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Citations de Benjamin Whitmer (446)


Il y a des gens qui aiment penser que le monde est devenu meilleur pour telle ou telle raison, mais ça ne vous renseigne pas sur le monde, ça vous renseigne seulement sur eux. La somme des souffrances dans le monde ne varie pas. Je ne pense même pas qu'elle connaisse de marées. Rien ne change sinon les circonstances.
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Les choix qu’un homme peut faire sont ce qui fait l’homme qu’il est.
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Ce monde n'est pas fait pour que vous vous en évadiez. Ce monde est fait pour tenir votre cœur captif le temps qu'il faut pour le broyer.
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À ce que Jim sait du monde, personne ne s'améliore jamais.
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Ce monde n'est pas fait pour que vous vous en évadiez. Ce monde est fait pour tenir votre cœur captif le temps qu'il faut pour le broyer.
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Rien n'égale la violence que les gens comme il faut sont capables d'exercer au nom de la préservation de la vie comme il faut.
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Elle a l'air de s'être maquillée à l'aide d'un miroir tordu juste ce qu'il faut pour que tout se retrouve décalé d'un demi-centimètre. Mais ce n'est pas le maquillage. Le visage de Patsy a été plus souvent refait que la carburateur du pick-up de Dayton.
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- Un homme peut vous dire ce qu’il veut. Mais ce qui compte, ce n’est jamais ce qu’il vous dit. Ce qu’il veut se cache dans ce que vous le voyez faire. Et pas ailleurs. Le reste n’est que du bavardage.
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- Vous avez déjà vu un homme adulte pleurer?
- Pas depuis le jour où j'ai planté une fourchette dans le cou de mon père, dit Cole.
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Dans le centre-ville, des hommes en cravate se pressaient les uns contre les autres pour monter dans les trams en disant des trucs débiles comme "Je vous prie de m'excuser" ou "Comment allez-vous ?". Dans le centre-ville, des femmes à taille de guêpe marchaient à petits pas sur les trottoirs, coiffées de chapeaux à plume. J'aurais donné n'importe quoi pour voir tous ces gens-là se nourrir comme nous de poules sauvages et de cactus. Il n'y en avait pas un seul capable de tenir dix minutes sans vivre sur le dos de quelqu'un d'autre.
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Comment a t-il pu faire pour se retrouver coincé avec une femme qui le méprise et un jeune gars qui l'étriperait s'il le pouvait?
Mais ce n'est pas la question. Comment se retrouve-t-on coincé dans une vie qu'on n'a jamais voulue? Voilà la vraie question. Elle n'a qu'une seule réponse. Personne ne vit la vie qu'il a voulue.
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Putain, mais comment fait-on pour se frayer des chemins qui finissent aussi mal ?
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Ce gosse se consume de l'intérieur, n'importe qui peut le voir. Il vient d'une tribu radicalement privée de calme. Ils étaient partout, les uns sur les autres, et marchaient à l'agressivité comme un moteur roule à l'essence, à se courser dans la maison et à s'affronter les uns les autres en une série sans fin de petites haines et collisions mineures. Ce gosse fait ce qu'il peut pour adoucir le bruit avec lequel ils l'ont rempli, apaiser leurs brûlures, oublier leurs suicides. Mais il n'existe pas encore de drogue pour ça.
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- Merde je suis aimant. J'entretiens sa pelouse. Je la tonds. Je la garde humide.
Rory le fixe.
- Je laboure son lopin. Je débroussaille son petit jardin de derrière.
- Encore une comme ça, dit Rory, et je t'abats.
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C'est drôle, tous les anciens détenus ont un truc en commun : ils ont tiré leur temps, alors que vous tous, vous avez le vôtre à tirer.
Merle Haggard
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Le pire, c'est qu'un divorce intéressant, ça n'existe pas, ça n'existera jamais. C'est la chose la plus chiante au monde, mais quand vous êtes en plein dedans il n'y a rien d'autre qui compte. Ça vous suce le cerveau par les oreilles et vous pousse à vous haïr vous-même.
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C'est pas possible qu'ils aiment vraiment vivre comme ça. C'est pas possible qu'ils jugent que c'est une vie qui peut valoir le coup d'une manière ou d'une autre.
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- le truc qui me sidère, c’est que maintenant t’as même plus le droit de fumer une putain de clope dans un bar. A l’époque, tu pouvais descendre la rue avec une chatte de femme plantée au bout d’une pique, et maintenant on te traite de pédophile si tu fumes dans un bar.
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Le soleil s’est couché et il ne reste plus rien à voir du crépuscule. Ce qui ne signifie pas que ce soit déjà tout à fait la nuit noire. C’est un truc que Stanley a l’âge d’avoir appris. Les choses deviennent toujours plus noires. Quiconque n’a pas compris ça vit dans un autre monde.
Ou bien est un gamin.
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C’est ça qu’il voulait vraiment me montrer que, quand tout le reste a disparu, la marche, en elle-même, peut vous sauver.
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