AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Eoin Colfer (605)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Le Dernier Dragon sur Terre

Agréablement titiller par la proposition de lecture de Babelio, aussitôt acheté, bien qu'il ne soit pas en poche...Et oui entre le prix et la place que prend un grand format, je m’abstiens en général. La longueur a démarrer de l'intrigue m'a un peu refroidi au début de ma lecture, heureusement par la suite les protagonistes étant assez attachant, j'ai terminé le livre. Intriguée aussi par le faite qu'il était chaudement recommandé et dans un genre qui me plait qui se fait rare, j'espérais que l’atmosphère se réchauffe.

Plus la "photographie" d'une mentalité de la nouvelle Orléans et de ses bayous, qu'une histoire de dragon, même si celui ci est bien sympathique.
Commenter  J’apprécie          160
W.A.R.P., tome 1 : L'assassin malgré lui

Course pousuite dans un va-et-vient entre le XXIème siècle et l'époque victorienne. Pour soustraire les témoins clés de procés à venir, le F.B.I. profite d'une machine à voyager dans le temps pour les propulser dans le passé. Mais lorsque la jeune agent Charvie, fraîchement mise au rencard se voit poursuivie par un magicien surpuissant qui se révèle être le diable en personne, elle décide de défendre chèrement sa peau...



Le roman repose sur la personnalité de l'illusioniste et sur le décalage entre les héros venus d'époques différentes. Il y a peu de temps mort dans l'histoire qui joue aussi sur l'humour provenant de situations cocasses. Récit grinçant où la mort est omniprésente. Mais qui peut gagner à ce jeu du chat et de la souris? A découvrir
Lien : http://cdilumiere.over-blog...
Commenter  J’apprécie          160
Artemis Fowl, tome 1

Artemis Fowl est le nom d’un héros dont j’ai beaucoup entendu parler jusque là et qui m’intriguait. Lorsque j’ai trouvé ce premier tome pour une poignée d’euros, je n’ai même pas pris connaissance du résumé (erreur !), me fiant aux bons échos de la blogosphère littéraire. Même si je savais qu’il s’agissait d’un ouvrage pour la jeunesse, je ne me suis pas méfiée plus que ça, habituée aux jeunes héros.

Malheureusement pour moi, la sauce n’a pas (du tout) pris et je ne lirai définitivement pas la suite. Dorénavant, au lieu de foncer tête baissée lorsque je trouverai un ouvrage d’occasion qui semble avoir du succès, je vérifierai au moins le résumé et je feuillèterai un peu !



Agé de 12 ans, Artemis est un génie. Un père absent, une mère qui semble mentalement dérangée, le garçon profite de la situation pour faire l’école buissonnière et s’adonner au « crime ». Accompagné de son fidèle garde du corps - et unique ami - Butler, il met au point un plan infaillible pour voler la fortune des fées, créatures légendaires qu’il sait exister.

Malheureusement pour lui, il kidnappe Holly, une membre tenace des FARfadets (Forces Armées de Régulation du Peuple des fées) qui n’est pas du tout décidée à lui faciliter la tache…



Une aventure liée au monde des fées qui se passe principalement en Irlande, autant dire que cette histoire avait de bons arguments pour me plaire… Et, si ma note (dans Bibliomania ou sur d’autres sites du genre) n‘est pas si mauvaise (6/10), c’est entièrement grâce à cet univers mis en place par Eoin Colfer.

En effet, l’auteur développe une « mythologie » féérique intéressante où les nains creusent des tunnels en mangeant la terre et où des équipes complètes de fées sont chargées de réparer et effacer la mémoire des humains qui pourraient avoir eu vent de l’existence de leur monde. J’ai aimé le fait que dans cette saga, Eoin Colfer lie le monde des fées à une technologie de pointe, supérieure à celles des humains. Dans le folklore habituel (ou du moins dans ce que j’ai l’habitude de lire), les fées sont proches de la nature et à rapprocher d’un univers assez « médiéval » et donc plus ou moins « reculé » en terme de technologie. C’est intéressant de découvrir une autre approche, toute aussi pertinente que celle à laquelle je suis habituée. Même si les deux mondes (humain et féérique) se croisent dans ce premier tome, la majeure partie de l’intrigue se déroule à la surface (les créatures féériques vivent sous terre pour préserver leur existence) en quelques jours seulement (à notre époque). J’aurais aimé visiter un peu plus le « sous-sol » ; peut-être qu’il est plus développé dans les tomes suivants, mais je n’aurai pas l’occasion de le découvrir.



Un contexte plutôt sympathique, n’est-ce pas ? Oui, sauf qu’il n’abrite pas une intrigue et des personnages qui m’ont séduite.

Pour commencer, je n’ai pas accroché à l’histoire en elle-même. Cette idée de kidnapping pour récupérer de l’or féérique ne m’a intéressée à aucun moment. Et, même si les actions s’enchaînent plutôt bien, avec un rythme soutenu, je me suis ennuyée et j’ai eu du mal à arriver au bout, n’ayant jamais envie de poursuivre la lecture.

Mais, le pire de tout et ce qui a sans doute rendu ma lecture aussi ardue, ce sont les personnages ; à commencer par le jeune héros. Dire que je n’ai pas aimé Artemis est un doux euphémisme. Une tête à claques que j’ai détestée dès sa première apparition ! Dommage, le prénom en hommage à ma déesse préférée n’aura pas suffit à me rendre ce gamin sympathique. Habituellement, les personnages cyniques et d’apparence froide et cruelle, me parlent, mais là non, le courant n’est définitivement pas passé. De plus, je veux bien qu’Artemis soit un génie, mais tout QI élevé qu’il ait, je ne pense pas qu’un gamin de 12 ans ait le dixième de son comportement ; invraisemblable ! Les autres personnages ne m’ont pas davantage convaincue. Que ce soient les fées ou l’entourage du héros, je n’ai eu aucune sympathie pour aucun d’entre eux et je me fichais éperdument de ce qui pouvait leur arriver.



Peut-être aurais-je davantage apprécié cette découverte si je l’avais faite dix ans plus tôt ? Sincèrement, j’en doute. Je peux rapprocher ce livre de la saga de C.S. Lewis - Le Monde de Narnia - à laquelle j’ai fait les mêmes reproches : un univers intéressant mais des personnages détestables et des aventures ennuyeuses à souhait. Lorsque je lis, je veux vibrer. Rire, pleurer ou même être énervée… je veux ressentir quelque chose. Avec Artemis, ça a été comme avec Narnia : l’indifférence. Je n’avais qu’une envie, arriver au bout !

Cela dit, rendons à César ce qui appartient à César, la plume (du moins la traduction française) est fluide… et heureusement pour moi ! Les plus jeunes peuvent donc se lancer dans cette lecture sans craindre la difficulté. J’ai également noté qu’Eoin Colfer avait tenté quelques touches d’humour qui sont pratiquement toutes tombées à plat chez moi, mais je ne doute pas qu’elles fassent mouche chez d’autres…



Cette saga remporte un franc succès chez la plupart de ses lecteurs, alors ne vous fiez pas entièrement à mon avis de (vieille) grincheuse ! Pour ma part, et comme je le disais plus haut, Artemis et moi, ça s’arrête là.
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
Commenter  J’apprécie          164
Artemis Fowl, tome 1

D'abord vu le film, puis lu le bouquin.

Et dans les deux cas, je suis resté sur ma faim.

Désagréable impression qu'il y avait moyen de faire tellement mieux et que, par facilité, l'auteur va au plus simple, au plus rapide.

Plein de bonnes idées pourtant, et comme je suis bon public, je sais déjà que j'irai lire la suite - il me semble qu'il y en a une - pour voir comment évolue la franchise. En espérant une bonne surprise !
Commenter  J’apprécie          150
Migrant

Qu’est-ce qui pousse des hommes, des femmes, parfois des familles entières à traverser terres et mers pour se réfugier en Europe? Ce récit poignant est basé sur des témoignages de migrants. Les illustrations précises et réalistes sont très belles ainsi que la mise en couleur. Cet ouvrage laisse une forte impression. L’aspect graphique donne une dimension humaine et réaliste absolument bouleverseante.
Commenter  J’apprécie          150
Artemis Fowl, tome 1

Pourquoi ce livre ?



Nous avons des recommandations sur Babelio sur nos genres de lecture. J'ai eu comme proposition de livre Artemis Fowl. J'ai vu peu après que Val07, ART3MIS, et Melissandre voulaient aussi le lire donc je leur ai proposer de faire une lecture commune. On a commencer le 27 août.



Résumé :



Artemis Fowl, 12 ans, fait parti d'une famille de mercenaires. Chaque membres de sa famille a un majordome de la même famille : celle des Butler. Artemis a une intelligence adulte et c'est mis en tête de trouver de l'argent. Celle des fées. Grâce à un livre magique féerique, il va pouvoir commencer sa quête...



Holly Short, agent du FARfadet, Forces Armées de Régulation du Peuple des fées, (la police des fées quoi !), a pour mission de partir en éclaireur car un troll envahit les galeries jusque chez les humains. Elle doit se racheter ou partir dans le service des égouts. Elle échoue (dommage pour elle!) et finalement, le commandant Root l'envoie dans le Vieux pays...



Arty va alors commencer son plan en enlevant cette fée et en la laissant dans son manoir, mais malheureusement, les fées ne sont pas débutantes et aussi, elle trouve le moyen de s'introduire dans le manoir.



Les +:

+un bon début intéressant.

+on comprend facilement l'histoire.

+écriture fluide. Il dit que Artemis a une intelligence hors du commun, vrai car il mélange la 2eme ampoule (chapitre 1 ou 2) avec un sérum pour l'amnésie, déjoue les plan des fées avec le Livre (biobombe)...

+une situation de présentation bien expliquer pour Holly, mais elle est quand même un petit danger public !



Les -:

-trop de détails sur le décollage pour le troll et pas assez sur le "combat".

-l'auteur passe souvent beaucoup de temps sur des détails alors que sur les attaques ou autres, il y a une somme de détails réduite par 20... c'est le cote à revoir.

-Je pense que DisneyLand Paris n'existera plus dans mille ans... et que les MacBook non plus dans la logique des choses...

-Plus j'avançais dans le livre, plus l'auteur me décevait mais quelques actions ont fait remonter l'estime que je commençais à avoir du livre.





Avis sur le livre :



Au tout début, j'avais mis 5 étoiles aux livres, après 4, après 3,5, après 3, après 3,5 et maintenant 4. L'histoire ne tient pas debout alors que pourtant, il y avait un très bon début. L'idée était bonne, enfin bref. Maintenant, je mets 4 étoiles. Je lirais sans doutes la suite, mais j'hésite un peu quand même. J'ai remarqué une forte baisse de lecteurs entre le tome 1 et le tome 2. Dois-je lire la suite ? Dites-moi ce que vous en avez pensé en commentaires ou en messages privés, ça m'aiderait !





Dernière chose, aller voir les critiques mes partenaires car elles sont superbes !
Lien : https://www.babelio.com/aute..
Commenter  J’apprécie          1512
W.A.R.P., tome 1 : L'assassin malgré lui

La fin d'Artemis Fowl ayant laissé un grand vide, je me suis jetée sur W.A.R.P. dès sa sortie. S'il est loin d'être à la hauteur de la première saga de l'auteur, j'ai quand même passé un très bon moment.



A notre époque, le FBI utilise une machine à voyager dans le temps pour mettre en sécurité des témoins importants de procès en cours. Ils sont envoyés dans le passé, à Londres en 1898. Chevie, plus jeune agent du FBI, a légèrement foiré sa dernière mission et est chargée de surveiller la très inactive machine à voyager dans le temps, ce qu'elle prend pour une punition un peu trop cruelle. Sauf que, bien sûr, la machine ne reste pas inactive bien longtemps et cette dernière finit par lui envoyer un jeune homme affolé du nom de Riley qui se dit poursuivi par un tueur sans âme.



Riley est, en 1898, le jeune apprenti du grand illusionniste Albert Garrick. Mais Garrick n'est pas qu'un illusionniste, il est aussi un assassin très doué qui souhaite voir Riley le suivre dans cette voie qui le dégoûte. Lorsqu'il est envoyé dans le futur, Riley n'a aucun doute : Où qu'il soit, Garrick va le retrouver. Avec l'aide de Chevie, il tente de fuir par tous les moyens un Albert Garrick génétiquement modifié par le voyage dans le temps, et encore plus dangereux qu'il ne l'était dans son époque.



Les trois personnages principaux sont très particuliers, et j'aime cette façon qu'a Eoin Colfer de créer de vrais méchants cruels et sans âme, des méchants crédibles, même en littérature jeunesse. La peur de Riley est palpable et compréhensible, et Chevie et lui ne sont que deux jeunes un peu doués qui fuient un homme mauvais au sommet de sa forme.



Chevie est combative, courageuse et ambitieuse mais un trop téméraire et sure d'elle, ce qui lui joue souvent des tours. Riley quant à lui est renfermé sur lui-même, poli et débrouillard, et c'est un personnage auquel on s'attache facilement. Tous les deux orphelins, Chevie ne vit que pour son travail, alors que Riley a été adopté par Garrick à la mort de ses parents et rêve d'une autre vie. Ce sont deux personnages très seuls avec beaucoup de points communs pour contrebalancer le fait qu'ils ne viennent pas de la même époque et ne partagent à peu près rien d'autre.



Le style de l'auteur n'est pas différent de ce qu'il était dans Artemis Fowl, d'autant plus que le roman est heureuuuusement traduit par Jean-François Ménard, traducteur d'Artemis Fowl (et d'Harry Potter, accessoirement). C'est un style que j'apprécie, adressé aux jeunes sans être enfantin et bourré d'humour.



Ce premier tome vous offrira une histoire prenante, sans temps morts, parfois effrayante et dérangeante, mais aussi drôle et magique. J'ai beaucoup apprécié ce roman, dévoré en une journée, et j'attends avec impatience la suite, convaincue qu'Eoin Colfer va continuer à me surprendre.
Lien : http://allison-line.blogspot..
Commenter  J’apprécie          150
Migrant

S'inspirant de faits réels, "Migrant" est une bande-dessinée puissante. Il n'y a rien de novateur dans cette histoire - deux frères partent pour l'Europe pour retrouver leur soeur dont ils sont sans nouvelles et espèrent un avenir meilleur - mais elle est nécessaire.



J'adore les graphismes de Giovanni Rigano. Ils sont très détaillés, très doux paradoxalement à l'histoire, et ils jouent avec les couleurs et les lumières. Certaines vignettes m'ont éblouie. Quant à l'histoire, elle est bouleversante. J'ai entendu, lu et vu des tas de fois toutes ces scènes, mais à chaque fois, je ressens la même chose : un pincement au coeur et beaucoup d'amertume. Et cette bande-dessinée fait partie de celles qui ravivent ces sensations, qui les intensifient.

Aucun être-humain n'est illégal - c'est d'ailleurs le titre original de ce livre - et aucun être-humain ne traversent toutes ces souffrances sans raisons valables. Je crois que cette bande-dessinée est nécessaire pour le rappeler encore et toujours.
Commenter  J’apprécie          140
Artemis Fowl, tome 1

*Lecture commune avec Rogues, ART3MIS et Melissandre*



Tout ça pour ça !



Artemis Fowl, gosse de riche au QI anormalement élevé, est dans la mouise : son père s'est fait assassiner par la mafia, sa mère est en proie à des délires incontrôlables, la fortune réputée intarissable de sa famille flanche dangereusement, et il a la police aux trousses depuis qu'il a trempé dans une affaire de kidnapping inter-espèces avec l'aide de son domestique. Petite précision : nous avons fait un bond en avant dans le temps de plus d'un millénaire, et l'humanité telle qu'on la connaît cohabite désormais avec d'autres espèces qui étaient jusque-là réservées à l'usage des contes de fées...



A vrai dire, lorsque j'avais débuté ce livre avec mes trois partenaires de lecture, je ne pensais pas du tout plonger dans ce genre de littérature. J'avais déjà eu vent que ce roman était débridé et débordant d'humour, certes, mais ici c'est une autre paire de manches : l'humour ne déborde pas, il dégouline, il se déverse par litres en dehors du bocal, tout en effaçant soigneusement toute la consistance et la cohérence qu'auraient pu régir cet ouvrage.



Ne vous y trompez pas, j'aime quand un livre est humoristique, mais là... Artemis Fowl n'est clairement pas l'oeuvre adéquate pour étaler de long en large son humour sans limites. Soit un livre est sérieux, soit il ne l'est pas. Il est impossible, à ma connaissance en tout cas, de faire un "entre-deux" potable sans définitivement prendre une décision. Car dans cette histoire, il y a zéro suspense puisque les protagonistes lancent des blagues à tout va même dans les moments les plus critiques. Donc, on se dit avec de bonnes raisons que les personnages ne sont pas en danger ! Et cela, durant tout le roman. Autrement dit, niveau "addiction", il y a mieux...



Passons à un autre point : la situation temporelle de l'histoire. Il y a mille ans, nous en étions encore aux Vikings et à l'invasion de la Corée, c'est-à-dire bien loin de la situation technologique de maintenant. Donc, en 3000 et quelques, je suis à peu près certain que nous serons encore beaucoup plus évolués qu'aujourd'hui. Mais d'après notre cher Eoin Colfer, pas du tout, nous achèterons toujours des MacBook, nous nous promènerons toujours à DisneyLand, les résidents d'outre-Atlantique seront toujours branchés en continu sur CNN. Je reste perplexe devant cette version de notre avenir, mais je pense que je ne suis pas le seul !



Mais ce n'est pas tout. le personnage principal, Artemis Fowl, est une véritable tête à claques. Il n'a que douze ans, mais il se prend déjà pour l'Ennemi Public Numéro Un. de plus, il m'a énervé à l'extrême avec ses manières doucereuses de psychopathe en herbe et de Monsieur-Je-Sais-Tout. Vers la fin du livre, il m'a tout de même un peu ému lorsqu'il se prend une baffe de la part de la policière Holly, et qu'il prend réellement conscience de sa situation de Minimoys. Mais honnêtement, j'aurais de loin préféré que le véritable protagoniste du livre soit Holly !



Finalement, après moult hésitations, j'opte pour un 1,5/5. Je ne sais pas encore si je vais tenter de lire le deuxième tome, mais je penche plutôt pour une réponse négative. Mais il ne faut jamais dire jamais !



Une dernière chose : allez voir les critiques de mes partenaires de lecture sur ce roman ! Elles sont super !



Bonnes lectures ! :-)
Commenter  J’apprécie          1312
W.A.R.P., tome 1 : L'assassin malgré lui

J’avoue que quand j’ai reçu ce livre, j’ai eu peur qu’il soit trop jeunesse. De plus, le thème est le voyage dans le temps, j’adore Time Riders qui est publié chez Nathan, donc je me languissais de découvrir l’univers d’Eoin Colfer et sa façon de procéder aux voyages dans le temps.



On rencontre Chevie, une adolescente qui fait partie de FBI. Sa première mission n’a pas été un grand succès donc elle est envoyée à Londres avec l’agent Smart pour surveiller ce qu’il y a dans la cave. Albert Garrick et Riley vivent en 1898 à Londres, Garrick est un assassin, il est payé pour ça. Riley est son assistant mais il n’a pas encore assassiné… Jusqu’à ce qu’un jour, Garrick amène Riley assassiné un homme, mais Riley va être envoyé dans le futur… Garrick va tout faire pour retrouver son assistant.



Dès le début, on entre dans l’action du livre. On découvre les personnages, l’univers qu’a créé Eoin (prononciation Owen) Colfer.

Chevie est une jeune fille qui a la langue bien pendue, d’ailleurs, selon les circonstances, elle devrait plutôt se taire mais non, elle ne peut pas. Elle est orpheline, elle n’a que le FBI dans sa tête. Elle veut absolument monter de grade, le plus vite possible. Elle est ambitieuse, intelligence et c’est une combattante.

Riley est un jeune homme qui a eu une enfance très difficile, élevé par Albert Garrick, ce n’était pas tous les jours facile… Mais, grâce à Garrick, il a pu apprendre le métier d’illusionniste et arrive à crocheter n’importe quelle serrure, ce qui lui sera très utile.



On s’attache facilement aux personnages, malgré leur différence de siècle, ils ont tous les deux des points communs. A peine, on lit le résumé, qu’on espère que tous les deux vont s’en sortir. On est pris dans l’action du livre et les pages défilent seules. Tout le long du livre, je me demandais comment l’auteur allait finir le livre, vu que c’est un premier tome, il faut bien rentre la fin attrayante pour donner au lecteur l’envi de continuer. Du coup, on veut connaître le dénouement rapidement ! D’ailleurs, je trouve cette fin très bien, certes, on veut connaître la suite mais attendre ne va pas être un supplice pour moi.

Le style de l’auteur est simple et fluide, mais quand on entre dans le sujet des voyages dans le temps, le vocabulaire utilisé est assez complexe, ce livre est Jeunesse, je pense que les enfants de douze – treize ans, peuvent aimer ce livre mais vont passer à coté de certaines choses…

L’intrigue est vraiment prenante, on est avec les deux personnages et on souhaite qu’ils s’en sortent, qu’ils vont avoir Garrick. Donc on lit le plus vite possible !

Par contre, vers le milieu du livre, j’ai trouvé que c’était un peu long, je me languissais que l’intrigue reprenne en suspense.



En conclusion, un premier tome que j’ai bien aimé. J’ai apprécié l’univers d’Eoin Colfer, l’intrigue, les personnages, le style… Je recommande ce livre pour tout le monde, certes il est Jeunesse mais personnellement, j’ai passé un très bon moment avec Riley et Chevie, j’ai aimé en apprendre plus sur eux, car à chaque fois, on s’attache plus.

Je ne connaissais pas cet auteur, surtout que sur la couverture, il y a d'écrit "Par l'auteur de la série Artemis Fowl", du coup, j'aimerais beaucoup découvrir cette saga !
Lien : http://livres-films-series.b..
Commenter  J’apprécie          130
Artemis Fowl, tome 1

Artemis Fowl, un des rares anti-héros que j'ai pu découvrir en littérature jeunesse. Ce qui m'avait attiré dans cet ouvrage c'est non seulement le fait qu'il soit le produit d'un auteur irlandais, qu'il ait pour héros un irlandais mais aussi qu'il traite des fées et du monde féérique d'une manière originale et moderne.



Le personnage d'Artemis Fowl vaut à lui seul le coup. Un génie qui ne recule devant rien pour obtenir ce qu'il veut : de l'or pour rétablir sa fortune familiale. Pour cela, il n'hésite pas à extorquer le peuple des Fées dés qu'il en découvre l'existence. Et il n'a que douze ans !



Le livre se présente comme le récit reconstitué par un psychologue des Fées, de la première malversation d'Artemis à l'encontre de ce peuple. C'est d'ailleurs ce psychologue qui apparait dans le prologue et l'épilogue, ouvrant et concluant l'histoire.



Une bonne expérience de lecture, rafraichissante et qui m'a laissé un bon souvenir bien que je n'ai jamais eu l'occasion de poursuivre l'aventure avec cet anti-héros.



Si vous en avez assez de ces personnages anodin qui se révèle être de grands héros destiné à sauver un monde en se découvrant des dons secrets et inégalés, essayez Artemis Fowl, un personnage hors du commun, un génie du crime.
Commenter  J’apprécie          120
Artemis Fowl, tome 7 : Le complexe d'Atlantis

Septième tome des aventures d'Artémis Fowl, le jeune génie manipulateur. Mais cette fois, s'il contacte le peuple des fées, c'est pour sauver la planète et non pour un quelconque bénéfice personnel. Trop beau pour être vrai ? Et oui, car sa culpabilité a provoqué une maladie mentale, le complexe d'Atlantis. Il souffre de paranoïa et d'un dédoublement de la personnalité, qui surgit aux moments les plus inopportuns durant leurs aventures comme toujours mouvementées.

Ce tome est bien différent des autres, par bien des points, mais toujours aussi bien écrit et digne d'Eoin Colfer. Un roman qui finit avec la certitude d'un huitième tome et on l'espère, le retour de l'Artémis que nous apprécions. (Note personnelle, je ne l'ai pas encore lu en français, mais l'univers a été vraiment bien retranscrit pas les traducteurs des tomes précédents, je n'ai pas du tout été dépaysée !)
Commenter  J’apprécie          120
Artemis Fowl, tome 1

Artemis est un gamin de 12 ans qui vit au manoir familial à Dublin, entouré d'un serviteur bâti comme un colosse et d'une mère devenue un peu folle depuis la disparition du père. Le jeune Artemis, doté d'une intelligence machiavélique et d'une absence de scrupules remarquable, est bien décidé à renflouer la fortune familiale, famille qui, soit dit en passant, est essentiellement composée de malfaiteurs. Utilisant les techniques modernes, le jeune garçon décide d'enlever une fée et d'exiger une fabuleuse rançon au Petit Peuple. Car si vous croyez que les fées ont disparu, vous vous trompez !

Fuyant le genre humain, le Petit Peuple s'est établi sous terre, utilisant la technologie la plus avancée et la magie traditionnelle pour survivre loin de nous.

Eoin Colfer, instituteur et auteur à ses heures perdues, a su très habilement se démarquer de l'oeuvre de Rowling. Doté d'un véritable talent (mais quel est l'Irlandais qui ne sait pas écrire ?), il a su puiser dans le folklore de son pays et aux racines de la mythologie celte pour recréer un monde féérique, plus adapté à notre siècle.

C'est donc un polar fantastique, aux dialogues vifs et à l'humour décapant que nous propose un Colfer à l'imagination délirante. Au fil des pages, notre anti-héros s'humanise quelque peu (annonçant ainsi le deuxième volume), laissant deviner une fêlure qui le rend plus sympathique... Et puis Colfer pratique l'humour d'une manière toute irlandaise, nous délivrant au passage quelques messages bien sentis, comme par exemple, lorsque les farfadets reconnaissent qu'il n'y a plus guère que les Irlandais pour croire au monde féérique, ou encore lorsque Artemis essaie sa nouvelle arme, surpuissante, pour détruire un baleinier, espérant ainsi diminuer le nombre des tueurs de baleines qui écument les océans... Le souci de l'environnement est présent dans le livre ce qui est une bonne chose.

Le roman est véritablement de qualité et le style de l'écrivain est plus que plaisant.

Et puis, ce sont les fées qui sont les véritables héroïnes de ce livre, et en notre époque sinistre, nous avons bien besoin d'elles...
Commenter  J’apprécie          120
Le Dernier Dragon sur Terre

Je n’ai pas lu Artemis Fowl d’Eoin Colfer ! Ceci dit, le résumé de « Le dernier dragon sur Terre » du même auteur semble sympathique, en nous proposant un dragon vivant en notre temps, alcoolique solitaire et amer. Ce n’est pas un roman jeunesse ceci dit. Qu’ai-je pensé ?



Eoin Colfer choisit de placer son histoire de nos jours, dans le bayou de la Louisiane. Vern vit caché et alcoolique notoire après la destruction de sa race par les humains. Mais il se retrouve bientôt lié à un jeune cajun qui a don de se fourrer dans les ennuis. La relation entre les deux et touchante et bien racontée. L’un des points forts du roman est de mettre en place des personnages forts et souvent charismatiques. Ils sont décrits en quelques phrases, mais ces quelques phrases suffisent à les rendre reconnaissables à chaque instant.



C’est aussi grâce à la plume de l’auteur. L’écriture est à la fois directe et drôle. Eoin Colfer a le don de créer des effets comiques efficaces autour des personnages. Cela permet également de donner du corps à l’univers, plutôt original par ailleurs. Ainsi, Vern le dragon a souvent des opinions très fortes. Squib est débrouillard et attachant. Regence Hooke est un antagonistes détestable et délicieusement cliché. C’est une agréable contre-partie au fait que l’histoire soit finalement assez sombre.



La narration du roman met du temps à se développer, mais les actions se mettent en place de manière plus intense au cours du récit. On y suit une histoire de mafia à la sauce de la Louisiane. Armes, trafic de drogue… L’histoire est assez mature avec des passages un peu saignants malgré l’humour. La fin du roman est par ailleurs accrocheuse. On y traite aussi bien d’espèces protégées que le l’importance des liens filiaux et amicaux.



J’ai cependant trouvé le livre inégal dans sa qualité. Certains moments sont assez lents et peu passionnants, d’autant plus que la plume, bien que drôle, est parfois peu inspirée. Je pense que, malheureusement, le roman ne me restera pas en mémoire très longtemps. L’auteur ne souhaitait sans doute pas en faire un roman très ambitieux, et il y a des passages où cela se ressent.



Original, l’histoire est portée par son personnage de dragon acariâtre et amer. Mais Vern n’est pas le seul personnage à être réussi, car une grande partie de ceux présents sont attachants ou bien caractérisés. Le ton moderne et irrévérencieux de la plume permet de bien accrocher à cette histoire mafieuse et violence. Cependant, le récit est globalement inégal, avec des passages lents qui ont failli me faire décrocher. Sympathique mais je n’en garderais probablement pas de souvenir impérissable.
Lien : https://lageekosophe.com/202..
Commenter  J’apprécie          110
Airman

En cette fin de XIXe siècle, les hommes rêvent de construire la machine qui les fera voler. Mais pour le jeune Conor Broekhart la conquête de l'air est plus qu'un rêve — une destinée. Né à bord d'un ballon dirigeable, Conor grandit dans les îles Salines, au large de l'Irlande. Il y étudie la science du vol avec son ami le professeur Victor Vigny et passe de longues heures à explorer le château en compagnie d'Isabella, la fille du roi. Tout change en une nuit tragique, quand la pire des trahisons détruit sa vie et lui confisque son futur. Pour sauver sa famille et son île, Conor n'a plus d'autre choix que de prendre son envol.



Un roman époustouflant où vous retrouverez plus que jamais l'imagination, le panache et l'humour de l'auteur d'«Artemis Fowl».



Une adaptation pour le cinéma est actuellement en cours (Disney).
Lien : http://www.gallimard-jeuness..
Commenter  J’apprécie          110
W.A.R.P., tome 1 : L'assassin malgré lui

Autant vous dire que le résumé de ce livre ne m'attirait pas le moins du monde. Envoyé par les éditions Gallimard jeunesse en épreuves non corrigées, ce manuscrit se présentait devant moi tel un OVNI étranger, un genre littéraire que je ne convoite pas, et dont je redoute la lecture. Comme on le dit si bien, il ne faut pas juger en fonction des apparences : ce livre a été une révélation, à deux doigts du coup de coeur, il a réussi à s'infiltrer au tréfonds de mon âme de lectrice, pour m'apporter les si belles émotions qui me font tant aimer la lecture.



En résumé, WARP, L'assassin malgré lui raconte l'histoire de deux monde, celui du XXIème siècle, avec la jeune espionne du FBI Chevie Savano, et celui du temps victorien reculé, de Riley, et le terrible Albert Garrick. Grâce à un transporteur qui permet de voyager à travers le temps, ils vont se croiser, s'associer, pour finalement lutter contre le Diable en personne : Garrick. S'ensuit d'innombrables péripéties, des aventures gargantuesques, pleines d'admirables actions, et de terrifiants moments.



Pour faire simple, ce roman ne vous laissera aucun moment de répit. Eoin Colfer ne laisse personne souffler, et enchaîne, dans un rythme fulgurant, les incidents. WARP est digne des plus grands romans d'aventures, méritant amplement ce titre, tant les rebondissements sont nombreux.



Combiné à un style historique, ce roman offre la possibilité aux lecteurs de s'interroger sur une probable esquisse d'Albert Einstein concernant les voyages dans le temps. Qui n'a jamais rêvé de découvrir le futur, de visiter le passé, de se téléporter dans un autre monde, une autre époque ? Eoin Colfer nous donne ici la faculté de partir à la découverte du temps, de s'échapper de la réalité pour sombrer dans l'aspiration de ce mystère.



C'est à travers les yeux de deux protagonistes, tous deux provenant de siècles radicalement opposés que le lecteur va pouvoir s'identifier à sa guise. Outre les nombreuses années qui les séparent, leur caractère diffère également, pour mieux se compléter. Chevie, boute-en-train, bavarde, butée et courageuse, garçon manqué sur les bords va rencontrer Riley, un jeune garçon qui cherche encore sa voie, vulnérable, doux et innocent, mais terriblement attachant. Fort heureusement, l'auteur ne tombe pas dans les typiques - et affreuses - rafles de l'amour entre deux héroïques protagonistes.

Ces deux personnages aux moeurs opposés vont devoir s'unir pour combattre le méchant des méchants, Garrick, dont la seule description physique se rapporte au diable.



J'ai parlé, précédemment, du côté aventureux de ce livre, mais j'ai omis de préciser qu'Eoin Colfer intègre des passages très noirs, qui se rapportent parfaitement au romans noirs, de thriller. J'ai frémi... terriblement. Les courses poursuites m'ont effrayées, certains personnages m'ont donnés la chair de poule, les lieux étaient sombres et inquiétants. Plus d'une fois j'ai été prise d'effroi ; pour mon plus grand plaisir.



Le seul petit bémol que je puisse reprocher à l'auteur, dans la mise en relation des genres littéraires du livre, c'est l'inadéquation de la place du fantastique dans l'histoire. Pour prendre un simple exemple, lors de la scène du théâtre, avec Garrick et les trois Béliers, ce dernier, en fin magicien, disparaît, et réapparaît, sans aucune explication. Un autre petit couac à ce niveau aurait été lors d'une des scènes finales, ou la "magie fantastique" est trop présente, voire inadaptée à l'histoire. Certes, Eoin Colfer a essayé de placer ça sur le compte de la magie, mais cette magie-ci n'a pas opérée avec moi.



Hormis ce petit point, ce premier tome a été un pur régal. Du début à la fin, les chapitres s'enchaînent, les aventures passent, les personnages également, on a peur, on s'essouffle, on garde espoir et on s'attache. Comme par magie, j'ai été transporté dans un autre temps, on compagnie de créatures humaines plus affreuses les unes que les autres, à courir en vain, pour sauver ma vie.



Néanmoins, l'épilogue final ne m'a pas totalement convaincu sur l'engagement du second volume. Plutôt brouillon, assez circonspect, il ne m'engageait rien de bon. Je me fierais plutôt à ma formidable lecture effectuée pour me pousser à continuer cette saga, au début si prometteur.
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
Commenter  J’apprécie          110
Artemis Fowl, tome 8 : Le dernier gardien

Eoin Colfer nous offre avec Le Dernier Gardien un excellent final, que j’ai dévoré en un après-midi. Le livre reprend plus ou moins là où le précédent nous laissait, Artemis en finit avec la maladie développée dans le précédent tome, mais il n’a pas le temps de se reposer...



En effet, Opale Koboï, toujours aussi mégalo, arrive avec un nouveau plan terrible afin d'assouvir tout à la fois sa vengeance et sa soif de pouvoir, passant par des chemins plus que tordus. Quand on en arrive à de telles extrémités, je pense qu'il faut oublier le génie et parler de folie... C'est un personnage qu'on aime détester et dont on attend la chute avec impatience. Il faut dire que la mort de Julius m'est restée en travers de la gorge...



Mais Arty et la team des Bonshommes de Boue veillent au grain. On est ravi de retrouver les personnages auxquels on s’est attaché et qui font le charme de la série, et on apprend à mieux connaître ceux qui n’avaient été jusque là que survolés, comme les jumeaux ou Cabaline. Butler et Holly sont toujours fidèles au poste, même si Butler, ça fait bien trois tomes qu’il n’en peut plus. Foaly gère les opérations en arrière, bien qu’il soit plus sur le devant de la scène qu’il ne l’a jamais été. Et bien sûr, la classe de Mulch fera une fois de plus la différence, que ferait-on sans lui, n'est-ce-pas ? Mais c’est le trio Artemis, Holly et Bulter qui fait la force du roman, comme toujours.



Si vous n'avez pas lu le roman arrêtez vous ici... mais je tenais à ajouter que ce tome concluait parfaitement l'histoire d'Artemis. Qui aurait pu croire que le garçon malfaisant et roublard du premier tome serait celui qui se sacrifierait pour l'avenir de l'humanité ? Et aurait-on pu croire qu’Holly serait celle qui se tiendrait à ses cotés à ce moment là ?



J'ai été très touchée par les dernières lignes du roman, lesquelles sont les mêmes que les premières du tome un. Ainsi la boucle est bouclée et l’histoire se termine, et oui, apparemment, c'est vraiment la fin. Ça pourrait être dommage si ce dernier tome n'était pas si bien. C'était une des sagas qui m'avait ouvert les portes de la fantasy et du fantastique et j'ai refermé ce livre avec un grand sourire, noyé par mes larmes.
Commenter  J’apprécie          110
Panique à la bibliothèque

Quand, comme Will, 9 ans, (et comme l'auteur !), on a quatre frères, qui savent semer une joyeuse pagaille dans la maison, il ne faut pas s'étonner que les parents cherchent la solution dans une activité éducative qui va occuper et instruire les deux aînés. Solution vite trouvée : la bibliotheque !

Will et son frère Marty paniquent ; des rumeurs effroyables "courent" sur la bibliothécaire...mais leur lamentations se heurtent au "mur" bien blindé des parents et leur mère conduit les garçons à la "bibli".

Marty va pourtant oser défier "Patator", ainsi qu'est surnommée la bibliothécaire, et se trouver face à cette montagne de chair, aux dents de stalactites, en chaussons polissants et anti-bruit, qui sait dégainer ses tampons plus vite que son ombre imposante (les illustrations de Tony Ross sont très convaincantes !)

Refoulés ensuite dans la section jeunesse riquiqui, délimitée par un tapis, également très "limite", les deux frères vont tromper leur ennui avec des découvertes inattendues...



L'écriture de ce petit roman pour les 8 - 10 ans est gaie et entraînante. Les réflexions pertinentes de Will ne manquent certainement pas d'humour et on suit la petite gué-guerre entre les deux garçons et la bibliothécaire bourrue avec un large sourire aux lèvres...
Commenter  J’apprécie          111
Artemis Fowl, tome 6 : Le paradoxe du temps

Dans ce sixième tome, le jeune Artémis est à présent « retraité » et ne cherche plus à profiter du talent des fées. Il se satisfait de sa vie de famille agréable, bien qu'il reste lui même, heureusement . A présent, Holly et les autres fées sont considérées comme des amies et uniquement comme telles. Or, pour sauver sa mère, il aura besoin de leur aide, et pour remonter dans le temps, rien que ça ! Le remède se trouve dans le passé, car celui qui a causé sa disparition... C'est lui même ! Ainsi le sage et repenti Artémis va devoir affronter le jeune et fourbe lui même, que nous avons rencontré dans le premier tome de la saga. Ce face à face hors du commun met en avant l'évolution du jeune homme et nous plonge dans une aventure une nouvelle fois palpitante... Entre anciens ennemis et nouveaux amis. Une fois de plus, on reste scotché jusqu'à la dernière ligne du livre, et on est émerveillé par la beauté des rebondissements. Et on en redemande.
Commenter  J’apprécie          110
Artemis Fowl, tome 3 : Code éternité

De nouveau Artémis Fowl, jeune génie du crime assoiffé de pouvoir et prêt à tout pour faire honneur à son nom, met en place un plan parfait qui lui rapportera gros. Sauf que le plan n'est pas parfait du tout, et qu'Artémis y perd beaucoup, beaucoup plus qu'il n'aurait pu le prévoir. Heureusement, les fées, en la personne de Holly, répondent à son appel et acceptent de l'aider... Car elles aussi ont été mises en danger à cause du plan raté du jeune homme. Holly, Artémis, Butler et les autres personnages hauts en couleurs du roman se serrent les coudes pour venir à bout de leur ennemi commun, et même s'ils y parviennent, il y aura un prix à payer pour Artémis...
Commenter  J’apprécie          110




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Eoin Colfer Voir plus

Quiz Voir plus

Artémis Fowl 7

Où Artémis réunit-il les représentants du Peuple des fées??

En Islande
En Angleterre
En Amérique
Sous terre, chez les fées

10 questions
46 lecteurs ont répondu
Thème : Artémis Fowl et le complexe d'Atlantis de Eoin ColferCréer un quiz sur cet auteur

{* *}