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Citations de Erle Stanley Gardner (68)


Buvez jusqu'à devenir ivres mort , couchez- vous et dormez. C'est le meilleur conseil que je puisse vous donnez pour l'instant.
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On avait fait tout le nécessaire pour que la police ne puisse identifier la victime et jusqu'à présent, elle n'y est pas parvenue. Absolument rien dans les poches, et toutes les marques de blanchisseuse ou de tailleur découpées à l'aide d'un rasoir. L'heure du décès n'a pas encore été officiellement établie, mais il se pourrait que le meurtre ait eu lieu lorsque Dutton était au club, car on dit pour l'instant qu'il a été commis entre 21 heures 30 et 2 heures du matin. 
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Pour en revenir à cette propriété, Della, vous ne pensez pas qu'on pourrait l'acheter ? C'est plein de souvenirs, là-bas. On pourrait y faire construire un petit bungalow. Qui sait si, un jour, on ne...
Il s'arrêta, le regard songeur.
Della sourit.
- Continuez, patron, dit-elle. J'aime tellement que vous rêviez tout haut. Vous êtes alors un homme si différent...
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- Qu'est ce qui me prouve que ce n'est pas un coup monté pour vous permettre de filer ? questionna Holcomb.

Mason éclata de rire.

- Vous voulez dire que je filerais en laissant derrière moi un cabinet d'avocat qui me fourre chaque année dans les plus hauts paliers d'impôts sur le revenu !
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Drake la regarda bouche bée :
- Comment diable le savez-vous ?
A la dérobée, Della Street eut un clin d'oeil à l'adresse de Mason :
- Elémentaire, mon cher Watson, on ne peut plus élémentaire. Mon esprit féminin a déduit cela des faits portés à notre connaissance.

Drake se laissa choir dans le fauteuil le plus proche :
- Eh bien... mince, alors, dit-il.
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- S'il refuse de continuer, cassez-le en deux, chuchota Mason à l'oreille du détective. S'il essaye de filer, retenez-le.
- Comment ? demanda l'autre.
- Vous avez deux mains, gouailla Mason. Elles ne vous suffisent pas ?
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- J'imagine, observa Mason d'un air songeur, que Madame Malden veut me voir au sujet de la succession, mais, saprisit, elle ne perd pas de temps ! Généralement ces choses-là attendent au moins les obsèques, la veuve étant en principe abîmée dans sa douleur.
- En principe, appuya Della.
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- Hé là ! Doucement ! s'exclama Mason. Il n'est pas encore prouvé que ce second meurtre ait été commis, et encore moins qu'il ait été commis par Susan Fisher.
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- Quel meurtre ?
- Celui d'Ed Davenport.
- Où voyez-vous le éléments d'un meurtre ? Vous n'avez même pas le premier de tous : un cadavre.
- Non, nous n'avons pas encore découvert le cadavre, mais ça ne saurait tarder.
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- Vous avez même ajouté que vous aviez menti à la police. N'est-ce pas très grave ?
- Pas tellement que ça, fit Mason en souriant. Un homme a le droit de mentir autant qu'il lui plaît, même à la police. Certes, si ses mensonges sont destinés à soustraire un criminel aux poursuites, ça, c'est un cas très net de complicité. S'il ment sous serment devant un tribunal, il se rend coupable de parjure. Mais en ce qui me concernait, Della, mon mensonge n'avait d'autre but que mon désir d'aider la justice à démasquer un assassin.
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Hamilton Burger commença à dire quelques chose, changea d'avis, se leva lourdement de son fauteuil et, sans un mot, sortit en titubant. Un instant plus tard, la porte claqua.

Le juge Moran regarda Perry Mason. Un sourire léger adoucissait la figure du juriste.

- Je déplore votre façon de procéder, Mason, dit-il, mais que je sois damné si je n'admire pas l'efficacité de votre technique !
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Perry Mason s'arrêta court: le bruit sourd et violent d'un choc ébranlait le sol sous leurs pieds.

- Qu'est-ce que c'est que ça ? demanda Della Street effarée.

- Je ne sais pas. On dirait que quelqu'un est tombé...

Un cri de femme terrifiée venait de retentir à l'intérieur de l'appartement. Della leva instinctivement sa main gantée vers la poignée de la porte et commença à la tourner, Mason lui fit lâcher prise d'un coup rapide sur la main.

- Mais, Patron, quelqu'un a crié. Nous ne pouvons rester là sans rien faire. C'était un cri de terreur. C'était...

La porte s'ouvrit brusquement; une femme se précipita, puis s'arrêta droite et consternée en les voyant.

- Eh bien, Madame Atwood, dit Mason avec calme; vous semblez vous être livrée à une exploration.

- Oh c'est vous ! s'exclama-t-elle. Grâce soit rendue à Dieu. Vite !

- Qu'est-ce que c'est ? demanda Mason.

Son corps était dans l'armoire à liqueurs. Il est tombé en avant, sur la figure. Mason s'enveloppa la main d'un mouchoir, saisit la poignée de la porte et la referma.
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Perry Mason arpentait son bureau, tel un tigre en cage, tandis que Paul Drake notait, d'instant à autre, dans son carnet, les points sur lesquels l'avocat voulait être renseigné. Della Street, prête à toute éventualité avec son bloc et son crayon, suivait d'un regard admiratif les allées et venues de son patron.
- Ces salauds-là se sont arrangés pour la mettre au secret! lança soudain Mason avec rage. J'avais pris mes dispositions pour être immédiatement averti quand elle arriverait au quartier général de la police ou au bureau du D. A.; mais ils ont dû l'emmener dans quelque poste de quartier...
Il eut un claquement Je doigts impératif :
- Della, rédigez un " habeas corpus " au nom de Moda Montaine. Je le leur flanquerai sous le nez et ça les obligera à agir ouvertement, avant qu'ils aient eu le temps de faire trop de dégâts.
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Il eut un claquement Je doigts impératif :
- Della, rédigez un " habeas corpus " au nom de Moda Montaine. Je le leur flanquerai sous le nez et ça les obligera à agir ouvertement, avant qu'ils aient eu le temps de faire trop de dégâts.
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- Ces salauds-là se sont arrangés pour la mettre au secret ! lança soudain Mason avec rage. J'avais pris mes dispositions pour être immédiatement averti quand elle arriverait au quartier général de la police ou au bureau du D. A.; mais ils ont dû l'emmener dans quelque poste de quartier...
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Perry Mason arpentait son bureau, tel un tigre en cage, tandis que Paul Drake notait, d'instant à autre, dans son carnet, les points sur lesquels l'avocat voulait être renseigné. Della Street, prête à toute éventualité avec son bloc et son crayon, suivait d'un regard admiratif les allées et venues de son patron.
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— Allons, ne faites pas la prude ! Puisque nous sommes coincés ici, autant en profiter (...)
J'ai pris les clefs de la voiture... alors, inclinez-vous devant l'inévitable et passons un bon moment ensemble (...) Furieuse et indignée, Arlene se jeta vers lui, mais, en deux ou trois esquives, il l'amena à proximité d'un grand divan sur lequel il la renversa brusquement
— J'adore le genre panthère ! dit-il d'un ton gourmand.
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─ Gramps, on dirait du nectar. Qu'avez-vous mis dedans ? Un peu de liqueur mexicaine ?
─ Pas du tout. La base du cocktail est un alcool de la région du Rio Grande, avec une touche d'un petit quelque chose pour le rendre moins râpeux. Vous n'aimeriez pas savoir de quoi il s'agit. Alors buvez tranquillement, sans poser de questions.
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Alors les questions se mirent à pleuvoir sur elle. Ses yeux étaient aveuglés par la dure clarté du projecteur. Des voix hurlaient à ses oreilles. Ses nerfs étaient à vif et chaque question qu'on lui assenait lui faisait l'effet d'un coup en plein visage.
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- C'est parce que vous craigniez d'avoir maille à partir avec Carl Harrod que vous aviez mis un pic à glace dans votre sac ? demanda Mason.
- Oui
- Où se trouve ce pic à glace maintenant ?
- Je l'ignore. Je...Je l'ai jeté.
- Pourquoi donc ?
- Parce que quelqu'un m'a conseillé de le faire.
-Votre père ?
- Oui. Je lui avais dit avoir giflé Carl Harrod et nous savions que celui-ci avait été poignardé avec un pic à glace.
- Quand votre père vous a-t-il conseillé de vous débarrasser de ce pic ?
- Le soir même où Harrod est mort.
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