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Citations de Dante Alighieri (468)


Tel est celui qui voit en rêvant,
et, le rêve fini, la passion imprimée
reste, et il n’a plus souvenir d’autre chose,

tel je suis à présent, car presque toute cesse
ma vision, et dans mon cœur
coule encore la douceur qui naquit d’elle.

PARADIS CHANT XXXIII / Traduction Jacqueline Risset / Édition de la Pléiade

Qual è colui che sognando vede,
che dopo ’l sogno la passione impressa
rimane, e l’altro a la mente non riede,

cotal son io, ché quasi tutta cessa
mia visïone, e ancor mi distilla
nel core il dolce che nacque da essa.
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Lorsque par le plaisir ou par la douleur
qui s’empare de l’une de nos facultés,
l’âme se recueille bien en elle,

il semble qu’elle ne comprenne plus que celle-ci,
et ce fait contredit l’erreur qui croit
qu’une âme en nous s’allume sur une autre.

Aussi, quand on entend ou qu’on voit une chose
qui attire l’âme très fort à soi,
le temps s’en va sans qu’on le voie,

car autre est la puissance qui le perçoit,
autre est celle qui tient l’âme tout entière :
la première est liée, la deuxième libre.

PURGATOIRE CHANT IV - Traduction Jacqueline Risset / Édition de la Pléiade

Quando per dilettanze o ver per doglie
che alcuna virtù nostra comprenda,
l’anima bene ad essa si raccoglie,

par ch’a nulla potenza più intenda;
e questo è contra quello error che crede
ch’un’anima sovr’altra in noi s’accenda.

E però, quando s’ode cosa o vede
che tegna forte a sé l’anima volta,
vassene ’l tempo e l’uom non se n’avvede;

ch’altra potenza è quella che l’ascolta,
e altra è quella c’ha l’anima intera:
questa è quasi legata e quella è sciolta.
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Je crois, par l’acuité que je sentis alors,
du vivant rayon, que si mes yeux
s’en étaient détournés, je me serais perdu.
[...]
Ainsi mon âme, tout en suspens,
regardait fixement, immobile, attentive,
et s’enflammait sans cesse à regarder encore.

Paradis Chant XXXIII - Traduction Jacqueline Risset / Édition de la Pléiade
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Dante Alighieri
Il aime peu celui qui peut dire et compter avec des mots, combien il aime.
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Le tonneau, lorsqu'il perd quelque douve ou le fond,
ne reste pas béant, comme un que j'aperçus
ouvert depuis le cou jusqu'au trône des pets.
Entre ses deux genoux pendillaient ses boyaux,
les entrailles à l'air, avec le sac fétide
qui prend nos aliments pour les merdifier.
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En robes de bergers des loups rapaces
se voient d'en haut dans tous les pâturages.
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Que les hommes ne soient donc pas trop assurés,
quand ils jugent comme celui qui croit
que les blés sont mûrs avant qu'ils le soient ;
car j'ai vu d'abord tout l'hiver
l'épine se montrer rigide et farouche,
et puis porter la rose sur sa cime ;
et j'ai vu déjà bateau droit et rapide
parcourir la mer pendant toute sa route,
et périr à la fin en rentrant au port.
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O soucis insensé des mortels,
quels syllogismes défectueux
te font voler si bas des ailes !
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Tu t'alourdis toi-même
avec des idées fausses, et tu ne peux voir
choses que tu verrais, si tu les secouais.
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Je ne sais qui tu es, ni comme as pu 
dévaler jusqu'ici, mais de Florence 
tu me sembles venir, quand je t'entends. 

Je fus le comte Ugolin, sache-le, 
et cestui-là est Roger l'archevêque ; 
apprends pourquoi je suis son dur voisin :

alors que ma confiance était en lui, 
de par sa malveillance je fus pris
(comment ne convient dire) et mis à mort. 

Mais, cependant, cela que tu ignores, 
c'est à quel point cruel fut mon trépas : 
tu jugeras s'il ne m'a point fait tort.

Une fissure en les murs de la mue
(qui s'appelle pour moi tour de la Faim 
et où d'autres encor seront reclus),

m'avait permis de voir jà plusieurs lunes
par son pertuis, quand un bien triste rêve 
me déchira Ie voile du futur.

Cil me semblait mon maître et mon seigneur
chassant loups et louveaux de par le mont 
qui défend aux Pisans la vue de Lucques.

Avec des chienn' efflanquées, affamées, 
dressées à l'ordre, il avait devant lui 
et Gallande, et Sismonde, et Lanfranchi.

Au bout de brève course, il me sembla 
qu'étaient le père et les petits bien las : 
je vis les crocs aigus fendre leurs flancs. 

Quand je me réveillai, le lendemain, 
j'ouis mes enfants pleurer dans leur sommeil: 
ils étaient là, ils demandaient du pain.

Tu es donc bien cruel, si tu ne souffres 
en pensant aux présages de mon cœur: 
de quoi pleures-tu donc, si tu n'en pleures ? 

Ils étaient éveillés, l'heure était proche 
où l'on nous apportait notre pitance, 
mais chacun de son rêve s'inquiétait. 

J'entends en bas la clef grincer dans l'huis 
de cette horrible tour: je regardai 
mes enfants dans les yeux, sans faire un geste.

Je ne pleurai, mais je fus pétrifié :
eux pleuraient tous, et mon petit Anselme 
"Quels yeux, dit-il, mon père ! Qu'y a-t-il ?"

Je ravalai mes larm' et sus me taire, 
Ie jour durant et la nuit qui suivit,
jusqu'à tant que parut neuve lumière. 

Comme un rai de soleil s'entreglissait 
dans la dure prison, je découvris 
mon propre aspect dans ces petits visages,

et, de douleur, je me mordis les mains; 
mais eux, croyant que c'était par désir 
de me repaître, aussitôt se levèrent 

et dir' : "Ô père, il nous sera moins dur
que tu nous manges nous : cette chair-là, 
tu nous en as vêtus : reprends-la nous !" 

Je me calmai pour n'accroître leur peine, 
et deux jours nous restâmes sans parler. 
Ah, que ne t'ouvris-tu, cruelle terre !

Puis, quand nous fûm' au quatrième jour, 
Gaddo chut à mes pieds, tout de son long, 
"Père, disant, pourquoi ne me secours ?" 

Et il mourut; et, comme tu me vois,
Je vis tomber les trois l'un après l'autre 
les jours suivants ; et, dans le noir, aveugle,

de la main, je cherchais mes trois filleuls : 
deux jours après, je les clamais encore — 
et puis la faim fut plus forte que deuil. »

Quand il eut dit ces mots, les yeux baissés, 
il reprit à mâcher le triste crâne 
en le mordant, comme chien, jusqu'à l'os.

Ah, Pise ! Honteuse entre toutes les villes 
du beau pays où résonne le si, 
comme tes voisins tard' à te punir,

que viennent la Capraille et la Gorgone 
faire la digue aux bouches de l'Arno 
pour qu'en tes murs il noie toute personne !

Car si le comte Ugolin, comme on dit, 
te trahit toi, en donnant tes châteaux, 
tu n'aurais dû crucifier ses enfants.

ENFER CHANT XXXIII - Traduction Michel Orcel Éditions La Dogana 
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PURGATOIRE CHANT XXIV


Mais dis-moi sI c'est toi qui, au grand jour
tira nouvelle poésie, disant :
"Dames qu'avez d'amour intelligence..."?

Et moi: «Je ne suis qu'un qui, lorsque Amour m'inspire, écrit et s'en va clairement
signifiant ce qu'il dicte au fond de moi.»

«Frère, or je vois le nœud qui nous retint,
dit-il, Guitton, le Notaire et puis moi,
loin du doux style neuf que j'entends là !

À présent je vois bien comment vos plumes
vont si serrées suivant votre dicteur,
ce qui certes n'advint jamais aux nôtres ;

et qui voudra regarder de plus près,
ne verra rien de l'un à l'autre style»
puis, comme satisfait, il se tint coi.

(Traduction Michel Orcel - Éditions La Dogana)

Chant duquel vient le Dolce Stil Novo, courant majeur de la poésie italienne des XIIIe et XIVe siècles qui élabore une poésie lyrique amoureuse raffinée, nourrie d'éléments philosophiques et théologiques. Il développe une vision « spiritualisée » de la femme, dont il fait une médiatrice entre l'homme et le divin.

Ma di' s'i' veggio qui colui che fore
trasse le nove rime, cominciando
"Donne ch'avete intelletto d'amore"».

E io a lui: «I' mi son un, che quando
Amor mi spira, noto, e a quel modo
ch'e' ditta dentro vo significando».

«O frate, issa vegg'io», diss'elli, «il nodo
che 'l Notaro e Guittone e me ritenne
di qua dal dolce stil novo ch'i' odo!

lo veggio ben corne le vostre penne
di retro al dittator sen vanno strette,
che delle nostre certo non avvenne;

e qual più a guardare oltre si mette,
non vede più dall'uno all'altro stilo»;
e, quasi contentato, si tacette.
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ENFER / CHANT 1

Au milieu du chemin de notre vie 
je me trouvai dans une forêt obscure 
égaré hors de la voie droite.
Ah, comme est chose dure dire quelle était
cette forêt sauvage et âpre et forte 
qui dans la pensée fait revivre la peur !
Si amère que peu plus est la mort ; 
mais pour traiter du bien que j'y trouvai, 
je dirai les autres choses que j'y ai vues.

(Traduction Lucienne Portier - Les Éditions du Cerf ) 


Nel mezzo del cammin di nostra vita 
mi ritrovai per una selva oscura 
ché la diritta via era smarrita.

Ahi quanto a dir qual era è cosa dura 
esta selva selvaggia e aspra e forte 
che nel pensier rinova la paura!

Tant'è amara che poco è piú morte; 
ma per trattar del ben ch' i' vi trovai, 
dirò dell'altre cose ch' i' v' ho scorte.


A mi-chemin de notre vie mortelle, 
je me trouvai dans une sylve obscure 
où la directe voie s'était perdue.

Dire ce qu'elle était, c'est chose dure, 
cette sylve sauvage, et âpre, et forte, 
qui dans l'esprit renouvelle la peur :

amère est tant, que mort ne l'est plus guère. 
Mais pour traiter du bien que j'y trouvai, 
je parlerai de tout ce que je vis.
(traduction Michel Orcel - Édition La Dogana) 


Au milieu du chemin de notre vie
je me retrouvai par une forêt obscure
car la voie droite était perdue.

Ah dire ce qu’elle était est chose dure
cette forêt féroce et âpre et forte 
qui ranime la peur dans la pensée !

Elle est si amère que mort l’est à peine plus ;
mais pour parler du bien que j’y trouvai,
je dirai des autres choses que j’y ai vues.
(traduction Jacqueline Risset - Flammarion et La Pléiade) 


Étant à mi-chemin de notre vie,
je me trouvai dans une forêt obscure,
la route droite ayant été gauchie. 

Ah ! combien en parler est chose dure,
de cette forêt rude et âpre et drue
qui à nouveau un effroi me procure ! 

Si aigre que la mort l’est à peine plus…
Mais pour traiter du bien que j’y trouvai,
je parlerai des choses que j’ai vues.
(Traduction Danièle Robert - Éditions Actes Sud)
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PARADIS / CHANT 1

La gloire de Celui qui meut toute choses
dans l'univers pénètre et resplendit
plus en un lieu et moins ailleurs.
Dans le ciel qui prend le plus de lumière
je fus, et vis des choses que redire
ne sait, ne peut, qui de là-haut descend,
car approchant soi-même de son désir,
notre intellect en tel abîme se perd,
que la mémoire derrière ne peut suivre.

(Traduction Lucienne Portier - Les Éditions du Cerf)

La gloria di colui che tutto move
per l'universo penetra e risplende
in una parte più c meno altrove.

Nel ciel che pili della sua luce prende
fu' io, e vidi cose che ridire
né sa né può chi di là su discende;

perché appressando sé al suo disire,
nostro intelletto si profonda tanto,
che dietro la memoria non può ire.

La gloire de Celui qui meut le monde
pénètre et resplendit dans l'univers
plus en quelques régions qu'en d'autres parts.

Au ciel qui prend le plus de sa lumière
je fus et vis des choses non dicibles
par celui qui descend de tout là-haut,

car s'approchant de son propre désir,
notre intellect s'abîme si profond
que ne saurait la mémoire le suivre.
(traduction Michel Orcel - Édition La Dogana)

La gloire de celui qui meut toutes choses
pénètre l’univers, et resplendit
davantage en un point, et moins ailleurs.

Dans le ciel qui prend le plus de sa lumière
je fus, et vis des choses que ne sait ni ne peut
redire qui descend de là-haut ;

car en s’approchant de son désir
notre intellect va si profond que
la mémoire ne peut l’y suivre.
(Traduction Jacqueline Risset - Éditions Flammarion et la Pléiade)

La gloire de Celui par qui tout est mû
pénètre l’univers, resplendissant
en chaque part et plus ou moins reçue.

J’ai été dans le ciel qui le plus prend
de sa lumière, et j’ai vu ce que dire
ne sait ni ne peut qui de là-haut descend ;

parce qu’en approchant de son désir,
notre intellect en lui s’immerge tant
que la mémoire ne peut rien retenir.
(traduction Danièle Robert - Éditions Actes Sud)
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Io ritornai da la santissima onda
rifatto sí come piante novelle
rinovellate di novella fronda,
puro e disposto a salire a le stelle.

Je m’en revins de l’onde sainte
régénéré comme une jeune plante
renouvelée de feuillage nouveau,
pur et tout prêt à monter aux étoiles.

Purgatorio (Canto XXXIII)
traduction : Jacqueline Risset
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PURGATOIRE / CHANT 1

Pour courir une eau meilleure, hisse les voiles,
désormais, la nef de mon esprit
qui laisse derrière elle mer si cruelle ;
et je chanterai ce deuxième royaume
où l'âme humaine se purifie
et de monter au ciel devient digne.

(Traduction Lucienne Portier - Les Éditions du Cerf )

Per correr migliori acque alza le vele
omai la navicclla del mio ingegno,
che lascia dicito si crudele;

e canterò di quel secondo regno
dove l'ungano spirito si purga
e di salire al ciel diventa degno.

Or pour courir sur des ondes plus belles,
de mon génie la nef hisse les voiles,
laissant derrière soi mer tant cruelle;

je chanterai le deuxième royaume
où l'âme des humains se purifie
pour mériter de s'élever au ciel.
(Traduction Michel Orcel - Éditions La Dogana)

Pour courir meilleure eau elle hisse les voiles
à présent la nacelle de mon génie
qui laisse derrière soi mer si cruelle :

et je chanterai le second royaume
où l’esprit humain se purifie
et devient plus digne de monter au ciel.
(Traduction Jacqueline Risset - Éditions Flammarion et La Pléiade)

Alors lève ses voiles la nacelle
de mes facultés pour des flots plus heureux,
laissant derrière elle une mer si cruelle ;

et je chanterai ce royaume deux
où l’âme se purge de ses faiblesses
et devient digne de monter aux cieux.
(Traduction Danièle Robert - Éditions Actes Sud)
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PURGATOIRE CHANT XIV

Le ciel vous appelle et il vous entoure 
vous montrant ses beautés éternelles 
et pourtant votre œil regarde terre,

dont vous frappe celui qui tout discerne ».
(Traduction Lucienne Portier - Les Éditions du Cerf) 


Chiamavi 'l Cielo e 'intorno vi si gira, 
mostrandovi Ie sue bellezze etterne, 
e l'occhio vostro per a terra mira;

onde vi batte chi tutto discerne».


Le ciel vous clame et tourne autour de vous, 
vous dévoilant ses grand's beautés éternes, 
et vous, vos yeux ne regardent qu'à terre :

d'où vous châtie Celui qui tout discerne » .
(Traduction Michel Orcel Éditions La Dogana) 


Le ciel vous appelle et tourne autour de vous,
en vous montrant ses beautés éternelles,
et votre œil pourtant regarde à terre ; 

c’est pourquoi vous frappe celui qui voit tout. » 
(Traduction Jacqueline Risset - Collection La Pléiade) 


Le ciel qui vous entoure vous espère
en vous montrant ses beautés infinies
et cependant votre œil regarde à terre ;

c’est pourquoi celui qui voit tout vous punit.”
(Traduction Danièle Robert - Éditions Actes Sud) 
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Pon giù omai, pon giù ogne temenza;
volgiti in qua e vieni: entra sicuro!".
E io pur fermo e contra coscïenza.
Quando mi vide star pur fermo e duro,
turbato un poco disse: "Or vedi, figlio:
tra Bëatrice e te è questo muro".
Come al nome di Tisbe aperse il ciglio
Piramo in su la morte, e riguardolla,
allor che ’l gelso diventò vermiglio;
così, la mia durezza fatta solla,
mi volsi al savio duca, udendo il nome
che ne la mente sempre mi rampolla.
Ond’ei crollò la fronte e disse: "Come!
volenci star di qua?"; indi sorrise
come al fanciul si fa ch’è vinto al pome.

Laisse là maintenant, laisse toute crainte ;
tourne toi par ici, et viens : entre avec sûreté."
Et moi, cloué, et contre ma conscience.
Quand il me vit rester dur et figé,
il dit, un peu troublé : "Vois donc, mon fils :
entre Béatrice et toi il y a ce mur."
Comme au nom de Thisbé Pyrame ouvrit les yeux,
sur le point de mourir, et la regarda,
tandis que le mûrier devenait vermeil ;
ainsi, ma dureté toute amollie,
je regardai mon sage guide, en entendant le nom
qui bourgeonne toujours dans ma pensée.
Il secoua la tête, et dit : "Comment !
voulons-nous rester de ce côté ? " ; puis il sourit
comme on fait à l'enfant conquis par une pomme.

Canto XXVII
trad. : Jacqueline Risset
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Ô lumière éternelle qui seule réside en toi
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L'amour et le cœur noble sont une seule et même chose
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L'amour qui meut le soleil et les autres étoiles
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