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Citations de Florence Aubry (126)


L'alcool nique le cerveau.Voilà ce qu'elle est en train de se faire, ma soeur, se démolit méticuleusement la vervelle. C'est une étude américaine, qui le dit, et plus exactement le Professeur Susan Tapert de l'Université de San Diego. Que l'alcool consommé comme ça, à haute dose et vite fait, déglingue définitivement le cerveau des ados. La substance blanche du cerveau, celle qui est responsable de la transmission des informations.
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Pour être honnête, je ne vois pas quel est le problème. Pour moi, ces animaux sont pour la plupart nés en cage. IIs n'ont jamais rien connu d'autre je ne vois pas en quoi la captivité peut les faire soufrir Et puis, est-ce que ça peut seulement être malheurex un animal ? Faudra que je regarde, sur Internet. De toutes façons, on fait tout pour leur bien-être, dans ce parc, au moins pour obéir à la législation, parce qu'on est dans un pays de lois. Qu'il y a l'Europe, en plus, avec tous ses règlements. Au moins, ici, ces animaux n'ont pas à redouter les attaques d'éventuels prédateurs. L'extérieurn'est pas synonyme de danger, et se nourrir ne constitue pas un combat de tous les jours. Bref, je trouve que maman exagère. Je trouve que les manifestants du rond-point exagèrent.
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Très embêté par les abeilles
Il secoue ses grandes oreilles
Mais...
Ça a des oreilles, les lézards ?
Bizarre bizarre...
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Vous pensiez que les hommes avaient l'apanage du désespoir et du suicide ?
Vraiment ! Les épaulards aussi cèdent au désespoir jusqu'à en mourir. Ils se jettent gueule grande ouverte sur les parois bétonnées de leurs prisons. Ils s'emplissent l'estomac de sable. Ils sautent les parapets. Ils cessent de respirer et ils meurent. Seules façons d'échapper à l'enfer que vous avez imaginé pour eux.
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Tu penses vraiment que tu ne risques rien, hein, Sarah, lorsque vous êtes ensemble ? Tu es convaincue que vous veillez les uns sur les autres, du coin de l'oeil ? Tu te trompes tellement profondément, Sarah. Quand vous avez bu vous n'êtes plus rien, rien que des particules isolées qui gesticulent de façon désordonnée et qui de temps en temps se cognent les unes aux autres. Vous êtes incapables de prendre soin les uns des autres. Moi je suis la bonne poire, là pour vous surveiller, tous. Pour protéger Jonathan de la violence qu'il peut provoquer chez les autres, lorsqu'il a bu. Pour vous empêcher de jouer à des jeux dangereux, lorsque vous êtes à deux grammes. Pour porter jusqu'à leurs tentes ceux qui ne peuvent plus marcher seuls. (p.151-152)
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Il n'a pas d'enfants, cet homme, sinon il saurait que proposer à une fille de quinze ans de mettre aux pieds ces immondes sandalettes transparentes, ces méduses en gomme pour entrer dans la mer, ça revient à proposer à la reine d'Angleterre d'assister au Royal Variety Performance en jogging Adidas. N'importe quoi. (p.126)
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ça s'appelle des binge, ce qu'elle fait, ça, tout au long de l'année, du binge drinking, se défoncer à l'alcool, boire un maximum d'alcool en un minimum de temps. N'importe quel alcool. J'ai regardé, sur internet, ce que ça pouvait faire au corps.
Je n'aurais pas dû, je ne le referai jamais, ça fait beaucoup trop peur.
L'alcool nique le cerveau.
Voilà ce qu'elle est en train de se faire, ma soeur, se démolir méticuleusement la cervelle. C'est une étude américaine, qui le dit, et plus exactement le Professeur Susan Tapert de l'Université de San Diego. Que l'alcool consommé comme ça, à haute dose et vite fait, déglingue définitivement le cerveau des ados. La substance blanche du cerveau, celle qui est responsable de la transmission des informations.
L'alcool nique les hormones de croissance, les cellules produisant le sang, le foie, le pancréas, l'estomac, l'intestin, le coeur,... [...] et aussi une consommation chronique d'alcool peut pas exemple provoquer du psoriasis... (p.61-62)
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"Ils pèsent des tonnes, et pourtant, ils ne sont que des fétus de paille entre leurs mains. Ils sont plus lourds et plus forts que n'importe lequel de ces hommes, et ils se trouvent pourtant à la merci de leurs désirs vils et tordus."
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Il va lui faire du mal et je pense qu'ils le savent . Ca va lui arriver, malgré lui . Un jour, ses gestes seront les mêmes que tous les autres matins, la fille ne ferra rien de plus et rien de moins, la journée se déroulera comme tous les journée, avec ses foutus points d'orque toutes les heures...onze heures...quatorze heures... Il y aura toujours sa gentillesse, sa voix douce, sa main confiante, son sourire grand et franc, et pourtant il lui fera du mal . Cusin-Rollet Lucie 4°C
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Quand ils étaient arrivés au bassin extérieur, ils avaient constaté que la digue flottante était entrouverte et que Titan n'était plus là.
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Adieu Oscuro. Il s’appellerait désormais Titan. Deux accidents mortels, c’était un peu beaucoup, pour un seul poisson, aussi massif soit-il.
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Vous pensiez que les hommes avait l’apanage du désespoirs et du suicide? Vraiment ! Les épaulard aussi cèdent au désespoirs jusqu’à en mourir . Ils se jettent gueule grande ouverte sur les parois bétonnée de leurs prison . Ils s’emplissent l’estomac de sable . Ils sautent les parapets . Ils cessent de respirer et ils meurent . Seules façons d’échapper à l’enfer que vous avez imaginer pour eux .



FaustineD
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Il s𠆞st imaginé mort, peinard (..) sauf que malheureusement il s𠆞st manqué. Malheureusement parce que, si je veux être honnête (...), c𠆞st que je le préférerais mort. Je ne peux pas penser une chose aussi abominable et, pourtant, cette vérité m’habite complètement. Elle est comme une morsure chaque fois que je pense à lui.
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Ce livre m'a plus car il est comique,mouvementé,violent. Il m'a aussi plus car il a été réalisé a partir d'une histoire vraie. Il est aussi surprenant car on ne s'attend pas a ce que titan mange l’entraîneur. C'est un roman qui se dévore assez facilement mais il a quand même une fin sans surprise. Le narrateur veut effrayer le lecteur,Titan noir permet de s'évader. Je recommande ce livre pour ceux qui aiment les aventures et qui cherche des livres faciles a lire.

D'un coup sec,Oscuro l'arrache a la Terre ferme,il l'emporte au fond,il a fait ça avec tant de force et de rapidité que le crane de la jeune femme n'a même pas heurté le rebord. Au fond tout au fond,il compte jusqu’à dix. Et il la ramène a la surface il fait ça dix fois.
Romain L.
4E
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"Quand ils étaient arrivés au bassin extérieure, ils avaient constaté que la digue flottante était entrouverte et que Titan n'était plus là. Au début, ils avaient pensé que le corps de Titan se trouvait au fond du bassin, retenu par les débris, coincé, prisonnier des branchages."
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" Délicatement et respectueusement, il écarte les masses du dos , les éponges soigneusement, les débarrasse des débris de chair et du reste de sang. Jusqu'à ce qu'elles soient parfaitement propres. Les masses alors s'agitent, vibrent et se déploient. Ce qui ne semblait être que deux amas se révèle être ce qu'ils sont réellement : deux membranes d'une finesse extraordinaire, qui à contre-jour du feu laissent apparaître un réseau de veines bleues fines et délicates."

Extrait choisi par Célia
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Florence Aubry
"Je ne sais pas quoi dire, alors je pleure. Mais je pleure pour les seize dernières années passées à serrer les dents et à tenir bien saucissonnées au fond de moi la peine, la peur, la douleur, la rage, la colère. Je pleure pour tous les enfants du diable de ce foutu pays. Je pleur pour toutes les années perdues, et toutes celles à venir. Je pleure Jamon, son amour inconditionnel, et tous les mis que je n'ai pas eus. Je pleure ma mère en bleu, Hélène, Victoire, et tous les bateaux que je n'ai pas pris. Mon corps dur, aiguisé comme un couteau, fait pour la guerre et la bataille, s'affaisse, se disloque sous les coups de boutoir du chagrin."
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"Et je me rends compte alors que ce que j'aurais voulu, plus fort que tout ce que j'ai pu désirer depuis des mois, en vérité, c'est que ce magnifique chien soit à mes pieds, à m'attendre moi, qu'il tourne ses yeux pleins de paillettes d'or vers mon visage, qu'il remue la queue, et qu'il me dise d'un regarde : "Je suis à toi, je t'aimerai sans conditions, je t'accompagnerai où que tu ailles, je te protégerai, je découvrirai mes canines, je déchirerai des chairs, s'il le faut, je serai tous ces amis que tu n'as pas eus, et que tu n'auras jamais. Je serai là, dans chacun de tes pas."
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Dans notre village lorsqu'un enfant naît, on le sépare de sa mère. Il reste seul, trois jours et trois nuits, dans la Maison de la Naissance, nu, déposé sur un lit si c'est une fille, sur une simple natte de feuilles de palmier, s'il s'agit d'un garçon.
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De chaque côté de la colonne vertébrale, l'homme ouvre d'un geste sûr l'épiderme, deux coupures d'une trentaines de centimètres. C'est fait. Le jeune homme n'a pas bougé, pas frémi. Pendant quelques secondes, il ne se passe rien, puis le sang apparaît. Et là, tous rassemblés, ils comprennent. Que le garçon n'a pas le Don. Que l'adolescent n'est pas l'un des leurs, mais un imposteur.
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