Elizabeth Hoyt

J'ai adoré ma lecture ! Je ne suis jamais déçue par l'auteure et la saga des "Fantômes de Maiden Lane" est une petite merveille. J'ai déjà lu d'autres tomes qui se passent apres celui-ci (oui je ne les lis pas dans l'ordre mais ils peuvent se lire indépendamment) et quel plaisir de retrouver certains personnages !

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Le duc est un personnage sombre et machiavélique, il ne craint personne et fait tout pour choquer / provoquer Bridget notre gouvernante, notamment avec son comportement scandaleux même si c'est ce qui fait son charme. Mais derrière cette apparence, on retrouve un homme hanté par son enfance, à cause de ce que son père a fait.

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Quant à Bridget, elle lui tient tête à notre Duc ! À travers son personnage, on peut voir la sensibilité de Val. J'ai adoré leur relation bien qu'un peu difficile vu que Val met un point d'honneur à affirmer qu'il n'a pas de coeur et ne peut donc pas aimer. Mais Bridget est la femme parfaite pour lui et heureusement, il va s'en rendre compte ! J'avais oublié à quel point les "Seigneurs du Chaos" étaient écoeurants en se livrant à ces pratiques... Pour conclure, c'est un très bon tome avec un personnage masculin complexe.

Note : 9/10

Pour être honnête, le résumé de ce tome ne me donnait pas forcément envie et j'avais peur d'être déçue, un peu comme pour le tome 4. J'ai commencé ma lecture sans trop d'attentes et j'ai été agréablement surprise. Le duo Lily - Apollon fonctionne bien, j'ai aimé me plonger dans l'univers des comédiens ; l'intrigue sur la résolution du triple meurtre dont Apollon est accusé m'a intéressé.



Pour une fois, la fin ne m'a pas semblée expédiée, je l'ai trouvé mieux amenée.

Ce tome est à l'heure actuelle mon préféré de la saga ! J'ai adoré le couple formé par Artémis et Maxime, j'ai aussi beaucoup aimé Apollon dont le tome devrait se concentrer bientôt sur lui et Phoebe qui prend de plus en plus d'importance.



Artémis a une vraie force de caractère, beaucoup de charisme et lutte pour supporter son quotidien difficile. Maxime aussi, même s'il me paraît moins développé.



Je déplore juste la fin bâclée et j'espère que nous en saurons plus dans la suite.

Une bonne surprise, alors que le tome précédent m'avait assez déçu et que le résumé de celui-ci ne m'intriguait pas forcément.



J'ai vite été emportée par la fraîcheur de Meg, sa détermination, mais aussi par la personnalité de Godric. L'intrigue sur le fantôme de Saint-Giles est toujours aussi prenante et j'ai déjà hâte de lire la suite sur Artémis ! Il y a aussi d'autres personnages qui ont l'air de plus en plus intéressants, comme Phoebe et James Trevilion.



J'ai passé un bon moment de lecture !

Petite déception pour ce 3e et dernier tome de la série.



Cette fois c'est le vicomte Simon Iddesleigh qui est au centre de l'intrigue. Nous l'avions déjà rencontré dans les deux tomes précédents, plutôt dans le rôle du bon ami un peu excentrique mais fidèle. Cette fois, il se retrouve en bien mauvaise posture, battu et laissé pour mort dans la campagne de Maiden Hill. C'est Lucy Craddock-Hayes qui le sauve d'une mort certaine en le ramenant dans la propriété familiale pour le soigner. le comte aimerait succomber aux émotions que la belle Lucy fait naître en lui, mais il veut se concentrer sur son unique but: venger la mort de son frère en provoquant en duel les hommes qui l'ont fomentée.



Dans ce tome, il n'y a plus ce pétillant qui m'avait tant plu précédemment, plus d'humour dans les dialogues entre les personnages... Ce roman est sombre, très sombre. le personnage de Simon est torturé, suicidaire et si Lucy est une femme de caractère, comme toutes les héroïnes de la série, elle souffre.



Dommage que cette série se termine comme cela en demi-teinte pour moi. Ca n'enlève rien à la qualité de la plume de l'autrice et je me laisserai certainement tenter par ses autres romans.

Georgina Maitland est la propriétaire d'un domaine dans le Yorkshire. Il est rare, en 1760, qu'une femme seule soit à la tête d'une telle exploitation. Elle est secondée par son intendant, Harry Pye. Indépendante, obstinée et n'ayant pas froid aux yeux, Georgina qui approche dangereusement de la trentaine est bien décidée à rester célibataire. Mais connaître les joies de l'amour physique la tente beaucoup... et Harry Pye pourrait bien lui apprendre deux ou trois choses.



Deuxième tome d'une série qui reste toujours pétillante même si ce tome était moins drôle que le précédent, malgré quelques bons traits d'humour dans les dialogues entre les deux personnages principaux.

On est dans la romance historique pur jus, de celle où les héroïnes sont plus modernes que leur époque et où les personnages ont tous un sacré caractère. Le fond de l'intrigue repose sur une sombre histoire de moutons morts empoisonnés dans les champs et d'une rivalité avec Granville, propriétaire voisin qui terrorise son entourage.



L'histoire d'amour est jolie sans vraiment faire rêver, le pont avec le tome précédent apparaît dans les derniers chapitres et les scènes érotiques sont bien dosées et bien écrites. Un bon moment pour ceux qui apprécient la romance historique.

Dernier tome de la saga des fantômes de Maiden Lane, l'intrigue se finit sur les lords du chaos, secte pédophile dont le duc de Dyemore veut se venger.

Lady Iris se fait enlever par la secte suite au mariage du duc de Kyle avec Alf, la prenant pour la nouvelle duchesse. Elle est sauvée in extremis par le duc de Dyemore infiltré pour faire imploser l'organisation de l'intérieur. Le prenant pour un des leurs, Iris lui tire dessus, bon début comme relation.

Rafael, balafré, n'est pas l'homme le plus communiquant, il lui impose un mariage pour la protéger des seigneurs du chaos qui voulaient la sacrifier. Sa psychologie est assez bien abordée pour une romance, son aspect froid, sombre est bien amené avec ses souvenirs difficiles d'enfance.



C'est un tome beaucoup plus sombre que les précédents au vu des thèmes abordés. Elizabeth Hoyt a su présenter les aspects les plus sombres de Londres, st Giles, les sectes pédophiles et leurs conséquences sur leurs victimes tout en gardant un côté romance. L'équilibre aurait pu être délicat mais sa plume fluide, avec des dialogues un peu piquants plus dans les précédents tomes, donne une série très agréable à lire, à conseiller aux amateurs de romances historiques qui sortent des sentiers battus.

Le tome que j'attendais depuis un moment, celui avec le duc le plus frappé, le plus manipulateur, pour qui la vie d'autrui n'est qu'un pion sur l'échiquier du pouvoir. Réussir à en faire le héros de cette romance était une gageure dont j'espérais beaucoup car il est de plus en plus pédant, antipathique au fur et à mesure des tomes précédents que lui donner un autre aspect était assez difficile.

Élizabeth Hoyt y parvient néanmoins tout en conservant la noirceur de son âme, c'est un salaud mais on arrive dans un certain sens à l'apprécier, à tout le moins à le comprendre. Son attitude à protéger sa jeune sœur, bâtarde, sacrifiée aux plaisirs des seigneurs du chaos y est pour beaucoup. Son enfance le rend un peu plus humain, maltraité par son père, haï par sa mère comme copie de ce maître tellement détestable.

Face à lui, Bridget, une gouvernante travaillant nouvellement pour lui mais cherchant à aider ses victimes. Elle se laisse finalement séduire par son côté diabolique. Peut-être un peu trop facilement, romance oblige, des rapports corsés plus longtemps auraient pu être plus crédibles. Mais ce n'est pas les codes dans une romance.

Plume fluide, des dialogues un peu acerbes, des personnages hauts en couleur, toujours la patte de l'autrice qui nous sert encore un bon roman historique.

Renouvellement de l'intrigue en oubliant Saint Giles et ses fantômes pour se concentrer sur des personnages secondaires.

Asa Wakepeace, frère d'un fantôme et de deux autres héroïnes des tomes précédents, est un homme entier, loin de l'image de piété de leur père. Déshérité par ce dernier à cause de sa passion pour le théâtre, il s'est donné corps et âme dans les harte's folies, jardin incendié dans un tome précédent.

Côté féminin on retrouve la petite soeur bâtarde du duc le plus manipulateur qui soit, pour surveiller ses investissements et imposer des limites à Asa. Traumatisée par un évènement dans son enfance, Eve ne supporte aucun contact avec un homme. Aussi face au tempérament impudique et emporté d'Asa, leurs rencontres sont assez explosives. Romance rouge, l'évolution de leur relation est un peu trop rapide vu son traumatisme.

Elizabeth Hoyt a su retrouver un seconde souffle avec une intrigue autour des seigneurs du chaos. Des rebondissements, de l'humour, une romance un peu pimentée, des personnages bien dessinés, tout est là pour faire un bon tome et le prochain est sur celui dont j'attends le plus le duc de Montgomery !

Avant dernier tome de la saga des fantômes de Maiden Lane centré sur la société secrète des maîtres du chaos évoqués depuis quelques tomes.

Le fantôme fait son retour sous les traits de Alf, une jeune femme déguisée en garçon pour survivre dans les bas fonds de Saint Giles. Elizabeth Hoyt avait mis un peu en avant ce personnage secondaire précédemment et c'est un plaisir de retrouver ce personnage si atypique. Avec son brin d'innocence, sa capacité à disparaître, c'est une anguille, un informateur hors pair pour débusquer la société secrète.

L'homme du roi, le duc de Kyle, bâtard du roi anobli, est chargé de mettre fin à leurs manigances. Mais il tombe dès le début du tome dans un traquenard dont vient le sauver le fantôme.



Pas mal de rebondissements pour une romance historique. La plume d'Elizabeth Hoyt est toujours aussi fluide,alerte, avec des pointes d'humour. Cette saga sort vraiment du lot par son côté atypique, ici un duc même si bâtard du roi avec une actrice, ne fraierait jamais avec un gamin de Saint Giles, un couple totalement impossible. Mais elle réussit à bien l'amener même si on a quelques facilités scénaristiques.

Un tome que j'attendais pour Phoebe, jeune soeur du duc de Wakefield, ancien fantôme intrépide qui la surprotège en raison de son handicap. Phoebe perdait peu à peu la vue dans les précédents tomes, elle est complètement aveugle désormais. Toute vie sociale lui est interdite pour éviter les chutes, bousculades. Et ce d'autant plus qu'on cherche à l'enlever pour faire pression sur son frère. Son garde du corps la suit comme son ombre, lui permet d'évoluer dans les endroits inconnus mais toujours sous le contrôle de son frère.



Phoebe est tout sauf une petite chose fragile, elle refuse de faire de sa cécité la fin de toute vie. Elle est ivre de liberté, elle si joyeuse,si pétillante face au taciturne James Trevillon.

Cet ancien dragon, blessé et secouru par Maximus prend très à cœur son rôle de protecteur. Peu loquace, il est indispensable à Phoebe qui est peu à peu attirée par lui malgré la différence sociale. Si on n'avait pas les appartés sur les sentiments de James on serait aussi dans le noir que Phoebe sur ce qu'il pense d'elle.

Une belle romance qui mise sur les sensations, les perceptions accrues. Le mystère autour du commanditaire des tentatives d'enlèvement est tombé à plat sur la fin, sans doute amené trop vite, le pourquoi paraît un peu absurde.

Mais toujours une bonne série, j'attends avec impatience le tome sur le duc de Montgomery, personnage très atypique, imbu de lui, manipulateur, comment va-t-elle en faire un héros de roman ?

Dans le tome précédent, on avait découvert une Artemis rebelle, prête à faire chanter un duc pour sauver son jumeau Apollon de Beldam, enfer sur terre où il était maltraité, affamé, victime de sévices.

Après l'incendie ayant détruit les hautes folies où il avait placé ses économies, Apollon se cache dans le parc calciné. Mais il n'y est pas seul, Lily une jeune actrice renommée sans emploi y a trouvé également refuge avec son jeune fils. Passé à tabac, Apollon a perdu l'usage de ses cordes vocales, sa carrure impressionnante le fait d'autant plus passé pour un monstre auprès de l'enfant impressionnable. La première partie est centrée sur la rencontre de ces deux âmes meurtries.



La romance fait ensuite vite place à l'enquête pour retrouver le véritable assassin pour le triple meurtre dont Apollon a été injustement accusé. Des personnages secondaires se détachent aussi , Phoebe la sœur de Maximus avec le dragon James Trevillion , héros du 8ème tome et surtout le dandy duc de Montgomery. J'ai hâte de lire la suite avec ce dernier avec son côté si décalé.

Une série qui se poursuit dans les bonnes surprises, le style très fluide de l'auteur, ses personnages au caractère bien trempé, une intrigue autour des fantômes qui s'étoffe au fur et à mesure font qu'on ne se lasse pas de ses romances.



Maximus a été traumatisé par le meurtre de ses parents à Saint Giles, il parcourt adulte ses rues la nuit pour retrouver l'assassin. Imbu de sa personne comme tout duc, il a décidé de se marier et choisit sa fiancée comme on choisit une pouliche, en fonction de son pedigree. Son choix se porte sur Penelope, la plus belle et la plus riche des héritières de la saison, en concurrence avec un autre duc de l'âge de son père. Un choix défini sans passion pour une jeune femme égocentrique, un peu stupide, loin de l'esprit libre de sa cousine et dame de compagnie. Un bon faire valoir pour Artemis, qu'on avait découvert un peu rebelle dans un tome précédent.

L'alchimie ne pouvait que fonctionner entre ces deux caractères forts, il fallait une amazone pour contrer le troisième fantôme.



Une belle lecture qui donne envie de découvrir les histoires autour du jumeau d'Artemis et de la jeune Phoebe bientôt aveugle.

Encore une fois Elizabeth Hoyt ne déçoit pas et c'est un coup de cœur. On suit Lady Phoebe, une jeune femme surprotégée par sa famille et surtout par son frère dû à sa cécité. Pourtant elle ne demande qu'une chose, de pouvoir vivre sa vie car elle étouffe. C'est un personnage que j'ai trouvé très touchant et on ne peut que s'attacher à elle tant elle est lumineuse. Le Capitaine James est tout son contraire, il est taciturne suite à une blessure à la jambe. Malgré cela il a tout ce qu'on pourrait demander d'un garde du corps, sauf que Phoebe ne veut pas qu'on la protège et lui non plus ne veut pas être son garde du corps car secrètement elle le rend complètement fou. En apparence ils n'ont rien en commun mais ils vont apprendre à s'ouvrir l'un à l'autre et vont se rendre compte qu'ils ne sont pas si différents que ça. La difference de classe sociale ajoute un petit côté interdit que jai beaucoup apprécié. J'ai vraiment aimé cette romance tout en sensualité et émotions. Il y a également pas mal d'action, on se demande pourquoi on s'en prend à Phoebe. Je ne m'attendais pas à la fin mais je trouve qu'elle a été un peu rapide et vite expédiée.

⚠️ TW : mention de viol.

Note : 9.5/10

Dans une série, le plus dur est de tenir sur la longueur, mais Elizabeth Hoyt réussit à maintenir un bon niveau pour ce cinquième opus. Après le 4ème où l'on découvrait l'identité du fantôme de Saint Giles, l'histoire se tourne sur un second fantôme, le premier raccrochant après son mariage. Un troisième a formé en même temps que les deux autres mais chut ce sera pour un prochain tome.



Godrick était un homme assez austère, ami de lord Caire du premier tome. Veuf inconsolable de son amour de jeunesse, il s'est donné à corps perdu dans sa mission de fantôme. Il s'est remarié avec Meg, qui s'est juré de se venger du fantôme qui a assassiné son amant avant toute annonce officielle de fiançailles alors qu'elle était enceinte.

Après deux ans de vie séparée, Meg revient à Londres bien décidée à se venger et à assouvir un autre de ses plus forts désirs. La rencontre de ces âmes meurtries, aimant toujours leur âme sœur disparue tragiquement, pouvait laisser craindre une romance assez plate,mais elle se met en place tout en douceur, sans cliché. Deux âmes éprouvés qui reprennent goût à la vie et à l'amour au contact de l'autre.



Tous les personnages reviennent plus ou moins fréquemment et c'est un plaisir de les retrouver, sans que leur présence soit forcée omniprésente.

Encore un bon opus.

Après un opus sur chacune de ses soeurs Tempérance et Silence, voici un tome concernant le jeune frère, maître d'école assez austère, totalement dévoué aux orphelins qu'il recueille.

Dans le précédent tome, on voyait se profiler la nouvelle romance avec une jeune veuve, meurtrie par la vie. Winter est un idéaliste, vivant sa mission comme un sacerdoce, abandonnant toute idée de vie pour lui même. Les femmes, l'amour étaient exclus de sa vocation, Isabelle vient tout remettre en cause ses convictions. Elizabeth Hoyt joue encore une fois le contre pied des romances classiques. Non seulement on est dans un quartier sordide mais les protagonistes sont dans un schéma inverse de l'habituel. Winter joue le rôle de la jeune débutante, la vierge idéaliste. Il est plus jeune, près de 8 ans d'écart, alors que d'habitude c'est les hommes qui ont la trentaine bien passée.



On découvre plus l'identité, les motivations du fantôme avec la recherche d'un méchant, homme dans l'ombre. Ce n'est pas mon préféré mais il s'inscrit dans une bonne lignée qui incite à continuer jusqu'au bout.

Un troisième tome haut en couleur ! Silence, jeune mariée qui avait perdu sa respectabilité en implorant la clémence de Mickey le charmeur pour sauver son mari de la faillite, retrouve ce pirate qui lui avait laissé sa fille Mary Darling. Ce bébé avait su capturer le coeur de Silence alors que tout le monde la méprisait même son mari, incapable de croire qu'elle n'avait pas fauté.



Un roman plein de rebondissements, avec la haine farouche entre Mickey le charmeur et son adversaire de toujours le vicaire de White chapelle, rancunier, aigri.

Silence se retrouve au coeur de cette vendetta, Mickey lui reprenant Mary Darling pour la protéger dans son palais. Et accessoirement pour contraindre Silence à vivre sous son toit. On sait d'avance qu'ils finiront ensemble mais leur romance prend son temps pour donner plus de cohérence à cette évolution radicale. Considérant Mary Darling presque comme sa fille, elle ne pouvait laisser seule la petite et va découvrir une autre facette de Mickey. Un pirate certes, élevé plus qu'à la dure, tuer pour ne pas être tué, voler pour survivre, mais aussi un coeur qui ne demande qu'à s'attendrir au contact de cette femme si forte et si douce.



Un très bon tome, plein d'aventures, de romance amenée toute en douceur, une histoire très plausible. Une plume addictive au final surtout avec un cliffanger, l'identité du fantôme de Saint Giles !

Second tome des fantômes de Maiden Lane, une série de 12 tomes qui peut faire peur vu le nombre de tomes mais qui se lit super facilement grâce à une plume fluide, des personnages attachants, une dose d'humour, une dose de romance corsée.

On pourrait être dans une banale romance, tous les codes sont là, mais Elizabeth Hoyt apporte un petit plus qui fait toute la différence, le contexte du quartier de Saint Giles la pauvreté, l'alcoolisme qui fait des ravages dans toutes les familles démunies. le gin est un fléau que la noblesse bien pensante essaie de réfrainer mais l'appât du gain facile, le désespoir sont des leitmotivs bien plus puissants.



Hero et Griffin se détestent au premier regard, une rencontre alors qu'il est en train de besogner une femme mariée ne donne pas une bonne première impression. Découvrir que ce vaurien est son futur beau frère est assez contrariant pour une femme de si bonne famille qu'Hero, la respectabilité étant érigée en première vertu. C'est la digne fille d'un duc mais on va découvrir qui se cache derrière ce masque.

De premier abord, les personnages semblent froids, agaçants, leur vraie personnalité fait vite place pour leur donner une toute autre densité.



Un tome qui se laisse lire très rapidement, qu'on a envie de prolonger au plus vite. Une bonne série.

Série de 12 tomes, je l'avais mise depuis longtemps de côté vu le nombre. Mais quand on voit Marcellina dévorer en peu de temps toute la série, ça donne à réfléchir vu nos goûts souvent communs. Ahhh et c'est encore une bonne pioche au vu de ses critiques ! Elizabeth Hoyt a une plume très fluide, légère, drôle avec des personnages entiers et attachants. Les dialogues sont assez croustillants, les personnages secondaires sont bien amenés pour suivre leurs propres aventures dans les prochains tomes. Bon ne faites pas comme moi à voir qui seront les prochains protagonistes car sinon gros gros spoil sur l'identité du fantôme de St Giles.



Veuve, Tempérance dirige tant bien que mal un orphelinat avec son frère en plein cœur du quartier mal famé de Saint Giles. Ayant un manque cruel d'argent, elle accepte de servir de guide dans le quartier la nuit à lord Caire, aristocrate aux mœurs dissolues pour l'époque dont la maîtresse vient d'être sauvagement assassinée. Nuit après nuit elle va l'aider à retrouver le meurtrier, mais leurs relations tournent vite à des rapprochements hot, l'alchimie passe bien entre ces deux personnages au caractère fort.



Un début de série prometteur que j'ai enchaîné de suite avec les suivants.

1760. Anna Wren, jeune veuve trentenaire, parvient à se faire embaucher comme secrétaire du comte Edward Swarthingham. L'impétueux lord n'est pas vraiment ravi de la situation mais une relation toute particulière va se nouer autour d'un grand chien qui n'a pas de nom.



Je découvre par ce premier tome d'une trilogie la plume d'Elizabeth Hoyt et qu'est-ce que j'ai bien aimé cette romance historique pétillante à souhait.

Les personnages, même secondaires, sont super bien croqués et j'ai ri tout au long de ma lecture. La romance en elle-même est très sympa et sort un peu des sentiers battus du genre. L'autrice à construit un couple terrible, entre une femme dotée d'un sacré caractère et un homme qui cache un cœur tendre sous une peau vérolée.

Les joutes verbales entre les deux protagonistes sont survoltées, les interactions avec le personnel de maison, quel qu'il soit, sont presque hilarantes et le chien joue superbement bien son rôle.



De la toute bonne romance historique qui pourrait ravir même les plus réticents.