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3.62/5 (sur 620 notes)

Nationalité : Suède
Né(e) à : Jönköping , 1953
Biographie :

Björn Larsson est un écrivain suédois et professeur de littérature française à l'université de Lund, en Suède.

Il a vécu aux États-Unis, en France et en Irlande, dont six ans à bord d’un bateau à voile, le Rustica. Navigateur chevronné, il a parcouru les mers du Nord de l’Ecosse à l’Irlande, du pays de Galles à la Bretagne et à la Galice.

Björn Larsson est aussi traducteur du danois, de l’anglais et du français, philologue et critique.

Il a commencé l’exercice du métier d’écrivain en 1980, en publiant un recueil de récits, et a fait éditer son premier roman en 1992.

"Le Capitaine des rêves", paru en 1999, lui a valu le prix Médicis étranger. Parcourue par les thèmes de la mer et du voyage, son œuvre éclectique révèle une justesse et une finesse d’esprit remarquable.

"Le Cercle celtique" (Denoël), "Le Mauvais Œil" (Grasset, 2001) et "La Véritable Histoire d'Inga Andersson" (Grasset, 2004) ont touché un large public.

Il a écrit "Besoin de liberté" (Seuil, 2006), directement en français. Il publie, en 2009, un recueil de nouvelles, "Le rêve du philologue".

Avec "Le choix de Martin Brenner" (2018), il aborde d'une façon originale le problème de la judéité et du fanatisme, antisémite ou religieux.

Björn Larsson est membre du jury du prix Nicolas Bouvier et du Prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes.

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Source : www.etonnants-voyageurs.com
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Citations et extraits (289) Voir plus Ajouter une citation
Il n'est pas facile de capter le bonheur, quand on est entouré de gens qui ne sont que des êtres de raison bourrés de bon sens.
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Un autre français, Bernard Lavilliers, reprend les mots des Anciens dans l'un de ses textes les plus suggestifs : « il y a trois sortes de gens : les morts, les vivants et ceux qui sont en mer. »
C'est beau, mais est-ce la vérité ?
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Un optimiste n'est jamais totalement agréablement surpris. Un pessimiste a déjà tellement anticipé ses malheurs futurs que la joie suffit à peine à regagner le terrain perdu, si son pessimisme se révèle infondé.
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L'identité n'existe pas dans les yeux. On ne la retrouve qu'au moment où l'on détourne le regard.
En même temps, le fait de se laisser aller dans les yeux de quelqu'un d'autre, de disparaître et d'être englouti par eux, présente un charme et une fascination illimités.
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Torben m'avait raconté que les Celtes, tout comme les Groenlandais, organisaient des compétitions de poésie. Ils se défiaient mutuellement et, avec les mots comme armes, ils combattaient jusqu'aux larmes, aux cris et à la sueur. Ce n'était pas un jeu pour épater la galerie, mais quelque chose de terriblement sérieux, qui pouvait pousser le perdant au suicide. Le vainqueur gagnait pouvoir et influence, le vaincu, humiliation et mépris.
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Parfois, elle parvenait à croire qu'elle pourrait être heureuse, dans un avenir lointain. Peut-être même en compagnie d'un homme.
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Qui aurait pu croire que c'était cela qu'il fallait ? L'histoire mouvementée et véridique de Long John Silver, Barbecue pour ses amis, si tant est qu'il en ait eu, et pour ses ennemis qui, eux, ne manquaient pas. Foin des bouffonneries et des chimères. Foin des leurres et des bluffes. Cartes sur table pour la première fois. Rien que la vérité, du haut en bas, sans arrière-pensée ni coups fourrés. Ce qui s'est passé et rien d'autre.
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Il était tout à fait certain que la beauté que l'on choisissait de louer et de faire sienne était intimement liée au genre d'être humaim que l'on était. L'esthétique n'était pas innocente, comme on disait, le goût n'était pas plus relatif ou subjectif que l'être lui-même.
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Pour pouvoir réaliser mon rêve, j'avais porté une cravate et pointé des années durant, et je ne connais rien de plus humiliant que de devoir pointer à une horloge seulement pour pouvoir gagner de l'argent.
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L’époque où les maisons d’édition venaient en aide aux écrivains prometteurs pour qu’ils aient le temps de mûrir et d’affermir leur talent, cette époque-là est révolue.
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