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Critiques de Elia Kazan (17)
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Kazan par Kazan

Après avoir évoqué les origines de sa famille, son arrivée en Amérique, l'auteur nous raconte sa jeunesse qui influencera toute sa vie et le conduira jusqu'à son choix d'adhérer au parti communiste.



Nous accompagnons Elia Kazan dans son parcours depuis ses premiers pas en tant qu'acteur, ses débuts dans la mise en scène de pièces de théâtre à Broadway , la création de l'Actors Studio en 1947, repris par la suite par Lee Strasberg, mais d'où Kazan fera émergé Marlon Brandon, Karl Malden et beaucoup d'autres qu'il emmènera à Hollywood.



Viendra ensuite le succès avec des films comme " Un tramway nommé désir", " Sur les quais", " A l'est d'Eden" (avec James Dean) et tellement d'autres encore.



Kazan ne cachera rien de ce qui le conduit, en pleine "chasse aux sorcières", à dénoncer des gens dont certains sont de ses amis devant la commission des activités anti-américaines. Il apporte un début d'explication à son acte sans pour autant se chercher aucunes excuse.





Au fil de ces échanges, nous rencontrerons les personnes qui ont travaillé avec Elia Kazan et qui lui ont permis d'avoir le parcours que l'on connait et l'on peut citer entre autres écrivains Arthur Miller, Tennessee Williams, John Steinbeck et James Baldwin .



On apprend également beaucoup sur sa façon de travailler les scénarios, les décors, le choix des lieux de tournage , toutes les parties techniques qui font un film mais aussi comment ils travaillait en amont des tournages avec les acteurs ( très beau passage sur sa collaboration avec De Niro).



Ce livre d'entretiens est absolument passionnant. Le cinéaste se livre totalement et avec sincérité quitte à parfois être sans concession avec certaines personnes mais aussi avec lui même.

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Le monstre sacré

Interminable.

C'est dingue le temps qu'il m'aura fallu pour venir à bout de ce bavardage de 520 pages. Laissez-moi vous raconter : Sonny (le narrateur) est comédien de théâtre à Broadway. Il doit sa carrière à une ancienne gloire des planches, Sidney Castleman, qui lui mit le pied à l'étrier en l'embauchant comme doublure.

Vingt ans après, les rôles sont inversés. Sidney, l'ex-monstre sacré, fait fuir tous les metteurs en scène avec sa grandiloquence has been, qui fait de lui un acteur grotesque et pathétique. C'est désormais lui qui est la doublure (notez que le titre original « The understudy », contrepied du titre français, se traduit littéralement par « la doublure ») de Sonny, dont la cote ne cesse de monter. Celui-ci, que ce soit par gratitude, sentiment de culpabilité ou de responsabilité envers ce père spirituel vieillissant, se sent obligé de faire l'aumône à Sidney, en lui offrant ces doublures ou des billets de 20 dollars. Mais Sidney, loin d'être reconnaissant, est un emmerdeur de première, exigeant, capricieux, ingrat, moqueur et égoïste. Sonny, coincé entre sa femme, qui trouve Sidney bien encombrant, et ce dernier, qui reste malgré tout son ami, décide de prendre l'air quelque temps et part, seul, en safari en Afrique.

Au cours de ce voyage improbable, Sonny, victime d'une étrange fièvre, aura une conversation hallucinée avec un vieux lion (un vrai), dont il sortira transformé, même si le lecteur n'y a rien compris. Bref, il rentre à New York, retrouve sa femme que l'insécurité et la violence de la ville rendent hystérique, et Sidney, toujours aussi imbuvable, qui a enfin trouver un « mécène » pour financer la pièce qu'il rêve de monter depuis des années. Sauf que ledit « mécène » s'avère faire partie de la pègre locale, et que voilà donc Sonny embarqué dans des affaires louches, aux prises avec la police et des truands de seconde zone qui veulent sa peau (là non plus j'ai pas tout compris). Avec le paradoxe que c'est au moment où Sonny a les pires ennuis (et qu'il se montre donc plutôt négligent dans son travail) qu'il connaît la gloire et les contrats à cinq chiffres. Et avec le mystère que c'est aussi à ce moment qu'il place sa loyauté envers Sidney au premier plan, quitte à mettre sa famille et sa propre vie en danger.



Elia Kazan était peut-être un grand metteur en scène et réalisateur, mais un grand écrivain, je n'en suis pas sûre... Dans ce roman foutraque, on capte bien qu'il s'apitoie sur la disparition de la grande époque du théâtre de Broadway, crache sur Hollywood et la télévision et critique la violence croissante à New York. A part ça, je n'ai pas compris où il voulait en venir, ce monstre sacré...
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L' arrangement

Ce livre raconte l'histoire d'un homme accompli dans tout ce que la société américaine des années cinquante promeut. Sa route croise celle d'une jeune femme et c'est le déclenchement d'un séisme dans sa vie. Ce n'est pas une liaison comme les autres, c'est sa vie qu'il remet en question. Il s'est "arrangé" de tout jusqu'à cette rencontre et il ne peut plus continuer ainsi. Il décide d'être lui-même. Il va le payer cher et finira par être en sécurité, en paix.



Il y a des passages qui me rappellent "L'attrape-coeur" de Salinger, autre grand livre de la littérature américaine. Elia Kazan aura tiré son livre un film avec Kirk Douglas.



Attention, chef-d'oeuvre ! La preuve en est que j'ai relu ce livre avec vingt ans de distance, l'intérêt et le plaisir de lecture sont restés intacts. Je ne relis presqu'aucun de mes livres mais je ne sais pas si je ne succomberai pas encore à l'expérience.
Lien : http://objectif-livre.over-b..
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L' arrangement

Un publicitaire talentueux, la quarantaine, séducteur, remet ses valeurs en question après avoir provoqué un accident de voiture. Il traversera une grave crise qui l’amènera aux portes de la folie et trouvera son chemin personnel grâce à l’amour d’une femme libre.

« Laissez-moi vous présenter les choses une dernière fois, dans les termes les plus simples. Personne ne peut vivre absolument comme il le désire. Nous payons tous quelque chose, en temps perdu et en dégout de soi-même, pour payer le loyer et l’épicerie. C’est un compromis que nous faisons avec la société… je renonce à une portion de mon âme, vous me donnez du pain. » Voilà quel est l’arrangement.

Une réflexion sur le mythe américain de la réussite sociale.

Parfois classé parmi les œuvres mineures de Kazan, l’arrangement est probablement son livre le plus personnel. Il y développe sans concession sa vision des travers du rêve américain, mais laisse à son héros une porte de sortie…

Autant le dire : de tels romans ne seraient plus écrits ainsi de nos jours, cependant écrit il y a presque quarante ans, L'arrangement garde aujourd'hui encore une modernité incroyable.

Un classique.

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L' arrangement

Eddie Anderson, la quarantaine bien installée, est un homme à femmes. Bon père de famille, bon mari, propriétaire d'une belle villa qui cumule deux emplois (l'un en tant que publicitaire pour une marque de cigarettes et l'autre en tant que critique particulièrement redouté dans un journal) est notre héros. Mais il est aussi un Don Juan insatiable dont la vie commence à prendre le large lorsqu'il fait la connaissance de Gwen, jeune femme impertinente qui au départ le rejette.



Car Eddie, qui jusque-là camouflait au mieux ses aventures extra conjugales, prend de l'assurance et ne se gêne presque plus à mener une double vie. Une banale histoire d'adultère vous allez me dire? Eh bien non car c'est bien plus vers le cheminement intérieur de notre narrateur qui se perd, écartelé que nous nous dirigeons. Et c'est un accident de la route qui va accélérer la déchéance de cet homme qui entraine dans sa descente les deux femmes de sa vie. Lui qui n'arrivait pas à choisir, lui qui jonglait avec les sentiments et le sexe, le voilà qui sombre peu à peu dans l'indifférence. Neutre en toute situation, tout à fait distancié de la vie réelle il a de quoi agacer car il se laisse porter. Et au fil du récit c'est ce que l'on rêverait de lui asséner : "mais bouge-toi un peu, prends ta vie en main, sois une fois dans ta vie responsable !"



Je crois que le plus rageant est de voir tous les gens autour qui se montrent conciliants, compréhensifs et qui par leur entente tacite encouragent notre narrateur à rester dans sa torpeur. Tous les personnages finissent par devenir foncièrement antipathiques, foncièrement égoïstes car, en épargnant celui qui semble sombrer dans la folie, ils gardent leur petite vie sûre et confortable.



Que dire de ce livre? Je dirais qu'il m'a assez secoué dans le sens où c'est bien la première fois que j'ai détesté à tour de rôle chaque personnage. Tous me semblaient faux, ancrés dans les préjugés et les convenances. J'ai bien envie de voir le film pour voir le contraste avec le livre. Mais je crois que ce sentiment de rejet a eu finalement du bon car je crois que c'est le genre d'histoires qui peut me marquer. Déjà car des gens "immoraux", des gens qui se complaisent dans l'adultère, je crois que tout le monde en connais au moins une poignée dans sa vie. Et plonger dans les tréfonds de cette psychologie qui frôle la pathologie est un bon moyen d'évoluer et de se faire sa propre opinion sur le sujet. J'ai aimé l'ambivalence des états du narrateur qui jongle entre pleine conscience des événements et total sentiment d'indifférence vers la fin du récit.

Je crois avoir nettement plus compris et trouvé d'excuses à Eddie lorsqu'il gérait son trio dans la vie active. Puis lorsqu'il tombe dans une sorte de complaisance, dans une tentative de grandeur d'âme, je l'ai trouvé tout bonnement désagréable et irritant. Heureusement que les histoires restent en partie de l'ordre de l'imaginaire car en tant que femme cocufiée et baladée, je l'aurais juste trainé dans la poussière jusqu'à ce qu'il demande pardon (ouf, on l'a échappé bel).

Mais on sent tout de même la forte empreinte cinématographique avec beaucoup de dialogues qui rendent le récit plus dynamique. Beaucoup de scènes paraissent d'ailleurs être un instantané de la réalité plutôt que l'œuvre d'une imagination quelconque.
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L' arrangement

Curieux, ce bouquin, sa trajectoire propre, et sa trajectoire dans ma vie. En cours d'anglais, au lycée, on avait étudié ce passage (plutôt vers la fin du livre) "Et puis il y avait cette photo". Dans la chambre du père en Amérique, une seule photo, le seul "être" cher qu'il avait voulu regarder chaque jour pendant des décennies : son bout de montagne en Anatolie.

Ce texte m'avait marquée, et quand j'ai pu, j'ai lu ce bouquin, vers 16 ans.

Eddie Evans Ev Evangeleh Edward a une vie qui peut faire rêver son monde : dieu vivant dans sa boite de pub à Los Angeles, apprécié par son patron (est-ce que ça a inspiré les scénaristes de Mad Men ? Bien possible), dans sa maison de rêve, une femme intelligente, tendre, drôle, et leur fille. Il a la quarantaine, quelques maîtresses, rien d'important, des amis épatés par ce "golden" couple si uni…

Et paf, Gwen.

Sur la couverture du bouquin, j'avais la photo de Kirk Douglas et de la troublante Faye Dunaway, alors d'accord, Gwen sera Faye Dunaway, ça lui va bien, fragile et intense, un corps mouvant émouvant, et ce visage unique, tout sauf rassurant.

Et ce gros macho de Eddie, pas compliqué, assez ronflant dans l'opulence, brillant, assis dans un confort éblouissant, soudain face à Gwen, l'abandon de Gwen, les mystères de Gwen, se fissure.

Et il se regarde tomber. Ne ratant aucun épisode de sa descente, contemplant sa glissade le long d'un toboggan qui n'en finit pas, s'amusant de la destruction qu'il est en train d'opérer, et tant pis s'il fait un peu de mal à des gens aimés - son épouse par exemple, ou même Gwen elle-même. Il n'y peut pas grand chose, il veut tout casser, pas par sadisme, juste parce qu'il étouffe, et veut devenir nu, et vrai. Et il y va à bras le corps, jamais victime, étonné comme un gosse par le pouvoir de son égoïsme benoitement exprimé, même si ça ne marche pas à tous les coups. Pas dupe de lui-même non plus, curieux des autres, si possible non agressif, mais il y va.

Il se voit faire avec sa femme, son patron, les toubibs. Il se voit agir avec Gwen, les amoureux de Gwen. Il se constate démuni face à son père pourtant mourant, il reste fidèle aux côtés de sa mère, il décompose le reste de la famille, finissant par errer dans sa demeure d'enfance, délabrée, revisitant sa chambre, les chambres des autres, et celle de son père dans laquelle "il y avait cette photo".

.

J'avais été sonnée par ce qu'on peut aussi appeler une intense histoire d'amour. Pas facile, comme Gwen n'est pas facile, comme la famille n'est pas facile, comme la vie ne l'est pas non plus. Mais faisable.

.

Je retombe sur le livre quarante ans après. Gwen Faye Dunaway est toujours sur la couverture avec Kirk Douglas. Voyons si je retrouverai l'enchantement de mes jeunes années.

Oui, elle est toujours belle cette histoire d'amour, et passionnante cette descente qui se regarde faire. Mon expérience de 40 ans de vie par-dessus, pour l'enrichir. Maintenant je me dis que l'histoire de la photo, du seul amour de son père, son pays qu'il a quitté, est peut-être le tournant (politique ?) du livre : et si, parmi tous les migrants ayant galopé vers le rêve américain, vers une vie meilleure, avec de belles réussites possibles, et si parmi eux, certains se seraient brisé le coeur en quittant leur monde, pour quelque chose qui n'en valait pas la peine… Combien de ces migrants, même en ayant réussi, ont gâché leur vie ? Cette question jamais posée. Pourtant, c'est bien tout le rêve américain qu'il démonte détail par détail, sans haine mais consciencieusement. Tout comme la fille du Suédois dans "Pastorale américaine". Comme pour venger son père qui a perdu son âme dans ce pays. Comme si tout le monde perdait son âme dans cette construction artificielle qu'est l'Amérique, et y étouffait, alors qu'ils ont souvent fui une misère qui les aurait fait crever de faim, ou le nazisme qui les aurait fait crever tout court, ainsi que toute autre dictature. Echapper à ça ne fait pas une vie. L'Amérique brille, mais eux ternissent. Leurs enfants devraient pouvoir s'y épanouir, ils ont tellement bossé pour ça, les migrants. Mais les enfants implosent, devenus américains, ils ont ces envies douloureuses de tout casser parce qu'il y a quelque chose qui ne colle pas dans tout ça, un hic, du toc, comme un étau…

J'ai englouti avidement les 700 pages, heureuse de les retrouver, mes deux héros. Je rêve de savoir ce que Kazan a vraiment ressenti dans sa vie à lui, ce gars a une destinée surprenante. Des films mythiques, des Marlon Brando portés au pinacle, et puis sa trahison, incompréhensible, tâche noire à jamais sur son parcours de vie. C'était au début des années 50, le livre, lui, (ainsi que le film du même nom), sort quelques quinze ans après. Et c'est un sacré pavé, bien détaillé sur chaque étape du curieux voyage intérieur du héros, ça doit être étrange d'écrire ça, de revivre ces délires, en ayant pris un peu de distance, dans une vie si compliquée.

Sacrée Amérique, sacrée Gwen, sacré bonhomme.

Sacré bouquin.
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Le monstre sacré

Un extraordinaire récit du monde artistique (théâtre) ainsi que des réflexions sur la politique empreintes d'un humour cinglant.
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L' arrangement

Evan Arness, publicitaire dans une grosse compagnie de Californie, mène une vie tranquille avec sa femme aimante. Un jour il rencontre Gwen, une fille qui travaille à on-ne-sait-quoi dans l'entreprise, et décide d'en faire sa maitresse. A partir de ce moment-là sa vie va connaître un tournant. Il va se décider de vivre comme il le souhaite et cela n'est pas au goût de tout le monde.



J'ai un avis partagé sur ce roman.



Tout d'abord ce long récit d'un changement de vie est vraiment long. J'ai éprouvé l'impression de ne pas avancer.



Mais d'un autre côté c'est la chronique d'un Amérique névrosée : Florence, la femme d'Evan, ne l'affronte jamais directement, elle va toujours demander conseil à son psy et ce qu'elle fait partir des conseils ne marche pas du tout. Une fois que le psy se trouve au contact d'Evan il semble comme inutile, incapable de prodiguer ses conseils.



C'est aussi le récit de l'individu qui n'arrive pas s'assumer . Sa vie l'ennuie, il a une sensation de vide mais il ne décide jamais de la quitter franchement. Il se rabiboche temporairement avec sa femme, tente de se suicider puis joue au fou pour pouvoir faire ce qu'il veut sans reproche.



Evan finit par trouver la voie qui lui correspond mais les dernières lignes du roman le font s'interroger sur cet aboutissement : est-ce qu'il a bien choisi ? N'a-t-il pas fait tout ce chemin pour rien ?
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Les assassins

Elia Kazan, que j'aime beaucoup en tant que réalisateur, a aussi écrit des romans : Les assassins est l'un d'eux et j'avoue avoir, tout au long du livre, cherché à savoir comment ce réalisateur aurait mis cette histoire en image. J'ai été un peu déçu même si je ne me suis pas ennuyé une minute. Le récit est une critique assez acerbe du système judiciaire américain dans les années 70 où chaque phase et chaque personnage est décortiqué et révèle toutes ses compromissions, ses ambitions... Le seul être à peu près pur du livre finira, lui aussi, par succomber à ses démons. Pour moi, il s'agit donc d'un livre profondément désespéré où rien ne vient donner de l'espoir, que ce soit dans la justice elle-même, ou dans la vie de couple ou professionnelle, dans les aspirations des jeunes générations...
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L' arrangement

Un de mes livres préférés. On ne dit jamais que Kazan est un grand écrivain. Ce livre est à mon avis aussi autobiographique qu’America America. Le gilm est médiocre comparé au livre. Les personnages ont une profondeur psychologique , le livre est drôle et la critique de ´Amérique et de la sociéré moderne n’a pas pris une ride. .. ».Zephir, the pure cigarette
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Le monstre sacré

J’ai découvert un grand avec ce roman fantastique il a vraiment le sens de l’humour qui nous fait chérir les auteurs Grecs et leur romantiques ouvrages.Ce roman m’a beaucoup plu.

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Les assassins

J'ai essayé de finir le livre d'Elia Kazan, moi qui croyait que cela serait bon avec un titre comme Les Assassins. J'ai d'abord lu le commentaire de Philteys un autre membre Babelio. Au début, je trouvais l'histoire pas mal mais plus j'avançais plus je me perdais à chaque chapitre de nouveaux personnages n'apportant pas vraiment quelque chose de neuf à l'intrigue mince d'après moi. Alors, j'ai décidé de lire en diagonal mais rendu presqu'à la fin je l'ai laissé sur mon bureau. Si j'étais vous et que lors d'un magasinage dans une librairie usagé ou même chez un bouquiniste je le laisserais là prendre la poussière.
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L'Anatolien

La vision des années 1910 et suivantes par un émigré grec de Turquie du cinéaste Elia Kazan .
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Les assassins

Je suis assez déçu par la lecture de ce livre, dont les 150 premières pages sont passionnantes parce que l'auteur laisses supposer qu'il va entièrement les différentes phases des suites (policières puis judiciaires) données à cet assassinat. Et tout se dérègle, car l'histoire part dans tous les sens avec de nombreuses digressions et des personnages, au profil invraisemblable, plus intéressés par leurs projets privés (qui n'ont pas grand chose à voir avec le sujet principal) que par le rôle qu'ils ont à jouer dans cette affaire.
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Les assassins

C’est un beau roman il traite de faits divers englober de crimes et de parenthèses social qui nous fait découvrir l’Amérique d’antan une chose qui n’est pas facile à vivre avec ces superstitieux tribunaux qui essaie de relever le défi que rencontre la société mixte de mexicains et d’afro-américain,l’auteur a vraiment démontré par claritude de méfiance qui règne dans une région à la frontière du Mexique d’une question critique et dissociable faisant régir une arme qu’est Air Force et sa menace faisant instruire la vulnérable société d’Amérique.

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America America

C’est un beau roman,une belle histoire il m’a beaucoup passionné avec ce Stavros un gars rigide faisant face à la vie avec ces moyens mediocre pour gagner l’autre rive qu’est l’Amérique une terre promise enfin il a bien realise ces vœux pour une Amérique aux yeux de tous.

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L' arrangement

Je trouves ce livre très réussi dans le sens où je partages bien avec l’auteur l’émotion sensuel qu’il éprouve et pratique avec le côté féminin et en chassant les regards vulgaire et excentrique comme le dérapage sexisme(prostitution) .La vie à caractère sensuel pleine d’amour semble renferme et caractéristique laquelle j’ai beaucoup apprécier serait l’idéal et ce que l’on vit au fond de nous meme.

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