Ari Folman

tu ne peux pas savoir comme c’est triste d’être témoin de sa solitude sans pouvoir rien faire.

l’amour, c’est comprendre quelqu’un, tenir à quelqu’un, partager bonheur et malheur avec lui.

comme elle a dû se sentir seule, si seule malgré notre présence. un être peut se sentir seul, malgré l’amour des autres, s’il n’est le « préféré » de personne.

il est trop tard, je ne peux plus rien changer, plus rien réparer des erreurs que j’ai faites.

mais j’ai appris au moins une chose, celle-ci : on ne connaît vraiment les gens qu’après avoir eu une bonne dispute avec eux, alors seulement on peut juger de leur caractère !

Chère Kitty, à présent, je suis pleine d'espoir, enfin tout va bien. Tout va même très bien! Superbes nouvelles! On a tenté d'assassiner Hitler.

En avril, c'est le FHR: Festival des Haricots Rouges! Haricots dans mon corps, dans mon esprit, dans mon âme. Imagine: si le monde entier ne se nourrissait que de haricots...

Toi, notre benjamine, qui pourtant n'est plus une enfant,
Tu n'as pas la vie facile;

C'est l'histoire d une jeune fille ,Anne frank qui est née le 12 juin 1929 en Allemagne . sa famille quitte l'Allemagne pour les pays bas .Anne et sa soeur Margot ont une enfance heureuse
jusqu'en 1942. La famille frank se cache dans un appartement avec d'autre clandestin, pendant cette période Anne écrit sont journal quelle va appeler KITTY . cette famille juive vit une période difficile . Le 4 aout 1944 la famille est arretée puis déportée . Otto frank, le père de Anne est le seul a avoir survécu aux camps de concentrations.
Anne meurt du typhus en février ou mars 1945.

Les chagrins d'amour sont longs à cicatriser. Mais une petite guerre accélère bien le processus...

Se faire fusiller au nom de l'amour, ce serait pourtant une belle façon d'en finir.

- J'ai envie d'aller aux toilettes.
- Moi aussi, mais avec toutes ces restrictions, j'ai peur que ce soit interdit...

I. Le fameux journal d’Anne Frank

II. Pour Ari Folman «Le journal d’Anne Frank», sorti en 2017, n’est pas son premier roman car en 2009 il sort un livre appelé «Valse avec Bachir». En 2009, il a aussi eu le césar du meilleur film étranger avec le film «Valse avec Bachir», sorti en 2008.

III. Le personnage principal est Anne, une jeune fille juive âgée d’environ 13 ans. Elle a les cheveux noir, au carré, elle est fine, plutôt grande. Elle aime rester toute seule mais aussi partager des moments avec des gens de son entourage.

Anne Frank vit sa jeunesse à l’époque de la deuxième Guerre Mondiale. Elle et sa famille se cachent dans une annexe avec une autre famille de trois personnes et un homme. En tout, ils sont huit dans l’annexe.

Avant la deuxième Guerre Mondiale, cette famille juive mène une vie paisible en Allemagne. Pendant la guerre, Anne et sa famille décident de partir en Hollande croyant que là-bas ils vivraient paisiblement.
Au bout d’un certain temps, les Allemands nazis arrivent en Hollande. Obligés de se cacher ils partent de chez eux laissant un mot laissant croire qu’ils partent en Suisse. En réalité, ils se cachent à l’ancien lieu de travail de son père; dans une annexe secrète. Au fil du temps, la nourriture se fait rare.
Anne a un carnet où elle note ses journées.

Ce genre de livre est à la fois une BD et un roman. Certaines pages sont écrites en BD et d’autres sont écrites comme un roman. C’est un livre de culture générale qui parle de la deuxième Guerre Mondiale.

IV. Ce livre m’a plu car il est émouvant, triste et j’avais toujours hâte de lire la suite. L’histoire est dur. Ce livre procure des émotions fortes. Il est facile à comprendre et à lire. Il permet de comprendre l’époque de la deuxième Guerre Mondiale.

Je lui met la note de 5 sur 5.

V. Je recommande ce livre pour ceux qui aiment les histoires vraies et les histoires tristes.

VI. La page 146-147 de ce livre ma plus.

Elsa

"Le journal d'Anne Frank" Critique

“Le journal d’Anne Frank” a été écrit par Ari Folman et illustré par David Polonsky.
C’est une BD. Elle raconte l’histoire de Anne Frank, une jeune juive au temps de la guerre, qui doit se cacher dans “l’annexe” avec ses parents, sa sœur et la famille Van Daan.
J’aime bien les histoires au temps de la guerre et en plus sous forme de journal intime.Je recommande ce livre pour les personnes qui aiment la guerre et les histoires vraies.J'ai bien aimé la page 32 et 127.

Lucie.C

Toi notre benjamine, qui pourtant n’es plus une enfant,
Tu n’as pas la vie facile ; chacun prétend te faire la leçon, à ton grand dam : « tu peux en croire notre expérience ! » « Nous savons tout, fais-nous confiance, et connaissons les bonnes manières. » Voilà ton lot depuis l’année dernière. De ses propres défauts nul n’est jamais gêné, ainsi a-t-on beau jeu de te morigéner. Les fautes d’autrui, elles pèsent lourd et nous, tes parents, ne pouvons pas toujours régler les différends avec sérénité : Reprendre les ainés passe pour déplacé. Est-on parmi de vieux barbons qu’il faut gober tous leurs sermons. Comme on prend une amère potion ; c’est pour garder la paix de la maison. Les mois passés ici ne seront pas perdus, toi-même tu ne l’aurais pas voulu, mais quand toujours on apprend et on lit, on aurait bien du mal à découvrir l’ennui. Mais voilà une autre question, pire tourment : « que vais-je mettre ? Mes vêtements sont trop petits. Je n’ai plus de pantalon, mon chemisier est grand comme un napperon. Et mes chaussures, comme elles me blessent, tout me torture, quelle tristesse !

Mais ton hallucination est réelle, c'est la tienne. Tu veux que je te l'explique ? Dans les rêves, la mer symbolise la peur, les sentiments. Le massacre te fait peur. Tu l'as englouti sous l'eau.

Pour les nazis, les juifs étaient la cause de tous les maux. Lorsqu'ils ont pris le pouvoir, ils se sont fixé pour objectif d'éliminer les juifs de la société allemande - alors qu'ils représentaient moins de 1% de la population.

Il m’est impossible d’être tout miel un jour et de leur cracher ma haine au visage le lendemain. Je choisis plutôt le juste milieu, qui n’a rien de juste, je tais ce que je pense et j’essaie de les mépriser autant qu’ils me méprisent.

Richesse, considération, on peut tout perdre, mais ce bonheur au fond du cœur, il ne peut guère qu'être voilé et il saura nous rendre heureux, aussi longtemps que l'on vivra.

Je vois comment le monde se transforme lentement en un désert, j'entends plus fort, toujours plus fort, le grondement du tonnerre qui approche et nous tuera, nous aussi, je ressens la souffrance de millions de personnes et pourtant quand je regarde le ciel, je pense que tout finira par s'arranger, que toute cette cruauté aura une fin et que le calme et la paix reviendront régner sur le monde.

A quoi bon, oh à quoi bon cette guerre, pourquoi les gens ne peuvent-ils vivre en paix, pourquoi faut-il tout anéantir?
Il y a tout simplement chez les hommes un besoin de ravager, un besoin de frapper à mort, d'assassiner et de s'enivrer de violence.