Bruno Gazzotti

Et voilà le cinquième tome ! Celui qui termine le premier cycle. Pour l’instant, le meilleur de la série. Beaucoup de mystères sont révélés, les choses sérieuses s’enclenchant vraiment et j’espère que le cycle deux restera sur ce rythme.



Je vais attaquer le tome 6 prochainement, car pour la première fois depuis le début de la série, j’ai vraiment envie d’en savoir plus. J’ai le sentiment, qu’avec ce tome, la série à passé un cap, en devenant plus sombre, plus sérieuse.



Vite, la suite !

Nous retrouvons nos cinq petits enfants, toujours seuls dans la ville, qui s’organisent tant bien que mal. Après la découverte du premier tome, celui-ci se contente de prolonger la lecture et de développer une peu plus les personnages ainsi que les théories.



Nos jeune héros commencent a se rendre compte dans ce tome, que le danger existe bel et bien, et hormis le plus petits des cinq enfants, les quatre autre gagnent en maturité. On peu dire que les choses sérieuses commencent à se profiler tranquillement.



Quelques scènes d’actions mieux emmenées que lors du premier tome, une intrigue plus profonde qui lance quelques nouvelles théories. Je suis donc d’autant plus conquis par cette série que j’ai vraiment découvert par hasard et dont je n’espérais pas grand chose.



Vivement la suite !

Eh bien voilà, maintenant je suis encore plus frustrée car je ne possède pas les tomes suivants et l'histoire reste aussi énigmatique. Certes, ce dixième tome est assez plaisant car se centrant assez sur les personnages de Terry et du Maître des couteaux qui a enfin un nom grâce à Terry qui l'appelle Koupchou et qui n'est pas aussi méchant qu'il n'en a l'air mais au point de vue de l'histoire, hélas pas beaucoup d'évolution. Koupchou et Terry se retrouvent isolés des autres, coincés ou pour ainsi dire perdus dans un salon...du jouet, le rêve pour Terry vous n'imaginez même pas à quel point mais tout cela ne va pas faire avancer le schmilblick, si ce n'est que Terry a eu une idée assez originale pour une fois, le fait de mourir à nouveau pour que tout ceci s'arrête enfin et qu'ils puissent retrouvent leur vie d'avant, seulement "la machine à démourir" comme il l'a appelé , se calant sur des films qu'il a déjà vus, version Frankenstein lui pose un sérieux problème : et si cela fonctionnait mais qu'il se retrouvait tout simplement réellement morts, à savoir dans leur cimetière d'origine car si ils sont réellement morts, ils ont forcément dû être enterrés, non ? C'est la raison pour laquelle Terry veut y rajouter la magie...de Noël (avouez que c'est une sacrée coïncidence que je lise cet ouvrage juste à ce moment de l'année; non ? Il n'y en a pas, bon tant pis, c'est dans mon imaginaire à moi alors...). Arriveront-ils à mettre leur plan à exécution ? Rien n'est moins sûr...mais de toute façon, ce n'est pas en faisant rien non plus qu'ils trouveront une solution à leur problème alors...



Je ne vous en dit pas plus concernant l'intrigue car, comme je le disais au début de cette critique, celle-ci n'a guère évolué mais toujours est-il que j'ai trouvé cette lecture plaisante avec des graphismes toujours aussi soignés et que je n'ai qu'une hâte désormais, savoir la suite. Un tome qui reste émouvant car le lecteur, grâce à Terry qui est le plus petit de la bande, se rend compte que cette aventure bien plus qu'étrange et terrifiante arrive bel et bien à des gamins qui devraient, à l'heure qu'il est, ne pas penser à comment survivre mais à s'amuser tout simplement et rien de plus ! Gros problème en ce qui me concerne, étant donné que j'ai emprunté les dix tome que la médiathèque dans laquelle je travaille te me ravitaille de temps à autres en bandes dessinées, j'ai bien peur de devoir attendre un long, voire un très long moment, à moins que d'autres possèdent la suite. A voir !

Vous vouliez du dépaysement ? Vous allez être servi ! Ici nos héros ont quitté Fortville pour une destination dont ils ignorent tout. Et ici les révélations sont nombreuses et ce n’est pas un mal. Les questions sur les familles sont grandement abordés, et même si tout n’est pas résolu, on y voit déjà un peu plus clair dans tout ce bazar.



La question de l’enfant minuit est également traité, même si on nous place du point de vue des premières familles (pas facile donc de croire qu’ils sont totalement objectifs).



La concurrence entre Dodji et Saul s’accroit un peu plus au cours de ce volume, car chacun étant un leader dans son camp, ils se retrouvent toujours face à face. Dans d’autres circonstances ils auraient sans doute réussis à s’entendre.



Un petit bémol cependant sur le personnage de Saul. Trop prévisible, du début à la fin. Comme par hasard lorsqu’il arrive dans la nouvelle ville, et qu’on lui apprend ce qu’il est, il semble surpris. Personnellement j’ai trouvé que ça manquait de subtilité. Un blond, qui arrive au pays de blonds (je schématise mais c’est un peu ça..) forcémment, on se doutait de quelque chose.



Un gros manque de subtilité sur ce point là, sans doute est-ce fait pour la lisibilité et la compréhension des plus jeunes. Rien de bien méchant tout de même.



Une agréable lecture, moins stressante que lors du tome 7 mais plus claire, avec plus d’explications et une intrigue bien relancé. Maintenant, le plus dur reste à faire, attendre jusqu’en septembre 2015 pour la sortie du 9eme tome, qui terminera le cycle 2.

J’aime bien cette série, même si elle n'est pas exempt de défauts.



Côté scénario, on entame un 2ème cycle, les interrogations vont encore bon train chez ces enfants livrés à eux-mêmes. Ce qui donne un épisode plus bavard que les précédents, on retrouve de l'action dans la deuxième partie puisque le récit monte en violence avec la séparation de plus en plus nette des deux clans et leur histoire de marquage de territoire.



Cela semble quand même un peu vain, on se demande parfois à quoi sert cette gue-guerre, le terrain de jeu semble assez grand pour que les 2 clans puissent se séparer sans encombre s'ils ne se supportent plus.



Mais c'est une série adaptée pour la jeunesse, le scénario peut sembler naïf par moment, il n'en ai pas moins agréable à suivre et comme il est saupoudré de suspens à intervalle régulier, ça reste addictif.



Le format est toujours un peu trop court mais ça je le répète depuis le début, ça limite beaucoup le développement de l'histoire et c'est bien dommage, il y aurait moyen de faire beaucoup plus.

Nous retrouvons dans ce troisième tome nos petits héros qui sont a présent sur les routes, après avoir quitté leur ville a la fin du dernier tome. Ici les choses vont s’accélérer car très vite ils vont rencontrer d’autres enfant, qui vivent dans un parc d’attraction.



Une vraie communauté semble s’être formé, mais nos héros vont découvrir que sous les belles promesses se cachent des règles très strictes et assez totalitaires.



Comme souvent dans le thème des survivals, on se rend compte que les communauté qui mène soit-disant la vie parfaite, n’ont en réalité rien de parfait, et que le danger vient encore et toujours des autres.



Ici nous suivons des enfants donc on est pas dans le trash que l’on peut trouver dans des séries comme Walking dead, mais tout de même, les thèmes abordés sont intéressants, et travaillés assez subtilement pour ne pas être trop dur pour les plus jeunes lecteurs.



On commence également a en savoir un peu plus sur les possibles origines du phénomène, car certains enfants parviendrais a se souvenir de ce qu’il s’est passé. Je pense qu’avec le prochain tome, les choses vont s’intensifier et devenir encore plus intéressante !

Mon fils de 10 ans, a découvert cette BD depuis 1 an environ, il en avait 2 tomes à la maison, mais pas celui-ci. Après l'avoir trouvé d'occasion, et que mon fiston l'ai lu deux fois d'affilé, j'ai attaqué la lecture de ce premier tome.



Mon registre de BD est plutôt dans le genre humoristique d'habitude, mais je dois avouer que j'ai vraiment accroché à celle-ci. Ces jeunes qui se retrouvent sans adulte, livrés à eux mêmes est une chouette idée.

les auteurs ont su mêler humour et suspense.



Je suis maintenant très intriguée par la suite de cette histoire, et j'ai forcément envie d'en savoir plus.

Alors que nos cinq héros, Dodji, Leïla, Yvan, Terry et Camille ont repris la route à bord du bus et qu'ils croient leur fin proche à cause d'une bande de chien extrêmement dangereux et probablement enragés (ou pire qui les ont encerclés), ils aperçoivent d'autres enfants. Ce qui pensait être leur salut n'est en réalité que d'autre orphelins dirigés par l'un d'entre eux âgé de onze ans, Saul, qui se prétend être leur chef et faire régner l'ordre parmi la tribu. Tous, garçons et filles confondus, ne se souviennent de rien et ont trouvé refuge dans un parc d'attraction. Tout aurait pu être parfait si Saul n'avait pas pris la décision, en tant que chef, d'organiser des mariages arrangés et ce, par le biais d'un tirage au sort. Nos cinq camarades sont prêts à faire beaucoup de choses afin de s'acclimater mais là, cela en est trop pour eux. Après tout, ils ne sont encore que des enfants et ce Saul ressemble plus à un tyran qu'à un simple gamin de onze ans. De plus, il prétend ses souvenir mais de quoi au juste ?



Yvan, de son côté, a lui aussi des visions et si une chose lui semble dorénavant certaine, c'est qu'ils ne doivent pas rester ici mais retourner à Fortville, là où tout a commencé ? Quelles surprises (mauvaises, j'en ai bien peur) les attend là-bas ?



Une saga qui se lit extrêmement vite et bien avec des rebondissements à chaque tome (j'adore) et qui ne se trouvent pas forcément dans le film (j'adore aussi). La suite au prochain numéro...

Décidément, j'aime vraiment beaucoup cette BD, moi qui ne suis pas une grande fan de ce type de lecture, je trouve les aventures de tous ces jeunes gens vraiment passionnante.

Ici , on avance un peu plus dans l'histoire, mais de nouveaux personnages croisent encore le chemin de nos jeunes héros, certains semblent en savoir plus que d'autres.

Le fait que ce tome nous fasse découvrir d'autres enfants, permet de changer l'ambiance, je la trouve un peu moins oppressante, mais la qualité n'en souffre pas, bien au contraire.

A l'heure du grand succès de la dystopie et de la science-fiction jeunesse, cette BD tape en plein dans le mile.

Très bon deuxième tome, le mystère des disparitions s'intensifie. On angoisse, on rit, l'action se mêle à l'humour.

Chaque personnage se dévoile un peu plus, les tensions entre les ados se développent, ils s'autorisent tout ce qui était interdit sous la coupe des adultes: alcool, arme à feu, ils rechignent aux tâches ménagères.

Il rencontre un personnage terrifiant qui cherche à les faire quitter l'hôtel dans lequel ils ont élu domicile.

Décidément la vie est loin d'être si simple sans adulte, le mystère de la disparition laisse donc dans leur esprit place à une certaine angoisse du lendemain.

J'ai souvent vu cette BD à la bibliothèque mais je me suis lancée seulement quand celle-ci a fermé. Cependant, grâce à un accès à des ressources numériques, j'ai pu lire cette BD. Cinq enfants se retrouvent ensemble alors qu'ils erraient dans la ville à la recherche d'autres personnes. En effet, du jour au lendemain, le reste de l'humanité a disparu. Ils cherchent à comprendre ce qu'il se passe et aussi à survivre car le danger, lui, est toujours présent... J'ai trouvé le petit Terry assez insupportable mais j'ai aimé ce groupe de jeunes enfants qui cherchent à survivre dans un contexte particulier. Mais que sont devenus les autres ? Arriveront-ils à trouver de quoi survivre ?

Une BD qui se lit avec plaisir, chaque enfant à son caractère, seul Dodji semble un peu plus mature. J'ai un peu de mal avec le dessin mais ça n'empêche pas d'être accrochée par cette BD. Curieuse de lire la suite !

Un coup d'oeil rapide vers les critiques déjà déposées ici ..et la confirmation que je ne suis pas la seule à avoir trouvé ce tome 10 décevant.

L'histoire n'avance pas et l'intrigue qui met Terry, le plus jeune de la bande au cœur de l'histoire n'est pas franchement intéressante.

Je ne sais pas si les autres tomes qui suivront seront du même jus mais, je sens mon intérêt pour cette Bd mollir et c'est bien dommage car l'idée de départ était sympa.

Changement de décor, nouveaux personnages, éclaircissements du mystère de départ mais qui s'ouvrent sur de nouvelles questions.

Un nouvel univers qui ne sera pas pour autant de tout repos pour nos cinq héros. On s'en serait douté non ?

Voici un album bien dense pour lequel les auteurs semblent avoir pioché à droite à gauche, histoire d'accrocher encore plus les ados à cette série. Dites- le moi si je me trompe mais j'y ai retrouvé l'organisation d'une société par factions style Divergente, l'univers des jeux vidéos (déjà bien utilisé dans les autres tomes), des références à l'Histoire avec des clins d'oeil appuyés à l'Antiquité (d'où le titre " Les Arènes"), des jeux organisés par un état totalitaire qui rappellent un peu Hunger Games, ...bref, ça part un peu dans tous les sens et ça manque un peu d'originalité.

Quand on est morts et qu'on a toujours l'impression d'être vivants, qu'est-ce qu'on peut faire ? Organiser des messes, tomber amoureux, s'approprier des territoires, faire la guerre...

Rien de bien original en soi, finalement...

Cet album offre une pause dans l'avancée du mystère, et s'il commence sur une note humoristique, il s'achève sur des pages qui n'annoncent rien de bon pour nos jeunes héros.

Avec ce tome 7, j'ai envie de dire qu'on rentre dans le vif du sujet !

Finie la petite guéguerre entre clans, il va falloir s'unir pour affronter des dangers bien plus terribles que ceux imaginés par ces chers ados..

La zone rouge s'étend et avec elle, de mystérieux changements apparaissent.

Un album, un peu flippant, qui donne à cette série un caractère beaucoup plus "science-fiction" que les autres et un peu moins "bon enfant".



Cette BD pour la jeunesse a le mérite de me tenir en haleine. Elle se lit facilement et se distingue par son rythme trépidant et par son mélange subtil de suspense et d'humour.

La fin du tome 7 marque indéniablement un tournant certain dans le scénario. Espérons que ce dernier ne s'englue pas trop dans de sombres limbes ...

En quittant la ville poursuivis par une meute de chiens, notre petit groupe tombe sur plusieurs dizaines d'enfants dans un ancien parc d'attractions.

Mais le Saul, jeune garçon qui dirige ces enfants ne parait pas très sympathique... Enfin, une rencontre avec d'autres enfants même si celle-ci ne se passe bien comme prévu. La fin laisse ouverte à plusieurs perspectives sur la suite de l'aventure de notre petit groupe.

Dans ce second tome, le danger arrive sous une forme mystérieuse : une personne masquée recouverte de couteaux. Notre petite équipe n'est donc pas seule à être restée sur Terre depuis l'Evenement. Le problème est que celui-ci n'est du même côté.

L'entente est dilettante au sein du groupe, certains n'aiment l'autorité et refusent celle que semble proposer Dodji. Il y a l'envie de jouer, très présente chez les plus jeunes. Une série sympa mais qui manque un peu d'épaisseur dans leurs aventures... A la fin, il reste une inconnue sur le masqué : quel est donc son but ? pourquoi fait-il cela ? A suivre dans le prochain tome...

On suit à nouveau les aventures de Dodji, Leila, Yvan et Terry qui ont déjà traversé bien des épreuves dans ce monde très étrange que constituent les limbes.



Cependant, ce tome sera surtout celui de Dodji qui doit parcourir une ligne rouge sans jamais s'y éloigner sous peine de sanctions. Il faut la connaissance de Melchior qui va l'aider à lui donner des conseils pour réussir sa mission mais également apporter des éclairages nouveaux sur le fonctionnement de ce monde.



Pour tout dire, cela devient de plus en plus compliqué entre les différentes familles et leurs pouvoirs. Nos héros apprennent qu'ils sont des âmes tigrées et qu'ils ont tous des pouvoirs. Il est vrai qu'on s'en doutait un peu.



On va assister à des retrouvailles qui font du bien dans cette aventure un peu décousue. Il y aura des passages qui font même penser à certaines scènes de Jurassik Park avec le T-Rex.



Bref, il me tarde que cette série qui avait si bien commencé se termine. Je suis un peu las de ce récit sans fin.

Seuls, tome 1: La disparition. Bruno Gazotti et Fabien Vehlmann éditions Dupuis.

Cinq enfants seuls dans la ville. Parents, adultes, frères et soeurs envolés! Alors malgré leur frousse et leur angoisse, ils décident de faire face et de s'unir.

Cinq enfants inventifs, solidaires face à l'adversité. Cinq gamins attachants et débrouillards seuls dans la ville.

L' histoire contée par Fabien Vehlmann plonge le lecteur dans un monde survivaliste parfaitement mis en images par Bruno Gazotti. La série a reçu le prix jeunesse du festival d'Angoulème 2007.

Un grand merci aux éditions Dupuis pour ce partage via NetGalley. Il ne me reste plus qu'à lire la suite de la série , je me réjouis à l'avance .

#Seuls #NetGalleyFrance

Décidément, au fur et à mesure, des tomes, la série de bande dessinée "Seuls", se fait plus étrange, plus sombre et plus ténébreuse, mais pas vraiment moins énigmatique.

Mais n'est-ce pas là tout le plaisir ? Pour moi, en tout cas, l'un des grands bonheurs de cette série de bandes dessinées, tient à tout le mystère, dont sont entourés les personnages, et les événements.

L'histoire demeure relativement solide, et on admire l'inventivité des auteurs, pour créer des éléments bizarres, qui contribuent à renforcer le caractère étrange, de l'histoire.

J'ai beaucoup apprécié, ce nouveau tome de "Seuls". L'histoire traîne toujours en longueur, mais l'inventivité des auteurs, une grande maîtrise de l'ombre et de la lumière, dans certains dessins, l'originalité, de l'histoire, m'ont plu.