AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Dante Alighieri (468)


Dante Alighieri
Souviens toi de cette nuit, c’est la promesse de l’infini. C’est une promesse qui vient récompenser le courage de ceux qui ont affrontés seuls tant d’années. C’est la preuve de la confiance entre deux êtres qui est le fondement même de l’amour. C’est un effort de volonté pour oublier et s’affranchir des peines du passé. C’est un serment qui lie deux âmes à l’exclusion de toute autre. C’est le symbole d’un risque assumé et la reconnaissance des défis à venir. Car à deux on est toujours plus fort, comme un équipage soudé pour surmonter les tempêtes du destin. L’amour sera toujours la raison d’être des humains et la force qui guide leur vie. Le plus important ce n’est pas cette cérémonie, elle ne sert qu’à montrer aux yeux du monde des sentiments déjà existants et des promesses déjà sellées au plus profond du cœur des mariés.
Commenter  J’apprécie          1754
Dante Alighieri
Il n'est pas de plus grande douleur que de se souvenir des temps heureux dans la misère.

LA DIVINE COMÉDIE, L'Enfer.
Commenter  J’apprécie          1624
Nous allâmes ainsi jusqu'à la lumière
en causant de choses qu'il est beau de taire,
comme il était beau d'en parler alors.
Commenter  J’apprécie          930
Dante Alighieri
Lorsque ta vue veut pénétrer trop loin dans les ténèbres, il advient qu'en imaginant tu t'égares.

LA DIVINE COMÉDIE, L'Enfer, chant XXXI.
Commenter  J’apprécie          812
Orgueil, envie et avarice règnent,
trois étincelles qui embrasent les cœurs.

L'ENFER, Chant VI.
Commenter  J’apprécie          655
Tu me rends si content quand tu résous mes doutes,
que le doute m'est doux autant que le savoir.
Commenter  J’apprécie          630
Toutes les choses de la terre vont comme vous à la mort ; mais cela ne se voit pas en quelques-unes qui durent longtemps, parce que la vie de l'homme est courte.

(Le Paradis)
Commenter  J’apprécie          560
Dante Alighieri
Là où les ressources de l'esprit s'unissent au mal vouloir et à la force, on ne peut trouver aucun recours.

LA DIVINE COMÉDIE, L'Enfer, Chant XXXI.
Commenter  J’apprécie          550
Mes yeux dolents ont plaint mon coeur;
ils ont subi la souffrance des pleurs
et restent vaincus à jamais.
Pour désormais épancher la douleur
qui par degrés me conduit à la mort,
ma voix devra crier mon deuil.
Et puiqu'il me souvient que de ma Dame
j'aimais à vous parler, dames courtoises,
au temps qu'elle vivait,
à nulle autre ne parlerait
qu'à dame de coeur noble,
et dans les pleurs la chanterai,
car elle s'en est allée au ciel soudain,
laissant Amour en peine auprès de moi.
Commenter  J’apprécie          450
D'où vient que ton orgueil lève si haut la crête,
oubliant que tu n'es qu'un avorton d'insecte,
un vers dont la nature a raté la façon?
Commenter  J’apprécie          420
Jamais tonneau fuyant par sa barre ou sa douve
ne fut troué comme je vis une ombre,
ouverte du menton jusqu'au trou qui pète.
Ses boyaux pendaient entre ses jambes ;
on voyait les poumons, et le sac affreux
qui fabrique la merde avec ce qu'on avale.

Chant XXVIII, (22-27).
Commenter  J’apprécie          402
"Je cherche la liberté qui m'est si chère
comme le savent ceux qui pour elle marchent à la mort"
Commenter  J’apprécie          392
« Que votre souvenir ne s’envole jamais dans le premier monde des esprits humains mais qu’il y vive sous de nombreux soleils. » Chant XXIX
Commenter  J’apprécie          380
Maintenant je commence à entendre les accents douloureux; maintenant je suis arrivé là où me frappent de nombreux gémissements.
Je vins dans un lieu privé de toute lumière, qui mugit comme la mer, par la tempête, lorsque la frappent des vents contraires.
L'ouragan infernal, qui jamais ne se calme, entraîne les esprits dans sa tourmente : il les roule, il les heurte, il les moleste.
Quand ils arrivent devant l'éboulement, ce sont des cris, des pleurs, des lamentations; là ils blasphèment la puissance divine.
Je compris qu'à ce genre de supplice étaient condamnés les pécheurs charnels qui subordonnent la raison au désir.
Et comme les étourneaux sont emportés par leurs ailes, au temps de froidure, en troupe large et serrée, ainsi fait cette rafale des esprits pervers;
de-ça, de-là, en bas, en haut, elle les mène; nul espoir jamais ne les réconforte, non de repos, mais de moindre peine.
Commenter  J’apprécie          370
Nous rencontrâmes une foule d'ombres
qui s'en venaient près de la rive, et chacune
nous regardait ainsi que font le soir
ceux qui se croisent à la nouvelle lune ;
elles clignent des yeux vers nous
comme le vieux tailleur au chas de son aiguille.
Regardé ainsi par semblable famille,
je fus reconnu par l'un d'eux, qui me prit
par le pan de ma robe et cria : " Merveille ! "
Et moi, quand il tendit le bras,
je fixai mes regards sur sa figure cuite,
si fort que le visage brûlé n'empêcha pas
à mon esprit de le connaître.

Chant XV, (16-28).
Commenter  J’apprécie          350
Par moi on va dans la cité dolente,

Par moi on va dans l'éternelle douleur,

Par moi on va chez les âmes perdues,



La justice inspira mon noble créateur:

Je suis l'oeuvre de la puissance divine,

De la sagesse suprême et de l'amour.



Avant moi, rien ne fut créé

Sinon d'éternel, et moi je dure éternellement.

Vous qui entrez, laissez toute espérance.



Commenter  J’apprécie          341
Quand l'escalier, monté en courant, fut tout entier au-dessous de nous, et que nous nous trouvâmes à la dernière marche, Virgile arrêta ses regards sur moi
et me dit : "Tu as vu, mon fils, le feu qui n'a qu'un temps et le feu éternel, et tu es arrivé en un lieu où, par moi-même, je ne vois pas plus avant.
Je t'ai conduit jusqu'ici par ma science et mon art; prends désormais ton plaisir pour guide; tu es sorti des chemins ardus et étroits.
Vois là-bas le soleil qui luit sut ton front; vois l'herbe tendre, les fleurs et les arbustes qu'ici la terre produit d'elle-même.
Jusqu'à ce que viennent, pleins de joie, ces beaux yeux qui en pleurant m'ont fait venir à toi, tu peux t'asseoir, tu peux errer parmi ces plantes.
N'attends plus de moi ni paroles ni gestes : ton jugement est libre, droit et sain, et ce serait une faute de ne pas agir à son gré;
c'est pourquoi je te donne sur toi-même la couronne et la mitre."
Commenter  J’apprécie          300
Je vins en un lieu où la lumière se tait,
mugissant comme mer en tempête,
quand elle est battue par vents contraires.
La tourmente infernale, qui n'a pas de repos,
mène les ombres avec sa rage ;
et les tourne et les heurte et les harcèle.

L'enfer - Chant V
Commenter  J’apprécie          302
Parmi cet amas repoussant et sinistre
couraient des gens nus et pleins d'épouvante,
sans espoir de refuge ou d'héliotrope :
les mains liées derrière le dos par des serpents
qui leur dardaient aux reins leurs queues
et leurs têtes, et se nouaient par-devant.
Soudain sur un damné qui était près de nous
un serpent se jeta, qui le transperça
à l'endroit où le cou se rattache à l'épaule.
En moins de temps qu'on écrit O ou I
il s'alluma, et il brûla,
puis il tomba tout entier en cendres ;
et quand il fut à terre ainsi détruit,
la poussière se rassembla d'elle-même
et recomposa la forme précédente.

L'ENFER, Chant XXIV, (91-105).
Commenter  J’apprécie          301
Si la misère de ce lieu ensablé
te fait mépriser et nous et nos prières,
dit l'un, et nos visages noirs et pelés,
que notre renommée incline ton âme
à nous dire qui tu es, toi qui si tranquille
poses tes pieds vivants sur le sol d'enfer.

L'ENFER, chant XVI.
Commenter  J’apprécie          290



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Dante Alighieri (2182)Voir plus

Quiz Voir plus

L'étrange cas du dr Jekyll et mr Hyde

Qui est M.Utterson?

Un policier
Un notaire
Le frère de Mr Hyde
Un scientifique

13 questions
494 lecteurs ont répondu
Thème : L'étrange cas du Dr Jekyll et de M. Hyde de Robert Louis StevensonCréer un quiz sur cet auteur

{* *} .._..