Barbara Constantine

Lu en 2017 (date de publication).

Des témoignages tendres et émouvants, parfois durs mais jamais larmoyants. Un joli petit recueil illustré de montages photos, rendant hommage à celles et ceux à qui l'on ne donne plus forcément la parole, qu'on n'écoute plus, qu'on oublie, que l'on ne visite jamais.

J’ai trouvé cette histoire magnifique.

nous suivons Tom à travers les potagers de ses voisins, à travers les rencontres qu’il va faire, à travers les yeux de sa mère.

Joss, cette jeune mère célibataire qui n’a pas reçu les codes pour élever son enfant, mais qui a la force et la volonté de changer son destin.

Lu en 2018. Il ne faut pas s'arrêter au titre enfantin car il se cache derrière un roman plutôt doux-amer.

J'avais lu ce livre d'une traite grâce au ton enlevé et au rythme narratif, car tout ce que sous-tend le récit de triste et de révoltant est compensé par la spontanéité, la tendresse, l'humour et le partage. Et même si tout ne semble pas toujours crédible, c'est un joli message d'amour et d'espoir qui l'emporte au final. (dès 13-14 ans)

Si je devais étiqueter ce roman j'emploierais les termes de tendresse, amour, humour, générosité, amitié, partage et bonheur de vivre même si la route s'achève ..



Mélie que j'aurais aimé vous connaître, partager avec vous ne serait-ce qu'un moment, sourire de vous voir aussi lumineuse, partager un moment avec Clara et Antoine, Fanette et Gérard , Marcel et Pedro et tous les autres...

sans oublier une caresse à Léon(e).



Merci pour ce roman truculent et tendre grâce à vous je me suis endormie le sourire aux lèvres.

Que j'ai aimé relire ce livre lu il y a une montagne d'années.

C'est une très jolie histoire , il y a de la tristesse de l'amour de la tendresse

je vais redécouvrir Barbara Constantine çà c'est sûr.

C'est très facile à lire c'est la vie de tous les jours.

Du baume au coeur...



Ferdinand vit seul dans sa ferme. Un jour, il passe chez sa voisine Marceline et constate que son toit est sur le point de s'écrouler. Il va alors proposer de l'héberger en attendant les réparations.

Guy connaît Ferdinand depuis toujours. Alors quand il devient veuf et sombre dans la dépression, Ferdinand propose à son vieil ami de le rejoindre à la ferme. De fil en aiguille, la ferme va se remplir, s'agiter, recommencer à fonctionner. Emménageront ensuite deux très vieilles dames affolées, des étudiants un peu paumés, un amour naissant, des animaux. Et puis, Paulette....



Voilà une petite histoire mignonne qui fait du bien ! Une ferme qui abrite des vieux, des jeunes, des animaux, une histoire d'amour, des amitiés naissantes et des amitiés de toujours... c'est une drôle de colocation ! Mais c'est une colocation qui fonctionne !

Car dans la ferme de Ferdinand, on répare les non seulement les cœurs mais aussi les solitudes, et surtout, on redonne le goût du vivre ensemble.



Si vous avez besoin d'une histoire douce comme un bonbon au miel, je vous recommande ce livre. La plume de Barbara Constantine est très attendrissante à l'égard de ces personnages. Les thèmes abordés sont nombreux : la solidarité, l'amitié, la famille, la cohabitation, les relations intergénérationnelles etc...

Je me suis très rapidement attachée à ce petit Tom … mais j’ai eu beaucoup de mal avec le style de l’auteure . Les personnages sont attachants mais y a un petit truc qui m’a gêné tout au long de ma lecture et j’ai été très déçue par la fin . C’est donc un bilan mitigé .

Voici un roman plein de charme, autour de l'âge et de l'enfance, de la transmission, de l'amour.



Mélie, 72 ans, va recevoir sa petite fille chez elle, à la campagne, et pour profiter de ces instants, elle va refuser de s'alarmer sur son propre état de santé.



Il ne se passe pas grand-chose, et pourtant, on se laisse bercer par cette histoire sous forme de roman choral, par cette succession de petits bonheurs qui font que la vie mérite d'être vécue.

Les personnages sont très attachants, ils découvrent l'amour que ce soit à l'aube de la vie ou sur sa fin.



C'est bien plus profond qu'un roman feel-good (je n'accroche pas à ce genre), c'est plutôt une pastille sucrée qui fait du bien, le temps d'une lecture, l'après-midi au soleil.

J’ai découvert Barbara Constantine avec Tom, petit Tom, ... que j’avais beaucoup aimé. Et j’ai retrouvé avec le même plaisir cet univers simple, empli d’amour et de tendresse, ... un univers qui donne le sourire et fait pétiller le regard ! Une bouffée d’air frais et d’optimisme comme on en parfois besoin !



Dans ce roman, Ferdinand, un papy gâteau qui vit seul dans une grande ferme, va se trouver entraîné un peu malgré lui à ouvrir sa porte et sa maison à d’autres : sa voisine, dont la propre maison aurait bien besoin de travaux ; son ami de toujours, devenu veuf ; deux très vieilles dames qui sont tout l’une pour l’autre ; une jeune apprentie-infirmière ; un étudiant enjoué... Une joyeuse troupe, des personnalités différentes qui vont s’accrocher, s’accorder, s’apprivoiser et apprendre à vivre ensemble. Sans oublier les Lulus, les 2 petits-fils de Ferdinand, et puis, Paulette... !



Voilà donc un roman bien écrit, tout mignon, une lecture facile et rapide, sur des sujets actuels et touchants, sur la solidarité, l’entraide, sur le mélange des générations et ce qui peut en ressortir de beau et de bon ! Un roman ponctué d’humour, saupoudré de drames et d’un peu de tristesse, mais qui déborde d’optimisme et de bonheur ! Bref, une lecture qui fait un bien fou, que l’on referme un sourire aux lèvres et au cœur !

Petit Tom à la couverture vert pomme. Pourquoi ce roman est-il si court ? Quel dommage, j'en voulais encore. Je me suis attachée aux personnages très rapidement, tellement cabossés par la vie et pourtant j'ai bien ri car c'est très touchant mais aussi très drôle. A lire absolument !

Je découvre l'autrice avec ce livre. J'ai beaucoup aimé les personnages qui sont très attachants. C'est une lecture drôle et qui met en valeur les seniors ou plutôt les "viocs" comme dirait Barbara Constantine. L'ouvrage se dévore en deux, trois jours.

Quand j'ai lu la préface, j'avais un peu peur de la partie mélo drame. Mais ce livre m'a agréablement surprise. On y aborde quasiment pas le cloud du sujet... Bien au contraire c'est super attendrissant. Je me vois avec ma grand mère. Elle aura 85 ans cette année et comme les personnages du livre, je profite de chaque instant que je passe a ec elle comme si demain elle n'était plus là...

J'ai lu plusieurs romans de Barbara Constantine dont le fameux "Tom, petit homme, Tom" que j'ai adoré. Puis l'auteur semble avoir disparu de la circulation.



Et puis, voilà que je tombe sur ce livre-ci. J'ai aussitôt lu la quatrième de couverture pour voir de quoi il s'agissait.



Ce n'est pas un roman, mais l'histoire de gens comme vous et moi ou plutôt comme nos parents ou grands-parents vivant tous dans une maison de retraite.



L'auteure a rencontré quelques-unes de ces personnes qui ont eu une vie ordinaire, certes, mais tellement différentes les unes des autres. Pas d'enfants pour l'un, huit pour l'autre. Un long mariage heureux pour l'une, un mariage coupé par la guerre ou la maladie et la mort pour une autre. Des souvenirs heureux ou malheureux, mais touchants. La guerre en filigrane pour la plupart de ces octo - voire nonagénaires.



Des rencontres touchantes.



Entre la sortie de ce livre et sa sortie en poche, il s'est écoulé un certain temps pendant lequel plusieurs de ces personnes sont décédées. Ma mère va avoir 90 ans et est en maison de retraite. Tout ça me fait peur et quand je vois comment certains finissent leur vie, j'ai très peur de vieillir. Vivre dans ces conditions? Pourquoi?



Je remarque que vivre en maison de retraite, c'est très bien lorsqu'on est encore un peu valide, mais lorsqu'on a besoin de soins constants, ce n'est pas mieux qu'un long séjour en clinique !



Avec les progrès de la médecine, les gens vivent de plus en plus vieux, mais dans quel état? Je m'interroge donc sur le bien-fondé de ces progrès...
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La petite fille qui m'a vendu ce livre lors d'une brocante m'a dit : "C'est plutôt pour les adultes". Je ne sais pas si ça voulait dire qu'elle n'avait pas beaucoup aimé. Un roman jeunesse pour les adultes donc.



Je l'ai acheté, j'ai eu envie de le lire tout de suite et j'ai passé un très bon moment. Ce fut un de mes coups de cœur 2011.



Tom a 11 ans, sa mère en a 24, 24 et 3/4 en fait. Faites le compte. Joss était ado quand elle a donné naissance à Tom. Depuis peu, elle habite avec lui dans un mobil-home. Il lui apprend l'orthographe, elle veut passer son BAC et devenir infirmière. En attendant, pour vivre, il faut se débrouiller. Tom pique des légumes dans le jardin des voisins. Ceux-ci en sont tout à fait conscients mais le laissent faire, l'encouragent même.



Un jour, Tom rencontre Madeleine, une vieille dame seule qui vit avec un vieux chien et un vieux chat. Madeleine est emmenée à l'hôpital. Tom promet de s'occuper des animaux.



Tom rencontre son père ce qui ne plait pas forcément à Joss qui aurait préféré l'oublier pourtant...



Je ne vous raconte pas tout. Si vous ne l'avez pas lu, n'hésitez pas. Je suis sûr que vous allez adorer.



Tom est un garçon irréel, un garçon tout ce qu'il y a de gentil, serviable, bon, sans défauts. Un garçon qui ne peut pas exister dans la vraie vie mais qui nous permet de rêver et c'est si bon le rêve! Rien n'est crédible dans ce qu'il fait, aucun enfant n'agirait comme ça mais je dirais que je m'en fous. Tom fait partie d'un monde imaginaire et sa maman (Barbara Constantine) avait le droit de l'imaginer comme elle le voulait!



Le style de l'auteure peut ne pas plaire à tout le monde. C'est une écriture assez enfantine (pourtant Tom n'est pas le narrateur) mais le livre est destiné à un jeune lectorat. On retrouve aussi, par endroits, quelques mots qui peuvent "choquer".



Bon, moi, je ne trouve pas de défauts à ce livre et je lui mets la note de 5/5.



PS Quand vous rencontrerez Tom (lors de votre lecture), remettez-lui mes meilleurs souvenirs.
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Pour ce livre, je vous donne le ton directement : Quelle déception!



Alors que j'avais adoré, du même auteur, "Tom, petit homme" au point que j'en avais fait mon coup de cœur 2011, que j'avais beaucoup aimé "A Mélie sans mélo", voilà que j'ai arrêté la lecture de ce troisième livre en ayant l'impression de perdre mon temps.



J'ai lu des critiques élogieuses de ce livre qui fait pleurer, rire, ... Moi, il m'a laissé de marbre pour ne pas dire agacé.



Comment résumer cette histoire qui, pour moi, est quasi inexistante? Je laisserai la parole à un journaliste du Nouvel Observateur dont l'avis est noté sur la quatrième de couverture :



"En 70 chapitres courts, ce petit livre loufoque est un chassé-croisé de doux-dingues cabossés par la vie et qu'on finit par trouver attachants."



Doux-dingues, certainement et ce n'est pas mon trip mais attachants, il fallait sans doute que je lise le livre jusqu'au bout pour m'en rendre compte.



J'ai quand même lu 150 pages et je me suis arrêté au moment où je me suis dit que ce livre ne m'apportait rien et que je perdais donc mon temps.



Pour moi, les chapitres sont trop courts, Barbara Constantine saute du coq à l'âne, il y a trop de personnages qui n'ont aucun rapport entre eux au point que je me demandais souvent de qui elle parlait, certaines situations ne me semblent pas crédibles. Bref, vous l'aurez compris, je ne trouve rien de positif à ce livre et je suis donc fortement déçu.
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Après avoir lu et adoré "Tom, petit homme", j'avais hâte de retrouver Barbara Constantine pour voir si la magie opérait à nouveau. J'en ai donc acheté deux autres et j'ai lu "A Mélie, sans mélo" en très peu de temps.



J'ai aimé, oui, mais pas autant que le premier. Des coups de coeur, on n'en a pas tous les jours.



J'ai pourtant beaucoup aimé les personnages rencontrés dans ce roman : Mélie, 72 ans, qui vient d'apprendre qu'elle a un gros problème de santé et Clara, sa petite-fille qui vient passer l'été chez elle. C'est pour cette raison que Mélie ne cherche pas à savoir ce qu'elle a, elle veut passer un été (le dernier?) extraordinaire avec la petite.



On trouve également Marcel, amoureux de Mélie depuis toujours mais qui n'a jamais osé lui déclarer sa flamme. Et si le moment était enfin venu?



Il y a ensuite la mère de Clara qui renoue avec un ancien mari, un ancien amant de celle-ci qui est le parrain de la petite et qui l'emmène avec lui passer quelques jours inoubliables et puis, Antoine, le premier amoureux de Clara qui vient passer quelques jours avec elle chez sa grand-mère.



Bref, tout un tas de personnages gravitent autour de Mélie et on se surprend à les aimer tous et à souhaiter le meilleur pour eux.



Un livre à mettre entre toutes les mains.
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Tom n’a que onze ans et pourtant déjà une très grande maturité. Ce petit bonhomme doit souvent se débrouiller tout seul, sa maman Joss n’étant pas toujours très responsable, l’ayant eu très jeune, portant le poids de son passé, de sa poitrine trop généreuse qui la complexe et des difficultés financières qui l’accablent.



Tom va régulièrement chaparder des légumes dans les jardins alentours pour pouvoir se nourrir, lui et sa mère. C’est à l’occasion d’un énième petit vol que Tom va rencontrer Madeleine, 93 ans, tombée dans son potager.



C’est un joli roman sur les liens intergénérationnels, sur le pouvoir de l’empathie et de l’entraide. Je l’ai lu d’une traite même si l’autrice verse parfois dans les grosses ficelles, les coïncidences faciles et la caricature, c’est une lecture que j’ai beaucoup appréciée. Un roman sans prétention, qui se lit vite et qui a le mérite de réchauffer le cœur.

J'ai découvert l'auteure avec "Tom, petit homme" que j'ai adoré, un véritable coup de cœur. Ensuite j'ai lu "A Mélie, sans Mélo" que j'ai bien aimé. J'ai enchainé avec "Allumer le chat" que j'ai détesté, je l'ai abandonné en cours de route. Et voici "Et puis, Paulette..." dont j'attendais la parution en poche.



Je l'ai commencé avec une petite appréhension vu ma mauvaise expérience avec "Tuer le chat". J'ai d'abord été très attiré par la couverture qui me plait beaucoup.



Dès les premières pages, je me suis dit que la mayonnaise prenait et j'ai lu ce bouquin assez rapidement.



J'ai assez de mal à en parler. Il ne se passe rien d'extraordinaire dans ce roman, pas de suspense, pas de grande histoire d'amour, pas de grands secrets révélés, ... Et pourtant, mon avis est positif même si ce 4e roman de Barbara Constantine ne rejoindra pas ma liste des grands coups de cœur.



C'est un bouquin que j'ai qualifié de "gentil"; ça veut dire qu'on ne s'y ennuie pas, qu'il est agréable à lire, qu'il se lit facilement et j'ajouterais qu'il a dû s'écrire facilement aussi.



L'histoire?



Une grande maison vide qui ne demande qu'à se remplir de gens très différents, de gens de tout âge et de toute condition, une cohabitation qui se passe sans heurts, un mélange de générations.



Ferdinand vit seul dans sa grande ferme depuis la mort de sa femme avec qui ce n'était pas vraiment le grand amour. Son fils, sa belle-fille et les deux Lulus (ses petits-enfants Lucien et Ludovic) sont partis depuis peu. Marceline, sa voisine, découvre que le toit de sa maison est sur le point de s'effondrer et elle n'a pas vraiment de quoi le faire réparer. Et si Marceline venait habiter à la ferme? Et hop! la maison revit avec l'arrivée de la vieille dame.



Guy et Gaby formaient un couple heureux. Depuis la mort de son épouse, l'ami d'enfance de Ferdinand dépérit. On ne peut pas le laisser seul. Et hop! une troisième personne vient remplir la maison.



La vieille ferme ne deviendra pas seulement une communauté de vieux car de jeunes gens, un peu blessés par la vie viendront ajouter un peu de piment dans la vie communautaire.



Et puis Paulette...tout à la fin du récit.



Un livre qu'on lit avec un certain plaisir même si ce n'est pas de la grande littérature et si je n'adhère pas complètement au style de l'auteure.

"Et puis Paulette", de la même autrice, étant un agréable souvenir de lecture pleine de fraîcheur, d'amitié et d'humanité, "Tom..." avait investi ma PAL, sans que je me donne la peine d'aller à sa rencontre. Ayant envie d'une lecture bienfaisante, il s'est naturellement frayé un chemin jusqu'à moi.

Je ne me suis pas trompée dans mon choix. Le style de Barbara Constantine est toujours aussi sympathique et amusant, peignant des gens ordinaires, tout en évoquant des thèmes pas toujours faciles, comme la solitude, l'abandon, la maltraitance, mais aussi la bienveillance, la famille, le repentir, la responsabilisation, la solidarité, etc. Pour moi, c'est un feel-good qui a quelque chose à dire et qui le fait avec beaucoup d'élégance et d'intelligence.



Ce petit livre de 215 pages est d'une grande humanité. L'autrice accomplit la prouesse d'aborder des sujets de façon claire et précise, comme une opération au scalpel, sans s'embarrasser de superflu. Elle ne cède jamais à la facilité de proposer des descriptions graveleuses et ennuyeuses, assez à la mode aujourd'hui, dans le seul but de noircir des pages pour augmenter le volume du bouquin en perdant l'intérêt de son sujet, et par là même, celui de la lectrice que je suis. Le petit Tom a forcé mon admiration par sa maturité, quelquefois déroutante, et par sa débrouillardise. C'est avec un peu de regret que je l'ai laissé poursuivre son chemin, sans beaucoup m'inquiéter pour son avenir.



Ce roman est une lecture détente de qualité sans prétention que tout public, jeune comme "averti", peut avoir plaisir à découvrir ou à relire pendant des moments compliqués comme seule la vie peut réserver.

Une belle histoire de colocation hétéroclite inattendue. Tous les personnages sont attachants, et évoluent ensemble pour aller vers le mieux. Cela nous montre aussi que dans les moment difficiles le contact avec les autres nous sort de nos idées noires. Barbara Constantine écrit avec cette légèreté qui fait que l'on ne peut plus s'arrêter de lire, et on aimerait une suite!