable de

sauver le monde des pires dangers.et le

lendemain s,escrimer sur un devoir de

chimie.il jongle entre deux vie.un livre

familial et sympathique.
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David Eliot, tome 2 : Maudit graal

Si L'île du Crâne était à l'origine un one-shot, huit ans plus tard, Anthony Horowitz a décidé de lui offrir une suite. Dans Maudit Graal, nous retrouvons donc David, Jill et Jeffrey (presque) tels que nous les avions quittés.

Il faudra cependant accepter "d'oublier" le dernier chapitre/épilogue de L'île du Crâne, qui rendrait tout ce tome incohérent ().



Le changement d'ambiance entre les deux histoires est radical: on passe du suspense d'un huis-clos pesant à celui d'un complot à déjouer. Il y a donc ici nettement plus d'action, mais si l'intrigue de L'île du Crâne était déjà relativement prévisible, elle l'est malheureusement encore davantage dans cette suite. Là où le premier tome gardait jusqu'au bout certains de ses mystères, ici, les ficelles sont tellement grosses qu'il ne faudra pas longtemps au lecteur pour avoir certains doutes. Dommage.



Mais si ce manque d'originalité dans la construction de sa trame principale empêche Maudit Graal d'être meilleur que son prédécesseur, à côté de ça, il en gomme les principaux défauts.

Si Anthony Horowitz n'a rien perdu de son humour et de ses idées loufoques (bien au contraire!) ils sont cette fois-ci mieux dosés et exploités à bon escient. Les parents de David sont toujours aussi... spéciaux mais l'auteur ne tombe pas à nouveau dans le malaisant. C'est ailleurs qu'il fait étalage de son génie créatif, toujours plus too much, toujours plus WTF. C'est à se demander où il a été chercher tout ça! Couplé à une maîtrise du suspense toujours aussi irréprochable, il permet à l'auteur de nous servir un final proprement époustouflant.

On appréciera aussi David, effectivement bien changé depuis le premier tome, et pas forcément tout à fait en mieux... mais tellement crédible et humain!



Maudit Graal est donc, paradoxalement, à la fois plus classique et moins inspiré mais aussi plus fou et mieux équilibré que son prédécesseur. Les deux romans sont tellement différents dans leur atmosphère, dans leur type d'intrigue et dans les thèmes abordés qu'il est difficile de les considérer comme un ensemble. Et pourtant, Maudit Graal ne peut se lire (et surtout se comprendre) sans avoir préalablement terminé l'île du Crâne. Et si les deux ouvrages forment un dyptique plutôt étrange, celui-ci n'en reste pas moins plaisant à lire.
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David Eliot, tome 1 : L'Ile du crâne

Lu en primaire, j'en ai encore quelques souvenirs. C'était un des premiers livres que j'ai fini en entier sans m'arrêter en plein milieu. Je me rappelle l'avoir beaucoup apprécié et en avoir parlé de longues minutes à mes parents. Peut-être que je le relirai un beau jour.
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La photo qui tue : Neuf histoires à vous glac..

J'ai lu ce livre car m'a prof de fançais nous l'avait donné à lire je m'attendait à quelque chose de nul; mais ce n'est pas le cas ce livre est bien les histoire sont sypas même si il y en a que j'aime moin. Ca reste un livre bien. ;p
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Le Pouvoir des Cinq, Tome 3 : Nightrise

Dans ce troisième tome de la série, on ne retrouve aucun de nos anciens amis : Matt, Richard, et Pedro dans ce tome mais Jamie et Scott, deux des cinq Gardiens des Portes.

On plonge directement dans la vie terrible de ces deux jumeaux et ensuite, les actions s'enchaînent très rapidement ! Les deux frères sont dans rapidement séparés.

On suit alors Jamie qui trouve de l'aide auprès de gens qui lui sont inconnus mais qui eux sont au courant ou soupçonnent plus ou moins qu'il est quelqu'un de spécial. L'action est donc très présente, entre course-poursuite, fusillades et autres péripéties.

J'ai bien aimé le personnage de Jamie qui, par la force des choses, change rapidement et en bien tant qu'à faire!!

J'ai bien aimé ce tome, d'autant qu'on apprend pas mal de choses sur l'origine des Gardiens et des portes. Ce livre a le pouvoir de toujours laisser du suspense, et dès qu'un problème est résolu, un autre apparaît.

Vivement la suite !
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David Eliot, tome 1 : L'Ile du crâne

On va faire court, je n'ai pas aimé ce livre. Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire, un peu trop tirée par les cheveux à mon goût. Certes, c'est un roman pour enfants (et je n'ai rien contre, j'apprécie beaucoup la littérature de jeunesse), mais je trouve que la qualité n'est pas au rendez-vous. C'est dommage, l'histoire aurait pu être vraiment sympa si elle avait été mieux tournée je pense. Malheureusement, je la trouve bâclée.
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David Eliot, tome 1 : L'Ile du crâne

Je viens de relire ce roman que je me souvenais avoir aimé.

L'écriture est humoristique même si c'est bien un texte fantastique.

On découvre avec jubilation cette école très particulière et ses professeurs extraordinaires en même temps que David et Jill.

J'étais curieuse de découvrir la suite...
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