Charlotte Bellière

" You may say I'm a dreamer

But I'm not the only one"

John Lennon, Imagine.



Un passeport, un appareil photo, un guide de voyage, près d'une valise, et juste au dessus, la bouille d'une peluche: un bébé hippopotame.





Un cadeau pour Oriane! Regardez ce bébé en train de tendre ses petits bras potelés vers la peluche...





Ensemble, Oriane et son hippo vont vivre mille aventures. Regardez!





L'hippo à califourchon sur Oriane, et leurs ombres projetées sur le mur, ils sont au Sahara, sur un chameau...





Elle court avec lui, et ils sont dans un avion à hélice...Dans un château, ou encore en train de prendre le thé !

Regardez!





Mais un jour, l'hippo ne se réveille pas et ne veut plus jouer. Les adultes ne comprennent rien et disent:

- Il est fatigué? C'est juste une peluche.





Regardez la belle illustration de la couverture! Oriane va demander conseil à un chêne, au soleil, à la lune et même à un hippopotame...

Personne ne sait quoi répondre à la petite fille toute triste, qui demande de l'aide en tendant son doudou.





Mais, voilà un vieux monsieur qui lui parle de rêves et d'imaginaire :

- Il suffit de fermer les yeux et d'imaginer. Imagine!





Derrière le vieux monsieur, Oriane et son hippo, les pages se sont mises à revivre...





La dernière page est étonnante, car elle vous montre... Mais, imaginez donc la suite!





"Un doudou, c'est comme une belle étoile qui veillerait sur ton sommeil." Victoria Universal.

C'est l'histoire d'une vieille dame qui habite au rez-de-chaussée d'un immeuble de cinq étages. Personne ne connaît son nom, alors tout le monde l'appelle la petite vieille du rez-de-chaussée. Pour aller faire ses courses, elle doit traverser la route ; mais comme elle a peur de la circulation, elle a pris l'habitude de glisser sa main dans celle d'un passant pour se faciliter la traversée. Oh bien sûr, les gens sont surpris mais ils l'ont toujours accueillie avec un sourire. Toujours, jusqu'à aujourd'hui… Un homme d'affaire en costume gris prend très mal la chose et la houspille en s'éloignant à grands pas, la laissant figée sur le trottoir, tétanisée et triste...

Mon avis : Lors de mon dernier comité lecture jeunesse, cet album a été présenté par une enseignante à la retraite et elle a captivé mon attention dès qu’elle nous a montré la première de couverture. Que voulez-vous, cette petite vieille, accrochée à sa cabassette, perdue dans un décor on ne peut plus minimaliste, m’a crocheté le cœur… et je suis repartie le livre sous le bras avec une seule hâte, le découvrir par moi-même, me plonger dans le texte et voyager parmi les personnages grâce aux illustrations. Une histoire qui dit à l’enfant la solitude des personnes âgées, même si elles sont encore autonomes ; leur crainte aussi, face au monde tel qu’il est aujourd’hui, alors même qu’ils sont plus vulnérables par le poids des ans. Un récit qui montre enfin aux jeunes lecteurs à quel point l’entraide resserre les liens entre deux personnes, et que la solidarité est quelque chose de précieux, qui ne coûte pas beaucoup mais dont on sort grandi. On ne peut que fondre de tendresse pour cette mamie qui se confie à la protection des autres simplement en leur prenant la main et qui se fige complètement à cause d’une réaction violente. Ce sont les voisins de son immeuble qui vont la prendre en charge, complètement démunis face à son mutisme et à la tétanie qui lui rend tout mouvement impossible, jusqu’au moment où la personne un peu fofolle habitant le cinquième étage racontera aux autres l’incident de l’homme d’affaire égoïste, faisant couler une larme puis éclore un sourire sur le visage ridé. De la petite vieille du rez-de chaussée, nous passerons à Marie-Louise et, de là, il n'y aura qu'un petit pas pour que nous adorions Marilou. L’auteure a malicieusement choisi un immeuble pluriethnique ce qui ajoute encore au message : avec un peu plus d’attention bienveillante tout serait possible. Les illustrations, qui peuvent aller de la double page à plusieurs instants distincts sur la même page, dégagent elles aussi douceur et humour. Des couleurs pastels, mais lumineuses et chaleureuses dans l’immeuble, des personnages très expressifs, de l’originalité enfin : j’ai adoré ces bandeaux au format portrait centrés sur la feuille blanche, et dont on voit s’échapper un oiseau ou des feuilles d’arbres ; et quel plaisir que ces planches de vignettes qui nous permettent de voir l’intérieur des différents appartements superposés, au fur et à mesure que de l’aide est demandée aux différents habitants ! Vous l’aurez compris, un méga coup de cœur et je ne doute même pas qu’il sera partagé...

Public : à partir de cinq – six ans en lecture accompagnée.

Si vous voulez vous rendre sur le site en anglais de l’illustrateur, Ian De Haes, vous pouvez suivre cette adresse :

http://www.iandehaes.com/

Mais vous pouvez également visiter son blog, qui est lui en français, en vous rendant à cette adresse :

http://www.iandehaes.blogspot.fr/

Une petite vieille dame habite dans un immeuble avec d'autres familles.

Elle ne sait soudain plus bouger et va se retrouver immobile sur la rue.

Une attention va se porter sur elle et puis une solidarité entre les habitants va apparaître.

Tout cela raconté sur un ton détaché, un peu surréaliste.

J'adore et les enfants aussi.

Les illustrations sont magnifiques et les tons très doux.

Cet album traite de manière originale et avec une belle sensibilité de ces veilles de départs de vacances. 

Il retranscrit parfaitement ces petits moments d'excitation, d'impatience et de dépaysement qui jalonnent le trajet vers les vacances. Les illustrations reflètent les émotions en jouant sur les clairs obscurs. L'enfant à l'abri du cocon de la voiture retranscrit ce sentiment exceptionnel de voyage et d'aventures unique vécu à travers la fenêtre ! Une histoire d'été à partager sans plus tarder ! 
Lien : http://www.liresousletilleul..

Si vous me ressemblez un peu, vous allez craquer pour La petite vieille du rez-de chaussée. Vous la voudrez même pour voisine. C’est si agréable quelqu’un qui vous donne le bras pour traverser la rue. Car c’est ce qu’elle fait la voisine du rez-de-chaussée. Même si elle ne vous connaît pas. Que vous soyez jeune ou pas. Et même si vous avez les cheveux verts. Tout ce qu’elle veut, c’est votre bras. Pas longtemps. Juste le temps de traverser la rue dans un sens puis dans l’autre. C’est que la dame du rez-de-chaussée, même si elle n’est plus aussi rapide et téméraire que dans sa jeunesse, aime bien sortir tous les jours pour faire ses courses.



Elle ne vous a pas encore saisi le bras au vol? Vous ne l’avez jamais vue en action? Elle est pourtant rapide, la petite dame. En moins de deux, elle se pend à votre bras en souriant et ne vous lâche pas avant d’avoir atteint le trottoir d’en face.



Enfin, d’habitude. Aujourd’hui, quelqu’un lui a refusé son aide avec tant de rudesse et de méchanceté qu’elle est restée bouchée et figée, clouée au sol. En état de choc. Incapable de faire le moindre mouvement. Ce qui va attirer les gens du quartier qui la connaissent et surtout une famille qui habite le même immeuble qu’elle. Tous leurs essais semblent vains pour la sortir de cet engourdissement qui se prolonge. Mais la vieille dame de l’immeuble n’est plus en mesure de s’exprimer verbalement ou physiquement. Il faut décidément faire appel au médecin, lequel saura exactement ce qu’il faut faire pour que cesse cette torpeur.



Il va sans dire que chacun tirera profit de cette expérience et que tout est bien qui finit bien. Mais ce n’est pas sans qu’une réflexion s’impose sur le rôle de chacun dans nos sociétés où trop de personnes âgées et seules sont livrées à elles-mêmes alors qu’elles pourraient tant apporter à autrui.



Un bel album. Sensible. Émouvant. Superbement illustré par Ian De Haes.
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"Attends, je vais t'aider !" Que le parent qui n'a jamais prononcé cette phrase jette la première pierre à la maman de Lisette.



Que ce soit pour gagner du temps (ah, ces matins détendus où le petit dernier est encore en slip quand tout le reste de la famille est prête à partir...) ou pour éviter d'emmener un clown à l'école ("non, tu ne peux pas mettre ce short rouge à pois bleus avec un t-shirt vert à rayures jaunes"), nous avons tous fait un jour - qui a dit tous les jours ? - "à la place" de nos bambins.



Avec exagération et humour, Charlotte Bellière épingle ce travers pour mieux laisser Lisette prendre les choses en main et gagner en autonomie. Avec des erreurs, certes, mais tellement de fierté !



Et si demain matin on laissait nos enfants choisir leurs vêtements et se préparer seuls... Cap' ?!

Veille du départ. C'est le moment de charger la voiture. Papa râle car il y a trop de bagages. Et, vient le moment d'aller au lit. Mais comment s'endormir alors que l'on n'a qu'une seule hâte, partir en vacances.



Puis, au milieu de la nuit, il y a les bras de maman qui nous transportent avec tendresse dans l'auto. Se rendormir bercé par la voiture qui file vers une destination lointaine. Les paysages qui défilent dans l'obscurité, les pauses sur l'autoroute, les chamailleries avec le petit frère.



Un récit à hauteur d'yeux d'enfant qui retranscrit à merveille toutes les émotions qui gagnent les plus jeunes sur le trajet des vacances. L'excitation d'une nouvelle aventure qui commence à laquelle se mêlent l'impatience et l'euphorie de cette nuit pas comme les autres.



Un très bel album. De superbes illustrations aux tonalités bleues qui tranchent avec les phares des voitures. Et puis, il y a le lever du jour et ses jolies couleurs estivales qui annoncent la fin imminente du voyage.



Une lecture de circonstance, au doux parfum d'été, idéale à partager en cette période de l'année.
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Ce livre est tout simplement magnifique dès la couverture. Quel enfant pourrait résister à un couverture avec d'aussi belles couleurs?

Une fois ouvert, le dessin est un peu moins époustouflant que la couverture mais reste tout de même très beau.

L'histoire est toute simple mais mignonne à souhaits et son titre et sa fin collent très bien.

Un très joli livre pour les petits débutants en lecture :)

Et pour le plaisir des yeux de tous aussi

Suzanne est une petite souris, elle a pris tout son courage pour partir à l'aventure. Elle quitte le vieux peuplier au bord de la rivière , la maison qu'elle avait elle même construite et sa voisine la grande ourse qui hiberne dans sa tanière. C'est un moment important pour elle, nous allons la suivre au fil de l'eau sur le radeau qu'elle s'est construit, il faut dire que Suzanne aime bricoler. Dans ce voyage initiatique, elle va rencontrer toutes sortes d'animaux à qui elle laissera un petit souvenir, à qui sa scie, ses livres, sa lanterne. Suzanne se dépouille et se livre un peu plus sur son passé et la terrible tragédie à laquelle elle a survécu. Un superbe voyage que l'on a plaisir à découvrir au fil des pages, les illustrations d'Ian De Haes sont tout bonnement magnifiques et permettent aux enfants de se plonger plus profondément dans l'histoire. L'harmonie des couleurs rend l'ensemble très artistique, on aime suivre Suzanne sur son radeau au fil des flots. C'est beau et poétique, on a le sentiment de toucher le cœur de Suzanne et le texte écrit par Charlotte Bellière est à la fois touchant et rempli de touches d'humour. On aime infiniment ce bel ouvrage à lire et à relire pour y puiser à chaque fois de nouvelles informations et prendre toute la mesure du courage qu'il faut pour tout abandonner par choix ou par force et se lancer dans l'aventure de la vie. Bonne lecture.






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Un album rempli de poésie sur les rêves, et ce que deviennent ceux qu'on ne réalise pas...



Un papi adorable tient un guichet sur la Lune, où il récupère les rêves des personnes qui ne sont jamais réalisés. Il les trie, les classe, les répare... Et tombe sur une petite fille qui dit ne pas trouver sa place sur la Terre.



Alors qu'il essaie par tous les moyens de la renvoyer chez elle, elle apprend petit à petit son métier en l'observant et en prenant part à son bricolage. Ils deviennent alliés, amis, et s'habituent chacun à la présence de l'autre.



Cette histoire m'a mis des étoiles dans les yeux et du baume au cœur ! Elle est parfaite pour tous les rêveurs !


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Bradi s'installe chez Thomas. Ni l'un ni l'autre ne sont particulièrement ravis mais la cohabitation est là et il faut bien faire avec.



Cet album sur l'immigration et sur la solidarité n'est pas illustré à mon goût mais possède un texte intelligemment construit. J'aime beaucoup le parallèle qui est fait entre les deux enfants.



Bradi est déstabilisé par cette nouvelle vie dont il ne connaît pas encore toutes les modalités : la langue, la nourriture, etc. Il souffre de ce qu'il a perdu : sa maison, ses habitudes, ses amis.

Thomas, lui, ne comprend pas bien ce que ces gens viennent faire chez lui. Aucun adulte n'a pris le temps d'en discuter en détails avec lui, ni de lui demander son avis de surcroit. Il ne comprend pas de prime abord pourquoi Bradi est renfermé.

Et puis ils s'apprivoisent par des jeux d'enfants et Bradi se raconte. J'ai trouvé que ce moment là était particulièrement bien fait. Les enfants n'ayant pas les mêmes interprétations de par leur vécu.



Le sujet des réfugiés est courant dans les albums jeunesses mais, ici, c'est particulièrement bien abordé.

Etre une petite vieille c'est loin d'être quelque chose de facile. Souvent on nous oublie, on devient une personne sans prénom qu'on rattache à un lieu qu'on prend soin d’éviter. Mais bon, on a beau vieillir, il faut continuer à se nourrir et cette tâche est loin d'être agréable pour notre petite vieille car pour arrivant chez son épicier elle doit traverser une route très large. Le plus souvent, ni une, ni deux, elle empoigne le bras ou la main qui se trouve à côté d'elle afin que cette personne l'aide à traverser. Mais ce jour là rien ne se passe comme prévu et notre adorable petite vieille se transforme en une statue. Elle n'arrive plus à bouger, ni parler. Heureusement des voisins passent par là mais au vu de la situation se sera de l'aide de tout l'immeuble dont la petite vieille aura besoin pour reprendre vie.



Adorablement illustré, j'ai adoré cette histoire qui nous montre comme la solitude et le rejet peuvent être douloureux à vivre au quotidien pour plusieurs personnes. On soulignera à la fin de cet album que les rencontres, l'entraide sont d'une grand richesse. Ce sont des sources d'amour et de vie dont il faut profiter au maximum.

Rien ne va plus pour Maya! Juste au moment où maman l’appelle parce que c’est l’heure des crêpes, une de ses pantoufles manque à l’appel. Pas question de descendre sans celle-ci! Il faut de toute urgence retrouver la disparue.



Pour Maya, tenter de mettre la main sur sa pantoufle sera l’occasion pour elle de vaincre ses peurs et de faire appel à des personnages qu’elle préfère ignorer ou fuir d’habitude, comme le monstre de l’armoire, les moutons sous le lit, l’araignée au plafond. Que ne ferait-elle pas pour des crêpes!



Illustré avec juste ce qu’il faut de démesure pour donner aux uns un aspect terrifiant et à ceux qui font peur un aspect beaucoup moins rébarbatif, l’illustrateur Ian De Haes a su donner à l’album signé Charlotte Bellière assez de fantaisie pour donner du courage aux jeunes lecteurs qui trouveront dans la détermination de Maya de quoi contrer leurs propres peurs et les pousser à foncer! Une belle réussite!
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C'est au détour d'un jeu que des enfants vont s'intéresser à leurs familles respectives, et dresser ainsi le portrait de chacune d'elles.



Et toi tavfamille ? est un album coloré et joyeux qui aborde beaucoup de notions et déconstruit les stéréotypes. Un ouvrage qui s'attaque aux préjugés : Non, une famille, ce n'est pas obligatoirement le papa et la maman. Et si c'est le cas, ce n'est pas systématiquement maman qui s'occupe des enfants.



Familles recomposées, monoparentales ou homoparentales, enfants adoptés, placés en famille d'accueil, il y a nombre de situations différentes. Ici chaque enfant présente la sienne, et nous emporte chez lui le temps d'une anecdote. C'est riche, pédagogique, nous montrant toute la diversité et la richesse de notre société. Parce qu'il est important de montrer qu'il n'y a pas qu'un type de famile, et que ce qui importe vraiment, c'est l'amour que l'on se porte !



Et toi ta famille, c'est aussi un ouvrage délicieusement mis en valeur par les magnifiques illustrations de Ian de Haes. Colorées, dynamiques, elles font vivre le récit.



Un excellent album sur cette thématique !

Un petit garçon se réjouit à l'idée de faire un trajet de nuit pour les vacances. Difficile de s'endormir dans ces conditions mais ses parents insistent pour qu'il aille au lit. C'est en plein milieu de la nuit qu'il sera transporté dans la voiture pour un long voyage nocturne.



Les illustrations sont superbes, les touches de lumière contrastent avec le noir/bleu de la nuit. Les couleurs changent au fur et à mesure, car l'album débute le soir mais se termine après le lever du soleil. L'histoire sent le vécu, on se retrouve plongé dans l'excitation de l'enfance : vacances et nuit blanche, ça va toujours bien ensemble.



Si vous aussi vous aimez beaucoup les illustrations d'Ian De Haes, je vous recommande aussi "Superlumineuse".

J'ai lu et adoré l'an dernier les 2 ers tomes de cette série. 



Et là,  j'ai pris le même plaisir !



Cheval est malade et forfait pour 1 mois, il ne pourra accompagner St Nicolas dans sa livraison. 



Il missionne Arthus et Antoine de trouver un remplaçant à son fidèle compagnon....



L histoire est toute câline, poétique, à lire en buvant un chocolat chaud dans lequel on tremperait 1 pain d'épices lové dans un fauteuil devant un feu de cheminée. 



La quête dans laquelle se lancent les garçons montre que l'union fait la force et fait naître des idées supplémentaires et que l'amitié est essentielle. 



Les dessins accompagnent merveilleusement l histoire toute en rondeur et délicatesse

Un départ en vacances, c’est comme s’apprêter à vivre une grande et belle aventure. Cet album arrive au bon moment pour préparer et anticiper le départ en vacances de toute la famille ; Les enfants ont apprécié que cela ce passe la nuit, parce que la nuit d’habitude on dort, hors ici c’est le branlebas de combat au beau milieu de la nuit. Les illustrations sont sombres et les phares de la voiture éclairent le chemin à prendre. Papa et maman ont tout préparé, bagages, casse-croutes et petit jeux pour passer le temps. On n’oublie pas les pauses et bien vite le voyage reprend et les enfants peuvent dormir encore un peu jusqu’à l’arrivée. Le texte est court et retrace tous les événements qui précèdent le départ. On a beaucoup aimé les dessins de l’arrivée dans le pays étranger, il y a de belles couleurs au petit matin et le paysage est superbe. J’ai trouvé originale la mise en page avec la différence constante des formats des dessins toujours surprenants. Il y a de très belles doubles pages sans texte qui permettent aux enfants d’entrer pleinement dans le dessin et de laisser parler son imaginaire. Un livre parfait aussi pour ce souvenir de l’effervescence qui peut nous prendre lors d’un départ en vacances. On ressent tout l’espoir de découvrir des nouvelles choses, dans un pays que l’on ne connait pas, c’est très excitant. Bonne lecture et vive les vacances.


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Un livre magnifique aussi bien dans ses illustrations que pour son histoire.



Un conte magique qui invite au rêve et à l’évasion. La magie dans les mots mais aussi dans ses dessins. C’est beau et lumineux.



La routine du guichetier qui se voit perturbée par l’arrivée d’une petite fille. Bourru au départ, il va finir par s’ouvrir et on va alors ressentir une profonde tendresse entre le vieil homme et la petite. L’heure est venue de lui transmettre son savoir.



Un conte merveilleux qui montre à quel point il est important de savoir s’évader dans ses pensées et d’avoir des souhaits. Et quel bonheur de s’imaginer que chacun de nos rêves est stocké sur la lune.



Une lecture magique, un livre sublime.
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Je ne lis pas souvent d’album jeunesse n’ayant pas d’enfants dans mon entourage mais ça devrait arriver plus souvent parce que cet album est juste incroyable ! J’ai été emmenée immédiatement sur la lune…



L’histoire est vraiment belle. On est intrigué au début, quel est cet homme qui a un guichet sur la lune, qu’est-ce qu’il y fait. Une fois qu’on en apprend plus, cela devient beau et magique.



Les illustrations magnifient l’histoire. On a envie de replonger encore et encore dans cet album pour continuer à rêver. Parfois j’aimerai redevenir une enfant pour découvrir ces histoires avec un autre oeil.



En tout cas, je vais retenir cet album si je dois en offrir un.

L’autonomie, cela s’apprend. Lisette décide un beau jour qu’elle n’a plus besoin de l’aide de sa maman. C’est un premier pas pour s’habiller, se laver, se coiffer, aller à l’école retrouver les autres enfants. Il faut dire que maman l’aide depuis toujours et qu’ensemble, elles ne sont pas particulièrement efficaces, aussi le jour où lisette s’affirme et dit non, c’est sa maman qui est surprise. Ce sera une belle aventure que de voir la façon dont Lisette arrive à relever ce premier défi. Apprendre à faire seule, cela se fait petit à petit et avec un succès qui nous laisse admiratif. Un livre aux dessins gais et chaleureux parfaits pour encourager les jeunes enfants à prendre confiance en eux, à s’affirmer face aux adultes. Mise entre les mains des enfants au sortir de la maternelle, ce petit album pourrait bien faire des merveilles pour leur autonomie. A la maison, les enfants ont aimé la petite Lisette surtout la page où elle dit non qui était bien agréable pour eux. Le texte est parfait en lecture accompagnée ou encore à haute voix. Parfait aussi pour débuter une rentrée des classes avec de nouvelles habitudes. Bonne lecture.




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